Vaccins et surpopulation
Je vais en faire hurler certains et douter d'autres, pourtant un facteur d'importance est camouflé
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Vaccination des enfants: l'Onu sonne l'alarme sur un risque de "catastrophe absolue"
En 2020, 23 millions d'enfants n'ont pas reçu les trois doses du vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, ou DTP3, qui sert de mesure de référence. L'Onu a sonné l'alarme jeud...
L'article se veut "scientifique". (Cliquez sur le lien)
Pourtant il y a une logique humaine que l'humanité veut passer sous silence.
Tout ce qu'il y a dans l'article ci-dessus c'est très bien, humanitairement on comprend que de vouloir préserver la vie est un acte essentiel, je préciserai plutôt religieux mais c'est un terrain délicat que les supposés laïques ne veulent pas entendre.
D'ailleurs depuis la première découverte de la virologie par Dmitri Ivanovski en 1892 des travaux ont été engagé par d'autres chercheurs dont Louis Pasteur en fut un des pionniers, il a créé le vaccin contre la rage qui faisait des ravages, s'en sont suivi d'autres découvertes comme les antibiotiques qui ont enrayé la décimation des malades par infection.
À ces époques la population mondiale était de 1,4 milliards d'habitants, c'était le début de la révolution industrielle et le début de la régression de la mortalité infantile, les morts naturelles à la naissance, puis les morts pendant l'enfance dont un sur trois n'arrivait pas à l'âge adulte - plus avant c'était un sur deux, voire même trois sur cinq jusqu'au milieu du XVIII ème siècle - puis les famines, puis les maladies et enfin les guerres, permettaient l'équilibre de la population mondiale, avec la révolution industrielle est née la révolution financière, le début d'une nouvelle aire qui a généré le profit à grande échelle autre que par l'imposition autarcique, ce qui implique l'extension de l'industrie donc de la main-d'œuvre indispensable jusqu'à ce qu'aujourd'hui on remplace les humains par des robots.
La mortalité infantile, d'environ 30%, régulait la fécondité encore qu'il faille considérer les régions du monde et leur contexte de l'époque.
Le gros problème de pouvoir faciliter la vie en combattant la maladie c'est le développement exponentiel de la population, qui dit essor dit demandes, qui dit demandes dit offres, plus on est nombreux et plus il faut produire, plus on produit et plus il faut de monde pour produire, la mise en marche d'une "machine" infernale qu'on ne peut plus arrêter ; tant que l'humanité ne s'en tenait qu'à vivre pour perdurer l'équilibre lui était bénéfique, dès qu'une population croît plus qu'elle ne peut s'autosuffire la balance se déséquilibre au détriment d'autre chose, cet autre chose c'est le règne animal et végétal, pour nourrir de plus en plus de gens il faut produire et élever du bétail, la domestication de certaines espèces se fait au détriment des autres que certains appellent "nuisibles", pour exemple proche de nous il y a les moutons et le loup.
Déjà à ma naissance, en 1950, on trouvait que le nombre de 2,5 milliards d'habitants devenait excessif, mais comme nous venions d'essuyer deux grandes guerres qui ont tué 70 millions d'hommes auxquels il faut ajouter les 40/50 millions de morts de la grippe espagnole la crainte de nouvelles hécatombes a surpassé l'interrogation de savoir si la multiplication de la population mondiale n'allait pas un jour ou l'autre soulever un gros problème, nous sommes en plein dedans.
Si l'industrie chimique est venu au "secours" de l'alimentation massive par transformation génétique ça a aussi déstabilisé la nature, de moins en moins de terres qu'il faut rendre plus fertiles en la forçant, ce qui à moyen terme va la stériliser mais nous n'en sommes pas encore là.
Ce qu'on stérilise ce sont cultures au détriment des insectes qui pollinisent et qui nourrissent les oiseaux, l'alimentation devient "chimique" pour remplacer ce qu'on a détruit ; en chine à l'époque de Mao ils ont fait le contraire en tuant les oiseaux par milliard, résultat les récoltes décimées par les insectes en surnombre qui est l'image type de ce qui attend l'humanité dans les décennies qui viennent aussi à cause de la décimation massive des insectes par les produits chimiques dits "agricole". D'avoir détruit des oiseaux a détruit des dizaines de millions de chinois.
Alors de vouloir sauver le plus de monde dès la naissance, et parfois même avant la naissance, c'est le suicide de l'humanité, savoir que les maladies se propagent d'autant plus vite que nous sommes nombreux, dans les temps passés les pandémies s'éteignaient faute de contact, sur ce point les scientifiques médicaux - ne pas confondre avec les "scientifiques" politiques - ont raisons, la distanciation et la protection individuelle sont la parade, sauf que depuis des mois on nous bassine avec des annonces contradictoires, des interventions de gens qui n'ont rien à faire dans ce processus sanitaire mais qui sont comme la mouche du coche à se gonfler d'orgueil de ne rien savoir ou de déformer ce qu'ils apprennent.
