Petits plats
Le petit plaisir de faire sa
cuisine et ses pâtisseries
Cervelles d'agneaux au beurre noir.
Je ne suis pas fanatique des plats cuisinés, aussi, même si j'en achète pour les jours de boulot alors que j'ai peu de temps, je me fais ma popote accommodée à mes goûts.
Pour les cervelles achetez directement chez le boucher, à condition d'en trouver un qui ne vous arnaque pas comme ça m'est arrivé à Briançon rue Centrale. (Voir mes pages antérieures)
Soit je vais à la SAB, soit à Monêtiers-les-Bains, chez Garnier (publicité gratuite) ou au SHERPA près de l'office du tourisme, également à Monêtiers-les-Bains, ouvert seulement en saison. J'en aie essayés d'autres mais franchement ça vaut de se déplacer chez les préférentiels, chacun les siens.
Pour les patates c'est nettement plus difficile tellement ces tubercules reçoivent de traitement chimiques dans les champs, donc aussi dans le produit.
Petit apéro avant de manger.
Il n'y a pas de mal à se faire du bien, à condition de rester raisonnable bien entendu et de ne pas avoir à se servir de sa voiture dans les heures qui suivent.
Avant j'achetais mes alcools au Baïté de OULX, nettement moins cher, depuis que l'enseigne a changé ça ne vaut plus le coup, même à Clavières, pas fous les italiens de s'être alignés sur nos prix, surtout si près de la frontière.
Ce n'est pas une critique, j'adore l'Italie et les italiens, mais en dehors du tabac, que je ne prends qu'avec parcimonie (la seule qui m'accompagne (non c'est une connerie)) pour mes enfants, puisque je ne fume pas, j'y achète aussi mes fringues et mes pompes*.
Et puis ça me fait une sortie sympa, surtout quand je pousse jusqu'à Suze, voire Turin, ce qui est pour moi le plus motivant, ce n'est pas pour faire des économies, d'autant que ce que je pourrais éventuellement économiser ça passe dans l'essence.
L'avantage des villes frontalières d'avoir le choix de passer la frontière pour trouver chez les autres ce qu'on ne trouve pas chez nous, du moins à des prix plus attractifs.
* Fringues = vêtements / Pompes = chaussures
J'ai essayé.
Je confirme, on ne peut pas sauf se contenter de médiocrité, hors j'ai horreur de la médiocrité sous quelle que forme qu'elle soit.
Pâte douteuse difficile à travailler, voire impossible.
Comme j'aime aussi faire ma pâtisserie, quand je tombe sur de la "merde" ça fait râler, j'ai acheté cette pâte pour essayer, je ne suis pas convaincu de l'excellence du produit. À éviter donc.
Ma pâte je l'achète congelée chez Picard en zone d'activité, en brique de 500 grammes, tout comme d'autres produits de consommation courante.
Pourtant HERTA c'est une référence, maintenant, comme beaucoup d'autres industries, puisque c'est une industrie de la bouffe, ça s'est très sérieusement dégradé ces dernières années.
D'ailleurs la référence nutri-score est médiocre, donc méfiance.
Par principe la pâtisserie ce ne sont pas des vitamines, plutôt du sucre et des farines, les éléments ajoutés par l'industriel ne servent qu'à faire du volume et à conserver, donc encore et toujours des saloperies chimiques qu'on ingère.
La farine c'est le mieux.
Bon, d'accord, il ne faut pas être en tenue de soirée ni en costard, ce n'est pas compatible.
Là aussi préparer sa pâte sois-même c'est le mieux, il faut du temps et de la patience.
Là pas de problème, tout est inscrit sur le paquet.
Maintenant il faut savoir que les industriels des grands moulins (J'ai aussi travaillé dans les silos de ceux de Corbeil-Essonne, dans ma jeunesse, voir mes livres "Onze métiers — Cent galères") incorporent des produits contre les insectes, ce qui était dans les temps passés le cauchemar des meuniers, surtout les petites structures.
Donc, pour avoir une farine vierge de tout ajout c'est devenu mission impossible, il y a des saloperies partout mais la farine reste tout de même préférentielle aux produits tout fait comme plus avant cité.
En fait, avec l'émergence des normes diverses, nationales ou européennes, la presque totalité de ce que nous ingérons contient des produits dits phytosanitaires, ce qui est bon d'un côté mais mauvais de l'autre, puisque les produits importés hors Europe échappent aux normes européennes et sont potentiellement dangereux. (Voir les émissions en ce sens et les enquêtes d'Élise Lucet)
Lire les notices des produits qu'on achète c'est essentiel, c'est d'ailleurs la raison de leur obligation.
Mes choix.
Il est vrai aussi que les farines de mon enfance n'existe plus, du moins dans leur état primitif.
Aussi je sais que les farines perdent du poids, mais 51 grammes sur un paquet de 1,4 kg ça m'interpelle, tout comme 27 grammes sur un paquet d'un kilo (emballage compris).
Maintenant je garde mes farines assez longtemps, ceci explique peut-être cela, parce que les dates de péremption sont là aussi très exagérées, mais pour vendre de la farine il faut en utiliser, si on se fie à la date de péremption on va en jeter pour en racheter, donc faire tourner les moulins.
Vu ce que contiennent les farines on peut les garder plusieurs années sans problème, alors ne regardez pas de trop près ces dates, du moins dans ce cas de figure.
Temps de cuisson dépassé.
De ma faute mais ça reste mangeable.
Mes petits palmiers ne risquent pas de se gâter, j'ai des enfants qui sont là pour s'en charger, maintenant c'est aussi fait pour ça.
Avant j'achetais des palmiers tout fait chez le boulanger pâtissiers de la rue Centrale, au bas du Chemin Vieux, mais ils n'en font plus, ce qui est bien dommage.
Un de mes fils m'en a bien ramené du Champ de Mars mais franchement imbouffables, trop épais, pas cuit (contrairement aux miens ci-dessus) trop peu de sucre ; je n'ai pas renouvelée l'essai.
C'est d'ailleurs un des inconvénients de la vie actuelle, maintenant on doit se contenter que de ce qu'on nous offre sans trop avoir le choix, alors ma pâtisserie je la fais moi-même.
C'est identique pour les chaussons aux pommes et les petits pains au chocolat, si facile à faire.
Bon, d'accord, cette page est peu con mais je me suis laissé dire que toutes mes pages seraient un peu connes, voire beaucoup pour certains, toutefois, comme ils continuent à les visiter, je suppose que ma connerie a, quelque-part, une certaine valeur.
Sur cette page "culinaire" je vous souhaite un bon dimanche et à bientôt.
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