Les mondes parallèles

Publié le par François Ihuel

 

Ce qui suit n'engage que moi et n'est que

la réflexion de mon intime conviction

 

Source Internet :  "UN OEIL SUR LE MONDE"

Source Internet : "UN OEIL SUR LE MONDE"

Une image au hasard.

Qui ne reflète pas ce que j'entends développer ici mais ça donne une idée de l'imaginaire... ou de la préemption de ce qu'on ressent personnellement.

J'écris "mondes parallèles", ce serait plutôt "dimensions parallèles" parce qu'il y a une énorme différence, concernant les mondes parallèles il y a une quantité impressionnante de traitements du sujet, surtout par des bandes dessinées et des "manga", rien qui pourrait se rapprocher de ce que moi-même m'interroge sur le sujet.

Dans l'univers il y a des dimensions inconnues de notre modeste monde si frêle et si petit, on se contente de trois dimensions standards et ça suffit pour notre civilisation précaire.

Je lis beaucoup sur les phénomènes paranormaux, me basant sur la physique quantique — qu'il faut différentier de la mécanique quantique, complément ou partie d'un élément qui fait un tout — j'effectue une approche intéressante de ce qui nous entoure sans être connu, du moins pas palpable, au point de nous être utile au quotidien. 

En effet, à quoi sert de savoir ce qui n'est même pas accessible à la quasi-totalité de l'humanité, d'autant qu'en découvrir les différents aspects ne changera pas notre mode de vie, ce qui, quelque part, est bien dommage. 

Mais il y a des dimensions qu'on ne peut appréhender, bien qu'on y soit, quelque part, directement impliqué, ne serait-ce que l'imaginaire, ou le fantasme, ce que les médecins "spécialistes" appellent des désordres mentaux. Ce qui m'épate, inclure la médecine dans la neurologie m'a toujours interpellé, puisqu'on ne soigne pas les désordres neurologiques autre que par des calmants ou autres expédients qui ne font que modifier une perception, l'esprit ne se guérit pas, ce qui voudrait dire qu'il est malade, hors l'esprit n'est pas physique, donc pas impacté par des désordres. Mais ça n'engage que moi.

Bien entendu on va me parler de synapses, de liaisons neurologiques, normal, pour que l'humain puisse fonctionner il a besoin de cet "ordinateur" biologique, le fonctionnement entrainant l'évolution qui fait évoluer ce fonctionnement, un peu comme une machine qui se transforme en s'auto-améliorant au fur et à mesure de son fonctionnement, jusqu'au moment où elle ne peut plus évoluer, c'est donc la mort, la mort de la machine, pas de son fonctionnement qui se perpétue à travers la descendance pour se parfaire encore. 

Puis-je oser inclure les désordres mentaux à un court-circuit avec une dimension parallèle ?

Je saute le pas, quitte à passer pour un cinglé, — ce que je suis peut-être puisqu'on est toujours le cinglé de quelqu'un — parce qu'en y réfléchissant bien, dans le calme et en se remettant en question concernant notre passage sur Terre, il y a des signes internes qui ne trompent pas, il y a aussi des signes externes qu'on a associés aux diverses religions qui ont, pourtant, toutes la même origine, notre origine justement, et ce pourquoi cette origine fait toujours débat, d'autant que personne n'en a encore trouvé la raison, ou la cause, ça dépend comment on se place à cette échelle. (Voir ma page "Équation impossible" du 12 Mars 2022)

On ne trouvera la raison, donc la solution, que quand on aura admis les dimensions parallèles et leurs liaisons furtives avec d'autres. 

Les Univers parallèles ne sont que les dimensions parallèles, quand on se place de façon précise dans une autre dimension, à une autre échelle, l'Univers, tel qu'on veut se le représenter, est totalement différent, on peut donc accéder facilement à ce qui parait impossible à notre échelle.

Rapprocher la galaxie d'Andromède à pourvoir la visiter, par exemple, serait possible facilement, à condition de répondre à une échelle dite dans une dimension dite.

 

Photo Internet : Europe1

Photo Internet : Europe1

Stephen Hawking

J'ai ouvert une partie de mes connaissances grâce à ceux que j'ai suivi dans un domaine bien précis, cet homme, d'une intelligence hors norme, rongé par la maladie s'est consacré entièrement à la physique quantique, et autres spécialités similaires qui dépassent la plupart des humains.

Aussi mon approche des dimensions parallèles est différente, tout en étant similaire sur des points bien précis, j'appréhende les dimensions parallèles autrement que par l'existence probable d'Univers parallèles, ce qui est complémentaire mais aussi nettement différent. 

Si nous prenons exemple sur les innombrables témoignages de ceux qui ont vécu la mort imminente, on a une ébauche de ce que seraient ces dimensions autres, les "scientifiques", surtout les neurologues, voir psychiatres, veulent trouver une explication rationnelle de ces effets du cerveau au moment fatidique, quand l'esprit quitte le corps, encore faut-il appréhender le contexte "esprit" autre qu'avec le rationnel.

Si on cherche à rationaliser ce qui nous est incompréhensible on trouvera toujours à lui donner une explication, sauf que cette explication ne satisfait que ceux qui en ont exposé la synthèse, un peu court pour réaliser que ce serait une fausse route, juste donner une explication simple à ce qui est compliqué, donc sans réelle explication. D'autant que ce qui est compliqué est très simple à comprendre, juste s'en donner les moyens et le temps.