On tente donc par la chimie et les "sciences" de compenser l'explosion virale par la vaccination de quelle que nature qu'elle soit pour quel que virus que ce fut, c'est une bataille perdue, la nature a toujours une longueur d'avance sur le développement humain et heureusement.
Une fois que l'équilibre de la population est revenu, en ces temps passés, les virus ne se propageaient plus ; évidemment on ne va pas éliminer la moitié de la population mondiale pour enrayer le virus alors que dans la logique c'est la réelle solution mais là on se heurte à l'étique et aux religions, ce qui fait découvrir des interventions diverses comme la vidéo ci-dessous que je vous invite à regarder sans que j'abonde dans le sens de la responsabilité ciblée. Toutefois on ne peut s'empêcher de penser que de créer de quoi la réduire est la solution, je ne suis pas le seul à m'inquiéter de ce problème majeur.
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Notre ennemi commun, c'est Macron ( Et son monde )
Pour financer le canard : https://www.helloasso.com/associations/le%20canard%20refractaire/collectes/financons-le-canard-refractaireCimer à @État cryptique p...
La politique qui pourri tout. (Cliquez sur le lien)
Cette vidéo c'est une réalité, le bon sens et la logique, bien entendu elle va faire controverse puisque ça implique des personnages qui ont une place à défendre et une catégorie de population tellement formatée et subjuguée qui va hurler au complot puisque c'est la grande mode, quand la vérité dérange ont parle de complotistes et "fakes" comme ils disent, en fait plus on combat ce qui est réaliste et plus on veut cacher quelque chose, si on veut cacher ce qui ne doit pas se savoir c'est que c'est néfaste mais que ça sert des intérêts, rien de nouveau donc, c'est la méthode ancestrale qui sert à chaque fois depuis qu'existent les communautés.
Bien entendu la volubilité excessive est palpable puisque la cible c'est le Chef de l'État alors que c'est nettement plus complexe, toutefois le fond est juste, repris par multiples intervenants la musique change mais pas les paroles, c'est ce qu'il faut retenir.
Si les dispositions prises par les autorités étaient fondées on ne ferait pas de particularisme, ou on traite tout à égalité ou on ne fait rien et on attend que la pandémie s'éteigne après avoir "éliminé" le comburant - donc les humains - qui lui permet de circuler, ce qui se passait dans les temps passés.
Hors actuellement on particularise des édifices sociaux en faisant le tri, on induit à la population que les non-vaccinés sont forcément malades et risquent de contaminer les vaccinés qui seraient de ce fait en danger, à quoi sert le vaccin alors si le risque est identique ?
Pire, on divise la France en deux, on crée des pestiférés potentiels sans en connaitre la réelle nature puisque ce n'est pas parce qu'on n'est pas vacciné qu'on est forcément malade, savoir que ceux qui sont touchés sont ceux qui sont les plus sensibles aux divers virus, comme écrit plus avant il y a des gens qui ne seront jamais infectés même s'ils sont en contact avec les différents virus, la nature est ainsi faire que des gens sont réceptifs et d'autres non, on dit ces derniers asymptomatiques, alors induire l'idée que tout le monde est potentiellement vecteur de maladie c'est une erreur colossale et crée une fracture sociale profonde en rendant suspicieux ce qui ne doit pas l'être, l'induction de la peur est le facteur déclenchant de l'hystérie collective actuelle, savoir que depuis des décennies on apprend la peur aux populations, la "pandémie" en est l'aboutissement.
Tout ça n'est pas spontané, c'est une stratégie mondiale préparée depuis pas mal de temps, mais il fallait d'abord induire la peur à travers d'autres facteurs, le dérèglement climatique, la pollution, la virulence violente de la délinquance, etc., même si ces facteurs sont bien réels ils n'ont pas la responsabilité qu'on veut bien leur donner, la plus grande crainte c'est justement la peur d'avoir peur, et ça marche.
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Vidéos détonnante. (Cliquez sur le lien)
Mais pas forcément inintéressante, la part des choses se fait à l'échelle personnelle, chacun a le droit de s'exprimer comme personne ne doit induire à un autre qu'il serait en tort sur une simple présomption basée sur le particularisme, les gens n'analysent les informations qu'en se référant à eux-mêmes, c'est une logique, on est tous le centre du monde par rapport aux autres tout comme l'univers entoure le point où on se trouve qui en est le centre, il suffit de déplacer le point pour changer la place de l'univers sans en changer le centre.
Nous avons donc tous raison ce qui nous place en tort par rapport aux autres, ainsi de penser qu'une décision est immuablement réelle reste une illusion, elle ne prend de sens que si elle est partagée, plus il y a de monde à la partager et plus elle prendra de valeur sans pour autant être juste, il suffit de la rendre persuasive, ce qui est plus simple quand on est bien placé pour se faire que quand on est dans le contexte inverse.
