Nos enfants sont en danger
Les pressés de la route
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Les heures fatidiques. (Extrait vidéo ci-dessus)
Celles des encombrements et de la circulation difficile.
Le collège des Garcins est souvent saturé de véhicules, beaucoup pourraient s'en dispenser mais approcher l'enfant chéri(e) au plus près de l'établissement ça évite à ce(tte) dernier(e) d'attendre le bus, une forme de désinstruction parentale. Maintenant il y a ceux qui ne peuvent faire autrement, disons à la louche 25 %, ce qui laisse encore 75 % de véhicules qui pourraient ne pas saturer la circulation à ces heures difficiles.
Pourtant la ville et la CCB ont mis en place un fonctionnement de cars et bus scolaires que beaucoup de villes plus importantes nous envieraient ; seulement voila, le français est particulariste, pas trop conscient des inconvénients de la saturation automobile, préférant polluer, gaspiller du carburant, perdre du temps, s'énerver dans les encombrement, plutôt que de faire comprendre à sa progéniture que le transport en commun ça présente pas mal d'avantages.
Certains diront que le bus c'est trop cher, certainement moins cher à l'année que les dizaines de litres de carburants utilisés par leur véhicule, mais l'obsession c'est néfaste au raisonnement.
Alors pour ne pas être en retard après avoir déposé l'élève, le parent en question fonce pour rattraper le temps perdu à faire un détour par le collège situé, il faut le rappeler, dans un cul de sac au milieu des résidences, là où les bus et cars scolaires sont obligés de manœuvrer pour faire demi-tour, ça roule donc trop vite pour le lieu au mépris des règlementations et des autres scolaires, ma foi les enfants des autres n'ont aucune importance.
Déjà que les rues Alfred Mondet et Albert Bourges, pour y accéder, sont étroites dont la première défoncée de manque d'entretien "volontaire", saturées de véhicules donc hautement polluées, alors qu'au même moment des centaines d'élèves s'y trouvent, respirant à plein poumon les saloperies des gaz d'échappement.
En fait ceux qui amènent leur(s) gosse(s), le plus souvent un(e) seul(e) par véhicule, alors qu'ils pourraient choisir les bus, les gazent de cette ambiance surchargée en dioxyde de carbone et autres particules nocives pour ces jeunes poumons pas encore totalement formés.
Je me demande pourquoi aucune municipalité, depuis des décennies que ce cirque perdure, n'a pris de mesure pour aplanir ce problème.
Problème identique à l'approche de pratiquement toutes les écoles, primaires comme secondaires, briançonnaises ; pourtant les solutions existent mais ça ne fait pas l'affaire des élus qui sont laxistes volontairement pour ne pas froisser leurs potentiels électeurs.
C'est plutôt minable comme attitude, si pour se faire élire il faut faciliter le désordre et les nuisances alors on comprend que ceux qui voudraient que ça change soient écartés d'un potentiel poste à responsabilité qui permettrait enfin de résoudre ces désordres.
Ça c'est un sujet que les médias devraient mettre en avant, au lieu de nous sortir des niaiseries locales dont tout le monde se fout.
Mais il n'y a pas que ça.
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Pour en arriver où ! (Extrait vidéo ci-dessus)
Ralentir 150 mètres plus loin.
Qu'est-ce qu'ils ont dans le crâne ceux qui foncent comme des malades au milieu d'une circulation difficile dans un lieu aussi délicat alors qu'il y a des centaines de collégiens alentour ?
Où plutôt combien de neurones leur manquent-ils ?! parce qu'à ce niveau ça frise le crétinisme.
Mais il(elle) n'est pas unique ce "conducteur(trice)" inconscient à rouler trop vite en ces lieux.
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Et là ! (Extrait vidéo ci-dessus)
Ce véhicule "Halftrack" qui force le passage piéton alors qu'un enfant s'y trouve — élève de bientôt 11 ans et que je connais il n'est pas du genre à braver les interdits — se rendant à l'école de Pont-de-Cervières, que se passe-t-il dans sa tête à ce conducteur à risquer la vie de cet enfant. Avec son véhicule qui force le passage, malgré la présence d'un agent de sécurité, il doit avoir une méduse à la place du cerveau.
Sa vie en dépend des trois secondes gagnées par une infraction ? Parce que c'est une infraction, l'agent qui règle la circulation a la même valeur qu'un feu tricolore.
Encore qu'à Briançon les feux tricolores, comme les priorités et les sens interdits, c'est une vaste rigolade.
Quelle est donc cette façon de se comporter en société à braver les interdits et les obligations ?
Je vois parfois (mais on n'a pas rendez-vous) un véhicule de la police passer en ces endroits, surtout depuis l'agression d'un élève il y a peu, toutefois les agents ne sortent pas de leur véhicule, et puis maintenant la police on l'agresse, on ne la craint plus.
Il est vrai aussi que j'ai remarqué multiples infractions flagrantes sous leur nez sans qu'ils réagissent, quelque-part je les comprends puisque dès qu'ils interviennent ils se font "agresser" au risque de se retrouver au tribunal, ce monde inversé où les forces de l'ordre doivent s'incliner devant la délinquance, y compris la délinquance routière permanente.
C'est surtout le laxisme de la magistrature qui en est la principale responsable, mais je ne vais pas m'étendre sur le sujet parce qu'il est très chargé.
C'est tout, mais de trop encore, pour aujourd'hui.
Très bientôt ma page sur la religion, la suite de la précédente.
Bonne journée à tous.
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