Avertissements ou guignolades ?
Ce ne sont que ceux qui rient et se gaussent, qui vont pleurer.
(Citation de couverture blog, source "Le Parisien")
Pour moi pas de problème.
Si je fais paraître des pages d'avertissement, voir d'alarme, ce n'est pas pour me protéger, ou assurer mon avenir, à bientôt 73 ans il est derrière moi.
Juste que je ne suis pas un égoïste qui ne pense qu'à ma gueule, je m'inquiète pour les générations suivantes, ceux qui aujourd'hui ont cinquante ans vont souffrir, mais que dire de ceux qui en ont trente ; pire encore ceux qui n'en ont que quinze !
Ils vont être les clones d'une politique absolue qui ne leur laissera même pas la possibilité ne serait-ce que d'élever la voix.
Les choses s'accélèrent, les moyens de museler les peuples se mettent en place, insidieusement, sans même faire de vague, pourtant la machine à vous broyer est en marche et elle fonctionne bien.
Aussi, quand je constate à quel point nos élus locaux nous méprisent pour nos prises de position, je me dis qu'il y a comme un problème, soit celui qu'on averti des risques qu'il prend à nous mépriser peuvent lui être nuisibles, soit il a des intérêts personnels à défendre pour profiter de la population afin améliorer son cadre et son train de vie, soit c'est un malheureux crétin obtus qui ne comprend rien et qui persiste dans l'erreur.
Dans le contexte du jour ce sont les petits détails qui nous pourrissent la vie, à J + 15 après la dernière chute de neige, pas très conséquente, l'accès au passage piéton n'est qu'une épaisse croute de glace, dans un autre domaine les nids d'autruche qui s'ouvrent un peu partout, sur nos chaussées défoncées, sont responsables des dégâts matériels des véhicules, imaginez une moto se payant ce magnifique trou, le soleil dans les yeux il ne se voit qu'au dernier moment.
Et c'est incessant comme ça depuis des décennies.
Pour le trou j'ai appelé les services techniques, l'accueil à été sympathique et la prise de décision immédiate, je ne suis pas allé voir si c'était fait, j'ai confiance en mes interlocuteurs, pas tous hélas, loin s'en faut.
L'étanchéité municipale, du moins de certains élus, fait que la critique constructive devient une maladie qu'on appelle la haine, la haine de ceux qui sont élus pour servir la population mais qui méprisent une partie de cette population.
Le CCCPB.
Collectif des Conducteurs, Cyclistes et Piétons du Briançonnais.
La création de cette association découle de la négligence chronique des élus pour l'exécution de ce qui est basique, la remise et le maintien en état des infrastructures de la ville, quelles soient routières, mobiliers urbains, ou éléments d'agrément comme l'habillage de ce qui est visuel, là je pense spécialement aux vérandas du pont sur la Durance de la rue Centrale. Mais pas que.
Et puis l'état des trottoirs, quand ils existent, et puis bien d'autres-choses encore qu'il serait fastidieux de rappeler, il n'y a qu'à parcourir mes nombreuses pages sur le sujet, rubrique Briançon du bandeau droit de ce blog.
Il est aussi du devoir d'un citoyen de signaler, soit à la mairie, soit aux services techniques, ce qui attire l'attention dans les désordres de la ville, oh combien nombreux.
Comme je l'avais déjà écrit, quand un élu ne sert pas la population avec les finances qu'il en reçoit c'est du détournement de fonds publics, je l'écris à nouveau même si M le Maire veut déposer une plainte pour diffamation à mon encontre, on peut voir partout que cette dite diffamation est justifiée par des preuves tangibles et l'appui d'un constat d'Huissier de Justice.
Ce qui est assez pénible à entendre, rabâché en permanence par certains élus, c'est leur prétention à vouloir prouver qu'ils tentent de travailler au bénéfice des administrés, se gorger de suffisance en montrant que certains secteurs sont pris en compte, c'est la particularité des fainéants à prouver que pour une fois ils ont fait leur travail.
Bien entendu je n'affirme pas que les élus sont des fainéants, c'est juste l'image, encore que pour certains, surtout de la précédente municipalité, on se pose tout de même des questions.
S'il devient nécessaire de créer plus qu'une association, afin de remplacer, en 2026, ceux qui prouvent qu'ils ne sont pas performants dans leurs fonctions, nous le ferons, mais nous n'en sommes pas là, ça ne dépend que de la réaction municipale aux doléances des briançonnais et des habitants des vallées, eux aussi dans un état de questions dont ils n'ont pas la réponse.