Cette approche, du passage d'un monde à un autre, c'est ce que j'appelle le lien entre deux dimensions, juste à ce moment précis, où le conscient se libère du matériel ; puisque le corps humain n'est qu'un support, comme toutes matières physiques, il disparait pour se fondre dans la masse des atomes qui constituent la matière, de quelque forme qu'elle soit. 

Prenons le cas de ce qu'on appelle la folie — mal dont je suis peut-être atteint, nul n'est parfait — il n'y a d'explication rationnelle que dans la différence définie entre un comportement dit normal basé sur un fonctionnement sociétal, d'ailleurs ceux qui s'exonèrent de fonctionner socialement sont déjà pointés du doigt comme étant des anormaux. Mais par rapport à qui et à quoi ? En fait l'humain définit la normalité sur des normes qu'il s'est construit, juste savoir si ces normes sont normales ou anormales par rapport à une définition plus poussée.

Peut-être que d'avoir été défini, dès mon enfance, comme un anormal — ce que suis peut-être, voire surement — ferait que je me sois posé la question de savoir pourquoi la masse existentielle établit ces différences, et par rapport à quoi !

C'est là que j'ai commencé à "étudier" les dimensions parallèles et ce qui pourrait faire que certains les perçoivent de façon rationnelle dans l'irrationnel. En ce sens, au moment de la mort physique, l'esprit, du moins ce qu'on dénomme ainsi, parce qu'on ne peut définir ce qu'est l'esprit, repasserait dans une autre dimensions, ces fameuses dimensions parallèles qui, à ce moment précis, se rejoignent un court instant. 

Faut-il être anormal d'en déduire cette hypothèse, ou plutôt serait-ce que l'anormalité réelle serait ce qu'on défini comme normal dans notre monde si réduit et si cartésien ?

Chacun est différent et unique, même si des similitudes peuvent être associées à une forme de "clone", ou sosie, qui pourraient faire penser que deux humains sont identiques. Le seul fait de la multitude est déjà un facteur de différence, même dans le cas de "clones" il y a cette différence fondamentale qui fait que ne peut être associé l'identique à la multitude, on n'est qu'identique à soit-même, ce qui n'a plus de sens puisque différencier une unité est impossible, donc le terme même d'identique est impropre dans ce dernier cas de figure.

Ce qui peut aussi s'interpréter dans une autre dimension, c'est-à dire un tout unique qui deviendrait multitude à travers le passage d'une dimension à une autre, c'est très intéressant comme théorie sauf qu'il faut la faire admettre, ce qui n'est pas gagné.

C'est aussi pourquoi l'humain s'est fixé des différences, ces différences qui n'existaient pas à l'origine, sauf peut-être la différence hiérarchique définie par l'âge, donc la succession des générations au fur et à mesure qu'une remplace l'autre.

L'évolution de l'homme a créé des différences, mais ceux qui se sont sentis supérieurs ont imposés aux autres l'infériorité, ce qui est un non-sens dans la logique spirituelle, l'esprit ne peut être différent d'autres esprits puisqu'il n'y en aurait qu'un qui se subdiviserait pendant ce passage terrestre, la seule occasion de faire des différences à l'origine inexistantes. 

Pour étudier de la physique quantique il n'est pas besoin d'avoir des livres, des cahiers, ni de prendre des notes, c'est ce qui est spirituel, — à ne pas associer à la religion mais au subconscient — on est donc détenteur de notre personnalité, donc inutile de prendre des notes sur ce qu'on connait de nous, même si nous serions les seuls à le savoir. 

Mais de ce fait il nous est interdit de considérer d'autres comme différents dès lors que nous sommes uniques, et c'est rassurant, bien que certains voudraient que les différences soient réelles — ce qu'elles sont dans le contexte humain matériel — il n'y a pas de différences alors que nous sommes tous différents dans l'identique qui crée ces différences, mais juste ici bas.

Quand le monde des vivant se persuade d'une autre vie, dans ce qu'on appelle "l'au-delà", il n'est pas inintéressant de constater que l'humain à raison de croire à un autre monde, juste que ce monde est parallèle au notre, et que le présent spirituel est en permanence à nos côtés, juste que dans une dimension autre on ne peut le percevoir autrement que par l'impression. La mort ne détruit que la matière, encore que détruire est inexact puisque l'atome ne se détruit pas, du moins dans ce contexte.

Donc être persuadé de la présence de proches disparus n'est pas un fantasme relevant de l'utopie ou de la neurologie, c'est juste la réalité de dimensions parallèles qui ne se rencontrent jamais autrement que par ce court circuit qui nous fait passer d'une dimension à une autre, nous avons toujours été et nous seront toujours, là, à côté, dans une autre dimension.

Aussi, ces impressions de déjà vécu, de présences invisibles, n'est pas sans fondement ni relevant de la folie ou du dérangement mental, c'est la réalité et une preuve — difficile à faire admettre —  de l'existence des dimensions parallèles.

En fait c'est très simple à comprendre, il faut juste se donner les moyens et le temps de comprendre.

Je reviendrai sur le sujet une autre fois, les pages longues sont parfois difficiles à lire jusqu'au bout.

Je suis à l'écriture d'un livre "science fiction" qui paraitra dans quelques mois, le sujet est vaste mais approche mes déductions.

Bonne journée à tous en attendant une autre page plus terre à terre.

 

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