Ma petite presse du 23 Octobre 2024

Du classique, de l'étonnant

Du classique.

Pour commencer, mais pas pour finir puisque ça dure et ça perdure.

Par contre je vais solliciter quelqu'un, équipé d'une caméra aux fins de programmer sur Facebook et autres réseaux sociaux, et je vais moi-même nettoyer ces bouches d'évacuation des eaux de pluie, parce qu'il semblerait que ce ne soit pas possible au niveau municipal, du moins pour les services techniques débordés de travail avec du personnel à minima ; les piétons ont droit soit au bain de pieds, soit à la douche pour peu qu'un automobiliste complaisant s'approche, par plaisir ou connerie, d'assez près pour les arroser.

Maintenant l'écrire ne sert à rien puisque ça ne change pas, ça fait tout de même quelques années que ça dure, donc c'est chronique.

C'est avenue du Général De Gaulle face au parking de l'hôtel Vauban. (Autres pages antérieures sur le sujet)

Là aussi c'est chronique.

Mais pas municipal.

J'avais déjà attiré l'attention sur cette situation pour le moins interrogative, se garer le nez de la voiture sous un panneau de stationnement interdit ça dénote une intelligence déficiente ou un mépris total de la réglementation.

Il y a, quelques mètres plus loin, des places disponibles, mais voilà, il faut marcher quelques dizaines de mètres, ce qui, à notre époque de fainéantise en tout genre et massive, est devenu une contrainte insurmontable, surtout le matin si on n'a pas pris le temps de boire un café et qu'on arrive au boulot la tête dans le cul, ce qui laisse à supposer que ces personnels administratifs, d'un cabinet proche visible sur la photo, risquent de ne pas considérer leur emploi comme une tâche demandant de l'assiduité, mais juste faire acte de présence pour justifier un salaire.

C'est fréquent, puisque maintenant on ne va plus travailler, on va gagner de l'argent, au détriment de la qualité du dit travail, et ce dans tous les domaines.

J'en ai fait la remarque modulée à une personne qui justement se rend au même endroit, lui demandant si ces véhicules seraient à des collègues, ce qu'elle me confirme, alors je lui explique, parce que les panneaux et l'incongruité de stationner devant un local technique sensible ne les interpelle pas, qu'en cas de problèmes ne permettant pas aux services de secours, ou d'intervention, d'être efficace pourrait bien avoir des conséquences sur les "contrevenant".

Je ne reste pas persuadé que ce soit suivi d'effet, parce que de toute façon si l'un(e), ou les un(e)s, le réalise il y aura d'autres boulons cérébraux pour s'y mettre à leur place, comme quoi la société de la facilité ça engendre des interrogations qui ne sont hélas pas collégiales.

Où alors !!! Je serais un parfait abruti qui ne sait pas encore que maintenant tout est permis, il est vrai que cette ville (et peut-être d'autres) a la particularité du laxisme des autorités en laissant à peu près tout faire ; tant qu'il ne se passe rien !!!

En fait oui, non content d'être un emmerdeur je suis aussi un crétin qui n'a rien compris à la vie moderne et au particularisme qui s'exonère du civisme, puisque ce mot n'est plus compris d'une majorité de citoyens.

Qu'est-ce que je suis con parfois ( où peut-être tout le temps ? Je vous laisse le soins de considérer ce que vous vous voulez).

Là aussi c'est chronique. (cliquez sur les liens ci-dessus)

Mais chronique de façon multi-décennales, c'est le hameau briançonnais de saint-Blaise.

Toutefois j'avais distribué des cartonnettes pour sensibiliser les habitants à réagir, n'ayant eu aucun retour, ce qui va, à juste titre, faire sourire la municipalité, je me dis que ces braves gens se contentent de ce qu'on leur laisse, à savoir des rues défoncées et un mépris municipal perceptible, puisque c'est ce qu'on en déduit.

Maintenant, pour ceux qui n'y habitent pas, donc qui ne payent pas des impôts pour Saint Blaise (même si ce qu'ils payent ailleurs inclus ce hameau) y passer ce n'est pas vraiment du plaisir, autant pour le véhicule que pour le dos.

