Les esclaves du système
Sans même s'en rendre compte d'ailleurs
Arnaque classique.
Les produits par lot sous emballage plastique, supposés être économiques, ne le sont pas, ce serait même plutôt le contraire.
L'Orangina, que je consomme beaucoup, ce jour est vendu aussi par lot, au-dessus de la palette pas de prix, donc impossible d'en connaitre le montant.
C'est en passant en caisse que je constate la différence d'avec le prix à l'unité, on va me dire 0,04 euro d'écart ce n'est pas la mer à boire, et justement les distributeurs comptent sur cette infime différence pour que ça passe inaperçu, sauf que pour eux, cette pratique, employée pour des dizaines de milliers de produits, est bénéfique.
Signalé en caisse centrale le personnel fait l'étonné, ce qui ne m'étonne pas, toutefois pour garder sa place il est préférable d'adopter les consignes qui consistent à ne pas avoir de réponse cohérente, responsabilisant le "problème" à l'informatique.
Machine humaine.
Maintenant, quand un robot vous demande de confirmer que vous êtes bien un humain (du moins ce qu'il en reste) afin de vous enregistrer dans une mémoire robotisée, on peut comprendre que les divers personnels des diverses entreprises soient eux aussi lobotomisés à donner raison aux robots qui les soumettent.
Est-ce que les adultes d'aujourd'hui réalisent qu'ils ne sont plus en capacité de fonctionner sans les robots ?
Imaginons un instant la disparition immédiate d'Internet et de l'informatique, le monde entier plonge dans le chaos, sauf peut-être les peuplades encore libres des régions encore épargnées du globe.
Imaginez un seul instant que nous revenions dans les années 1950, l'époque de mon enfance, sans machines à laver, le linge comme la vaisselle, sans réfrigérateur, sans télévision (Réservée à l'époque à ceux qui avaient les moyens de se la payer, de toute façon une seule chaine en noir et blanc), sans matière plastique (À l'époque c'était l'ébonite à usage très limité) Avec une seule ligne de téléphone par village en passant par l'opératrice, bien entendu pas de téléphone portable ni appareil vidéo de quelle que sorte qu'il soit.
L'électricité en 110 volts, pas non plus de linge synthétique, des vitres simple vitrage, pas de trottinette électrique, pas de vélo électrique, des transports poussifs et polluants, et des tas d'autres manques de ce qu'on a aujourd'hui.
Je me dis que ce serait vite des conflits sociaux indescriptibles, des règlements de comptes, des morts par dizaine de millions en très peu de temps.
Par contre, on était libre de penser ce qu'on voulait, personne n'était pisté en permanence à travers l'informatique par satellite (Le premier, spoutnik, à été lancé en Octobre 1957), Etc., etc..
Le second zoo de Paris.
Zoo pour humains formatés, d'ailleurs même pendant l'occupation allemande, à Paris 1940/1945, il n'y avait pas de parcage des animaux parisiens interdits de circuler librement dans leur ville.
Il fallait montrer un ausweis aux occupants mais que pour passer les lignes de démarcation, pas pour se rendre au boulot ou rentrer chez soi.
L'humanité d'aujourd'hui c'est l'humain au service des machines.
Certes, il faut comprendre le pourquoi du comment, il faut expliquer ce qui oblige à des mesures d'exception dans un contexte tendu, je ne dis pas qu'il ne faut pas de sécurité, je constate juste la disproportion des moyens mis en œuvre, donc aussi leur coût pour les parisiens punis par ce qu'ils financent, et l'excès de sécurité.
Comment expliquer qu'il faille en être aujourd'hui à déployer des moyens humains et matériels d'envergure pour un évènement sportif, fut-il mondial.
Juste réfléchir à ce qui justifie ces moyens, quand un État dysfonctionne, quand une communauté doit se surprotéger, c'est qu'il y a matière à ce que ce soit. Savoir ce qui est la cause de la justification !
