L'Église, ses contradictions. (rectificatif)
Me reprendre, me critiquer, c'est m'aider
Errare humanum est
Sur ma page d'hier "L'Église, ses contradictions. (Partie 4)", j'ai écrit — je doute que d'autres responsables religieux avalisent une enquête privée en ce sens — mais aussi — surtout recevoir l'aval de l'Église — laissant entendre que les divers prélats approchés par Monsieur Frédéric Martel auraient donné leur aval, ma déduction un peu hâtive découle de la facilité avec laquelle ces dits prélats se sont dévoilés. (Pour ça il faut lire le livre)
Aussi, comme je refuse de modifier mes pages éditées, je rectifie en précisant, ce que le post ci-dessus m'informe, que l'Église n'a donc pas donné son aval pour ce livre.
Toutefois elle n'aurait pas non plus fait montre d'opposition à sa parution.
En fait quand j'écris responsables religieux je ne vise personne, encore moins le Pape, j'ai extrapolé en déduisant qu'il faut que la complaisances des interrogés soit soulignée, donc possiblement avalisée.
J'ai du respect pour les religions et leur dirigeants même si l'Église d'aujourd'hui m'a éloigné de l'Église d'hier, évoluer ce n'est pas transformer ni remplacer.
Maintenant, puisqu'il est paru, que son auteur a été interviewé par une chaine télévisuelle, ce qui m'a fait acheter ce livre et découvrir cet auteur remarquable, il devient difficile pour l'Église de nier ce qui est écrit.
J'admire d'autant plus cet auteur qu'il ne cache rien ni ne dissimule son nom, ce que je fais aussi parce que la dissimulation c'est avouer une forme de culpabilité qui n'existe pas.
Bonne journée à tous.
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