Ma foi, quand on aime !!!

Tous les jours.

Il ne se passe plus une seule journée sans qu'on nous annonce un meurtre gratuit, un viol avec violence, des agressions violentes, des tabassages de lycéens ou de collégiens, et tant d'autres faits divers que les médias officiels évitent.

S'y ajoutent les violences conjugales de plus en plus nombreuses sans qu'on nous précise de quelle origine sont les antagonistes, mais pire encore, les violences sur les femmes et les enfants, ces coutumes obscures et d'un autre âge qui nous arrivent là aussi de pays la plupart de gouvernance religieuse.

Et presque tout le temps c'est, individu "connu des services de police", ou OQTF longue durée, ce que les politiques et les médias appellent des actes isolés, tellement isolés qu'ils en sont répétitifs.

L'État français se donne les moyens d'auto-augmenter les indemnités des parlementaires, mais pas de financer les moyens indispensables pour agir de façon efficace et rapide, alors on met les auteurs en prison dorée, pas trop longtemps, aux frais du contribuable, parce que certaine associations de soutien aux agresseurs font pression sur les autorités, le monde à l'envers.

Pour beaucoup cette dégradation sociale est du fait d'un laxisme juridique, parce que certains magistrats ont peur des représailles, je suis bien placé pour le savoir d'avoir assisté à une audience, parmi d'autres, à Sens en 1999, où l'accusé était soutenu par une horde d'agités, en salle des pas perdus, nettement perceptible de la salle d'audience. Les deux flics chargés de l'ordre complètement dépassés et de toute façon impuissants devant le nombre, se contentant de regarder ailleurs — et ils avaient bien raison — au risque de se faire tabasser par les individus déchainés.

Mais pas que, les tribunaux je connais, j'ai pu constater la navrance de certains débats, l'orientation délibérée vers une culpabilité ou une cible. Je n'irai pas plus loin parce que je risque d'être accusé de révélations. Par contre je suis à l'écriture d'un livre sur le sujet, il ne sortira pas avant deux ou trois ans, parce que c'est du lourd et implique un dysfonctionnement flagrant de l'institution judiciaire du lieu et de l'époque, surtout pendant une audience aux assises d'Auxerre à laquelle j'assistais en qualité de témoin. Mais aussi les pressions et chantages d'une autre institution de l'État qui vise le Conseil Général de l'Yonne.

Alors que des cinglés assassins ou meurtriers soient toujours en liberté, à satisfaire leur pulsions criminelles, ne m'étonne pas du tout, la police ne peut rien faire face à la magistrature laxiste, voire complaisante, retrouvant toujours les mêmes relâchés par la "Justice".

La pollution.

Ces véhicules 4x4, pratiquement indispensables en montagne pour les éleveurs et agriculteurs, sont aussi à la peine dans les chemins caillouteux sur lesquels ils grimpent pour des raisons évidentes de travail, on ne va pas prendre une berline pour monter s'occuper des moutons ou intervenir dans une partie boisée.

Aussi je comprends qu'il puisse y avoir des conséquences sur les véhicules, toutefois les fumées noires et épaisses ça tient surtout d'un manque d'entretien et de contrôle, je connais suffisamment le secteur routier pour savoir de quoi il en retourne.

Le problème c'est en ville, surtout dans des circonstances analogues à celles de Briançon, beaucoup de rues en pente, des arrêts intempestifs générés par les encombrements, mais aussi les injonctions des personnels s'occupant de la circulation aux heures fatidiques, ça augmente très sérieusement la pollution en ville, avec toutes les conséquences qui s'en suivent.

Personnels vacataires payés au raz des pâquerettes, environ 50 € la semaine, pour se geler les cacahouètes l'hiver, se faire arroser quand il pleut, ou griller au soleil, je me doute qu'il n'y a pas trop de volontaires, surtout quand on peut rester chez soi pour un salaire d'assistanat nettement supérieur.  

Certes, on peut toujours aller à vélo, comme me l'ont fait remarquer quelques connaissances, sauf que pour transporter des gens ou pour livrer des marchandises ça devient compliqué.