Les ingérences diverses, communautaires internationales, font qu'on abouti à des situations de conflits qui n'aurait pas lieu d'être si chaque pays se mêlait de ses affaires.
Le sujet est vaste et compliqué, je me serais bien attelé à en tracer quelques grandes lignes mais je crains que la dite page soit trop chargée pour être vue jusqu'au bout, et puis ce qui appartient de mes pensées et avis n'est pas forcément l'avis et les pensés des autres, aussi la diversité sociale c'est justement l'amalgame des diverses idées et activités à considérer dans leur ensemble, la société c'est l'ensemble de ce qui est incompatible réuni pour le rendre acceptable.
Une ingérence parmi tant d'autres.
Le sujet n'est pas français mais israélien, toutefois il est à remarquer que des pays agressifs ou moralisateurs en sont à prendre des mesures d'exception pour se garder la tête haute, mais surtout pour espionner ailleurs, là aussi on se rend compte que l'agressivité démontrée fait qu'il faille prendre des mesures d'exception.
Israël qui fait appel à des cabinets privés américains, comme l'a fait Macron pour la France, je pense que ça vous rappelle quelque-chose, quand on découvre les coûts de ces cabinets américains il devient difficile de ne pas s'étonner des frais engendrés et des sommes disproportionnées, je pense que les Israéliens moyens apprécieront difficilement de financer de leur impôts une telle gabegie.
Juin 1940 / janvier 1943.
La première image c'est Paris 2024, la seconde l'occupation allemande.
Le rapport est excessif ? Probablement, toutefois ça commence à devenir une habitude, en 2020 nous étions en guerre contre un virus et aujourd'hui nous sommes en guerre contre des menaces éventuelles, en fait il n'y a pas de guerre autre que psychologique, du moins pour le moment.
Ma mère, qui a vécu la vraie guerre en pleine adolescence, m'a aussi raconté cette période, je pense que si aujourd'hui elle était encore de ce monde, ce qui lui ferait 101 ans, elle s'interrogerait sur ces excès de précautions et sur les similitudes ; encore que les parisiens des années 1940/1945 n'étaient pas parqués ni interdits de circuler.
Quelle sera la prochaine étape ?
Étienne de La Boétie.
Écrivain et poète, devenu juriste décédé en pleine jeunesse, n'avait que 18 ans lorsqu'il a écrit la Servitude Volontaire, petit livret que j'ai acheté il y a des années et qui relie d'étranges similitudes avec la société de maintenant. Encore que sous François 1er le fonctionnement social français était tout autre mais certainement plus libéral qu'aujourd'hui, malgré les apparences fantasmagoriques.
Je me suis toujours demandé ce qui pouvait faire qu'une société persiste à nommer et aduler ses bourreaux, à croire que la société est masochiste de toujours réclamer des verges pour se faire fouetter.
La politique est complexe, alors quand en plus elle s'internationalise, pour là aussi se créer d'autres bourreaux, je me dis que les français d'aujourd'hui n'ont finalement que ce qu'ils méritent, se plaindre de ce qu'on réclame c'est une forme de déviance sociale que je ne m'explique pas.
Aussi, si les désordres grandissants qui submergent la France s'amplifient, c'est peut-être aussi parce que ça arrange ceux qui pourraient faire que ce ne soit pas, la chienlit, comme les guerres, ont toujours été un intérêt certains pour ceux qui en tirent avantages et bénéfices, les seuls qui en subissent les conséquences sont ceux qui mettent en place et entretiennent les précédents.
Quand on aime !!!
J'ai envie d'en écrire des volumes de milliers de pages, il y a tant à dire et à démontrer, sauf que ça ne servirait pas à grand-chose, la populace, par définition, ne se sert que là où c'est facile, sans avoir à chercher à comprendre, juste vivre dans l'illusion permanente d'un jour meilleurs qu'elle ne verra jamais.
Bientôt ma page sur les journalistes, en rapport direct avec cette présente page.
Bonne fin de journée à tous.
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