Le cout des impôts à Briançon

Publié le par François Ihuel

 

Le saviez vous !

 

58 000 €

C'est ce que payent les briançonnais pour avoir le droit de payer un parcours chaotique, oh combien !

Le prestataire ne va pas de si tôt remettre sur les rues défoncées son joujou coûteux, pour les administrés bien entendu.

Il faut savoir :  À Briançon les contribuables payent le financement de cette location, ils payent aussi le prix du trajet, supposément pour éviter le chronique bordel routier de cette ville, bordel routier qui incombe à la non organisation d'un véritable plan de circulation, j'ai déjà fait état du sujet.

L'article du journal laisse entendre que ce serait l'état des rues de la ville qui serait responsable de la rupture d'essieux du dit petit train, mais pas plus, le sujet de l'état de la ville est délicat, le journal local n'a pas vocation à s'y étendre, surtout ce sujet qui fâche.

La sanction tombe pour les briançonnais, la municipalité, comptant un peu sur cette "attraction" pour tenter de dynamiser la fréquentation touristique, en est pour ses frais, du moins pour les frais des contribuables briançonnais, puisqu'au final c'est toujours cet éternel pigeon local qui finance.

 

Le mur d'escalade.

D'un coût aléatoire, allant de 680 000 € à plus de 1 000 000 € suivant les sources, le financement de la ville s'entend, donc des briançonnais.

Je ne sais pas encore, mais je le saurai vite, comment bénéficier de cet équipement. Faut-il s'inscrire moyennant une adhésion ? Quelles seraient les plages horaires qui permettrait d'utiliser ce mur pour les adhérents, savoir s'il faut aussi louer l'équipement, puisque pour monter il faut du matériel ?

Ce mur, financé par les contribuables briançonnais, pour la gloire d'une ville en "ruine" qui veut montrer que même dégradée elle vaut le détour, à condition, bien entendu, d'éviter les rues et routes défoncées, bouchonnées à grand renfort d'enrobé à froid qui n'aime pas la chaleur, les chaussures en portent témoignage collant, donc également la moquette de la maison.

Donc, les briançonnais contribuables, ou contribuables briançonnais, financent, de force puisqu'on ne leur demande pas leur avis, là aussi, ce qu'ils sont obligés de payer de nouveau pour l'utiliser.

Mais pas que.

 

Source Briançon Info

Source Briançon Info

Briançon Info.

C'est un des services administratifs de la ville, d'ailleurs actuellement le responsable est en vacances, ce qui fait qu'il n'y a pas d'info touristiques en ce sens, ce en pleine saison estivale, un peu comme attendre un train dans une gare d'une ligne désaffectée

Donc pas d'info, pourtant, en vieille ville, la herse de la porte de Pignerol, sous le vieux Colombier, est abaissée une fois par semaine, ce pour l'attraction touristique, même si les touristes sont clairsemés, ce que j'ai constaté personnellement.

Sur le Dauphiné Libéré pas une ligne non plus, il est vrai que ce n'est pas une information à la gloire du Maire, de cette ville, qui ne sait même plus qu'il y a d'autres administrés que ses clients et les promoteurs immobiliers, ces derniers financés par les autres oubliés.

Ce télécabine, qui coute une fortune, plus en intérêts bancaires que sont coût réel, qui serait remboursé depuis longtemps si chaque maire qui passe ne restructurerait pas le crédit indéfiniment, pour le plus grand bonheur des banques — mais M le Maire de Briançon travaille dans la finance, comme M Macron — ce actuellement sur 60 années depuis la création de ce furoncle financier qui ne rapporte pas un seul centime à la ville.

Pourtant, le "con-tribuable" briançonnais finance la dette, les intérêts de la dette, pharaonique depuis le temps, mais doit aussi payer pour l'utilisation de ce qu'il finance, 10,50 € par piéton pour la moitié du trajet, 19 € pour monter au sommet, ce pour une seule journée.

La sortie familiale du briançonnais moyen, avec deux enfants, c'est au bas mot 36 €, en plus de financer la dette, les intérêts de la dette et les gabegies municipales de moindre importance.

Être briançonnais c'est pouvoir roucouler, comme le pigeon qu'il est, mais à condition d'avoir un peu d'argent de côté, ce qui, en cette ville touristique aux tarifs explosifs, devient un grand luxe, puisque le briançonnais moyen est assujetti aux tarifs touristiques pour touristes pigeons qui sont taxés d'avoir eu l'imprudence de croire que cette ville, au délabrement classé à l'UNESCO, serait le nirvana du panorama incontournable, seule chose encore gratuite à condition de ne pas se trouver en des endroits panoramiques pollués par la présence de véhicules de toutes sortes.

Habiter à Briançon ce sont des salaires au ras des pâquerettes, c'est avoir un véhicule, indispensable dans ce trou du cul du monde oublié de tous, c'est chauffer entre six et huit mois sur douze, c'est avoir des équipements spéciaux obligatoires pour circuler, donc un surcoût non négligeable, c'est payer les denrées indispensables au tarifs élevés, à cause des coûts d'acheminement — alors qu'il existe une solution simple pour réduire les coûts des transports ( une page plus avant dans ce blog) — mais aussi financer une dette qui va devenir centenaire sans qu'on en voit la fin.

Donc le briançonnais finance des infrastructures qu'il ne peut utiliser puisque réservées aux professionnels sportifs ; sauf payer une adhésion et payer le droit de se servir de ce qu'il finance.

Mais M le Maire est content, il glorifie son image médiatique à chaque occasion de figurer sur une photo avantageuse, donc aucun risque qu'il figure sur mes photos qui démontrent l'exact contraire de ce qu'il prétend.

J'espère qu'en 2026, tous ceux qui se font avoir, en finançant ce qu'ils ne peuvent utiliser gratuitement, s'en souviendront.

À suivre.

Bonne fin de journée à tous.

 

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