Borné ou provocateur ?

Des cyclistes il y en a heureusement une bonne partie respectueuse des usages de la route et de la signalisation.

Mais il y a des exceptions, se fichant royalement des pistes cyclables existantes au mépris du danger, surtout pour eux d'ailleurs.

Cette situation, de la courte vidéo ci-dessus, c'est très fréquent, pourtant à cet endroit un effort notable a été entrepris par la municipalité, une piste cyclable bien matérialisée par de la signalisation adaptée, presque aussi large que la rue Jean Moulin, entretenue par le passage de la balayeuse, au revêtement récent et en excellent état, je me dis que persister à rester sur cette chaussée rétrécie, pour une raison que j'ignore, c'est presque suicidaire, d'autant que ça impose aux automobilistes et camionneurs de se déporter sur la voie de gauche pour dépasser le cycliste borné.

Encore que c'eut été sur les routes environnantes, aux tracés cyclables sales, jonchés de divers détritus que les petits pneus de bicyclette n'aiment pas du tout, je comprendrais la tentation de rester sur la chaussée, encore que risquer sa vie c'est là aussi une interrogation, surtout connaissant l'état d'esprit de certains automobilistes, à certaines heures, qui eux non plus ne connaissent ni réglementation ni respect routier, mais c'est un autre sujet déjà paru dans ce blog.

Sa vie n'a pas d'importance à ce personnage ?

État impuissant.

Sauf peut-être ??

Pas facile de faire la part des choses, parce que des automobilistes irascibles ne supportant pas la moindre contrariété, sur la route, il y en a à foison, à tel point que certains pètent les plombs jusqu'à l'irréparable, je doute fort que le gouvernement y puisse quelque-chose sauf généraliser les dispositifs existant sur les cars et les camions de plus de 3,5 tonnes.

Mais là encore les contrevenants chroniques vont s'insurger être sous surveillance, ce qui, les concernant, ne serait pas du luxe vues les conséquences qu'on retrouve journellement dans les journaux.

Les mêmes qui tempêtent contre les radars (ceux qui sont nécessaires, pas les pompes à fric, il faut nuancer), les contrôles de gendarmeries et autres dispositifs visant à réduire les excès d'adrénaline qui saisissent certains conducteurs dès qu'ils sont au volant.

Les mesures diverses qui ne sont pas accompagnées de dispositifs sécurisants ne servent à rien d'autre qu'à tenter de justifier une place de responsables qu'aucun responsable ne peut servir, encore un paradoxe, alors qu'un appareil de contrôle embarqué sera plus efficace que tous les autres dispositifs actuellement en place.

Sauf que !

Le budget PV va être en diminution, ce qui n'arrange pas les autorités gouvernementales qui n'entendent pas se priver de ce qui est si facile pour faire du fric, une infraction ça se provoque aussi par des dispositifs contraignants, et pas toujours justifiés, qui exacerbent les conducteurs, ce qui, de ce fait, les incite à passer outre certaines aberrations pour se trouver immédiatement en infraction, d'où les radars à fric et les voitures banalisées privées avec radar, qui ne servent aucunement la sécurité dans ces cas précis.

Mais c'est un vaste débat.

Tout-en-un.

D'aucun diront que de publier mes cartes ce serait risqué, je me fous de savoir qui voit ou pas mes différentes spécificités, d'autant que tout est dans mes livres, je ne vois pas trop que cacher ce qui nous concerne peut apporter comme "sécurité" privée, ce serait même presque le contraire, moins on en sait de quelqu'un et plus on va tenter d'en connaitre un peu plus, voire beaucoup plus.

Mais peu importe, là n'est pas le sujet, pour en revenir à ce que je préconise dans l'article précédent ce serait que de mettre en place un dispositif prouvant une aptitude n'entraverait aucune liberté, au contraire, de pouvoir prouver qu'on est conscient de sa place sur la route c'est plutôt valorisant.