La démagogie briançonnaise, surtout dans la vallée de la Guisane, interpelle, bétonner en supprimant ce qui fait la caractéristique d'une ville de haute montagne c'est à coup sur détruire le caractère montagnard qui attire ceux qui recherchent le dépaysement.
Alors adhérez à notre association pour cinq euros par an, juste de quoi couvrir nos frais de fonctionnement, pas pour nous enrichir comme d'autres le fond en ce sens.
Qu'est-ce que la critique.
La critique littéraire c'est faire remarquer à l'auteur qu'il y a des incohérences dans son texte en vue qu'il s'améliore.
Je suis bien placé pour le savoir et j'écoute qui me critique, parce que je sais que c'est dans mon intérêt, les quelques auteurs connus, que je connais, m'ont aiguillé sur des cibles autres que celles que je m'étais fixées.
La critique politique c'est mettre en garde un certain nombre de politiciens, sur les erreurs qu'ils commettent, afin qu'ils s'en corrigent.
La critique n'est pas négative, elle est positive à condition que ceux qui en sont la cible l'admettent, hors, quand un élu, qui suinte de suffisance et de mépris, considère qu'il est attaqué par la critique c'est parce qu'il est incapable d'en tirer profit, ou alors c'est un crétin obtus qui ne doit sa place qu'à ceux qu'il a berné dans ces propos et promesses, soit parce qu'il est obligé, fort des promesses en privée qu'il aurait pu faire à ses clients d'avant élection, soit il en tire des finances sur le dos de ceux qu'il berne.
Il y a toujours une raison négative qui fait qu'un élu n'écoute rien, juste savoir laquelle, ou lesquelles.
Rien n'est immuable.
Quel que soit le régime, quelle que soit la place, quelle que soit la fonction, il y aura toujours une fin.
Que des élus se pensent indéboulonnables c'est une erreur fondamentale, surtout dans un contexte international mouvant et agité.
Là, j'ai mis la photo du renversement de Ceausescu, en 1989, mais partout à travers le monde des régimes sont renversés, même ceux qui emploient la force et la terreur.
D'ailleurs la terreur ne fait que renforcer la détermination de ceux qui veulent du changement ; ce qui m'étonne, c'est que des élus supposés instruits et intelligents ne le prennent pas en compte.
Quand un dirigeant quelconque, de quelle que nature soit sa fonction, persiste dans sa ligne de conduite, qui consiste à tromper ceux qui l'ont élu, c'est que c'est un crétin qui s'imagine toujours en sortir à bon compte, puisqu'on peut avoir de l'instruction sans pour autant être d'une grande intelligence.
D'ailleurs il ne suffit que d'écouter ces élus qui sont soudainement élevés au-dessus du peuple, ils planent sur leur nuage illusoire, ne réalisant pas qu'il y a des trous, dans ce nuage.
Pour ma part, quand un individu, élu ou non, me coupe la parole pour m'empêcher de continuer à développer ce qui le dérange, c'est un crétin, même s'il s'imagine d'une intelligence et d'une instruction lui permettant de soumettre ceux qui s'y opposent.
Quand quelqu'un persiste dans l'erreur c'est qu'il est, soit coincé par ceux qui le manipule dans l'ombre, soit parce que ce qu'il perçoit financièrement vaut l'auto-suicide politique, même local, soit il est persuadé être supérieur aux autres, ce qui par nature le rend inférieur.
Les guignolades diverses de nos élus divers, qui se succèdent à grande vitesse, prouvent que ce ne sont que de petits esprits prêt à tout pour faire semblant d'être le meilleurs ; depuis le début de la "pandémie" Covid on a pu le constater, je n'ai jamais vu un tel ramassis d'incapables ayant des responsabilités gouvernementales, entre mensonges incessants, casseroles diverses, mépris de la population et autres, comme un président de la république qui insulte publiquement une partie de son peuple — du jamais vu depuis la première république — on réalise bien que la grandeur de la France est au fond de la fosse septique.
Le pire, c'est que les avertissements de compassion, puisque c'est l'objectif de cette page, ne sont même pas perçus, interprétés de façon négatives par ceux qui se sentent visés ils transforment en haine personnelle ce qui leur serait bénéfique.
Alors localement n'en parlons pas, passe d'abord la démagogie, après, s'il en reste, on donnera quelques miettes aux administrés pour leur faire croire qu'on travaille pour eux.
L'humilité et la compassion sont des mots qu'ils ne connaissent pas, l'attrait de la gloire illusoire leur cache la réalité.
La suite dans quelques semaines.
Bonne journée à tous.
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