D'avoir un chronotachygraphe dans chaque véhicule c'est même une garantie pour le conducteur, de prouver sa bonne fois en cas de contestation, en aucune façon ce dispositif est néfaste au conducteur sauf infraction grave, ça fait près de cinquante ans que je conduis cars et camions sans jamais avoir eu le sentiment d'être pisté, d'ailleurs à chaque contrôle jamais il ne m'a été fait de réflexion sur ma conduite.

Par contre, en cas de problèmes graves impliquant un conducteur totalement hors de contrôle, là ça peut servir à freiner la vélocité de ceux qui prennent la route pour un circuit d'essai de formule 1, parce que tempérer ces gens c'est sauver des vies, celles de ceux qui ne sont pour rien dans un accident alors qu'ils en subissent les conséquences.

Là oui il y a un travail à faire, une seule carte qui englobe tout, au lieu d'en avoir plusieurs qu'on risque d'égarer, afin de garantir que chaque conducteur est conscient de sa place sur la route, mais aussi conscient de la place des autres.

J'attends les commentaires qui ne vont pas manquer, ça va être piquant.

Je ne suis pas un conducteur exemplaire, d'ailleurs ça n'existe pas, je suis un conducteur comme les autres avec mes défauts et mes qualités (si si, j'en ai), depuis que je conduis, officiellement 1970, officieusement 1966, je n'ai eu que quatre PV, mais je fais attention, à moi-même et aux autres, autant que je m'en méfie tellement je vois de situations complètement dingues sur la route.

Je reste un citoyen libre et depuis que j'ai la qualification conducteur, donc soumis à la possession de ces dites cartes et aux appareils de contrôle, jamais je n'ai eu le sentiment d'être sous surveillance, la psychose ça se soigne par l'expérience dans la durée par le respect des autres et des règlements divers.

Je crains bien plus des mesures arbitraires que mon comportement.

49/3

Le retour.

Ça se serait une mesure arbitraire, parce que là on est coincé, si les inaptes à gouverner n'ont d'autres solution que d'imposer par la force alors leur place n'est pas au gouvernement, imposer de force les français à payer les conneries de ceux qui se gobergent, et qui dépensent l'argent public à autres qu'en faveur de la population, des infrastructures indispensables, des besoins en énergies, c'est du vol au sens propre du mot.

Se servir de l'article 49/3 de la constitution (article qui aurait dû être supprimé dès le mandat Pompidou en 1969) pour racketer les français c'est du vol d'État, ni plus, ni moins ; et puis shunter en permanence les forces d'opposition, quelles qu'elles soient, c'est de l'anti-démocratie, ça s'appelle aussi du totalitarisme, première étape avant le pouvoir absolu qui devient vite de la dictature.

Pas la peine d'avoir dissous l'Assemblée Nationale, dans un moment de panique personnelle incompréhensible, pour revenir à la case départ au mépris total du vote des français.

L'avenir est sombre, d'autan que l'État sacrifie les retraités, et futurs retraités que sont les actifs d'aujourd'hui (Ce que ces derniers semblent ne pas réaliser), en les faisant passer pour des nantis alors que ces retraités ont fait fonctionner le pays, par leur travail, durant au moins quarante cinq ans (cinquante sept ans en ce qui me concerne), drôle de remerciement de la patrie envers ceux qui la financent en permanence.

Ce ne sont pas les élus qui font fonctionner la pays, c'est le peuple, ce qu'oublient un peu trop facilement ces élus qui se prennent pour des "savants politiques" alors qu'une partie non négligeable est nulle à chier, ne devenant parlementaires que pour en tirer profits et fausse notoriété.

Un (ou une) élu c'est un CDD éjectable, rien de plus, au service de la population il n'a (ou elle n'a) que le devoir de gérer ce que le peuple lui demande en lui rendant des comptes, ce qui est devenu un lointain souvenir.

Ça fait bientôt trois ans que je demande des comptes au maire de Briançon, enfermé dans son monde illusoire il faire preuve de mutisme obtus qui ne le sert pas, il s'en rendra compte, mais peut-être trop tard de mépriser ceux qui lui ont fait confiance. 

C'est tout pour aujourd'hui.

Je continue ma page "religieuse", tant à écrire que ça prend du temps.

Bonne journée à tous.

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