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Le discours incroyable de ce virologue concernant la vaccination et le variant Delta!
Extrait tiré de l'émission "90 Minutes Info", diffusée sur CNews le 3 Juillet 2021Soutenez-nous sur Paypal pour plus d'interventions : https://bit.ly/3gvpFPE
Les recoupements par la science. (Cliquez sur le lien)
Là aussi il faut se rendre à l'évidence, le discours est différent mais la finalité reste la même, là encore fonction de la place qu'on occupe dans la société les mots ne sont pas assimilés de la même façon, pourtant quand on écoute tous ces gens il faut se rendre à l'évidence, la précipitation et la cacophonie de ces 20 derniers mois révèlent que le bon sens c'est la prudence dans les déclarations, les politiques divers, plus ou moins crédibles, ont tellement balancé de conneries diverses et se sont montrés tellement orgueilleux, tellement imbus de leur pouvoir, imposant sans pédagogie, intimant sans explications, refusant la contre-vérité, se retranchant derrières leur fonction officielle, qu'ils s'en sont rendus exécrables au regard d'une bonne partie de la population, je me demande comment un responsable d'État peut à ce point être si peu instruit d'une pédagogie indispensable, au lieu d'aller prudemment vers des obligations en employant un autre langage qu'autoritaire et injonctif ils se sont précipités sur de l'expéditif ponctuel sans même calculer les conséquences tellement sûr de n'être pas sûr mais voulant le paraitre.
C'est là que se dévoile l'incompétence politique de certains "bombardés" en urgence par un pouvoir exécutif complètement dépassé et subjugué. Je préfère de loin des gens posés, qui expliquent sans l'exaltation de leur pouvoir et de leur image fortement médiatisé - ce qui d'ailleurs les induit souvent à sortir des conneries pour parader - pour se donner l'air de ne pas en avoir.
Le manque cruel de pédagogie, dès le début de cette crise sanitaire loin d'être aussi alarmante qu'on veut bien nous le faire croire, a généré un courant d'opposition instantané étanche aux dénégations et propos cacophoniques d'État, d'avoir imposé des personnages douteux et incompétents en la matière, d'avoir écarté avec fracas médiatique des personnages posés, et conscients des enjeux, ayant des avis circonstanciés favorables à une bonne prise en compte de la situation sanitaire, fait que le mal est fait, aucun discours, si rigide et menaçant soit-il, ne viendra à bout de l'exaspération nationale, je réalise que la diplomatie d'État n'est pas plus fructueuse à l'intérieur qu'à l'extérieur. On se demande pourquoi ces gens propulsés à des postes ne sont pas plus instruits ni plus au fait des réalités.
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Vaccination des enfants: l'Onu sonne l'alarme sur un risque de "catastrophe absolue"
En 2020, 23 millions d'enfants n'ont pas reçu les trois doses du vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, ou DTP3, qui sert de mesure de référence. L'Onu a sonné l'alarme jeud...
L'international. (Lien identique du début de page inutile à relire)
Pour revenir au début de ma page on constate l'incohérence de certaines situations, sauf être aveugle il faut bien réaliser que la fuite en avant de l'exponentielle démographie ne fait qu'amplifier des problèmes qu'on tente de combattre, c'est là que je précise que mes écrits risquent de choquer certains mais de soulever le réel problème de l'humanité, vouloir à tout prix enrayer la sélection naturelle.
J'ai écrit qu'en 1950, année de ma naissance, la population mondiale était de 2,5 millards d'habitants, ce après deux grandes guerres dévastatrices et une pandémie de grippe dite "espagnole" alors qu'en fait c'était une forme de Sras H1N1 qui a muté et qui nous donne aujourd'hui la Covid 19 après moultes mutations, aujourd'hui nous sommes pratiquement à 8 milliards, donc plus du triple en seulement 70 ans, et plus on est nombreux plus on se multiplie d'autant que les guerres sont presque stériles de victimes - relativiser - et que la science pallie les diverses maladies sélectives.
Ça ne veut pas dire qu'il faut laisser crever les gens, juste qu'il faut laisser à la nature la place qu'elle occupe, savoir que nos problèmes actuels, pollutions, réchauffement climatique et autres ne sont que les résultats de la seule et unique surpopulation, rien d'autre, seulement chaque pays veut son quotas de citoyens pour évoluer, ce qui est une erreur puisque l'évolution c'est le maintien de l'équilibre, donc tout le contraire d'une surpopulation.
La machine s'emballe sans que personne, du moins les financiers et les politiques, ne veuille admettre la vraie cause de nos maux qui augmentent à la même vitesse que la population mondiale. Alors qu'il y ait des cataclysmes en augmentation n'a rien d'exceptionnel, c'est le contre-coup et ce n'est que le début.
Alors, à la lecture de cet article, je me demande si la catastrophe n'est pas plutôt de continuer à faire vivre ce que la nature ne veut pas par la sélection naturelle ; les mots sont durs, cruels, mais ce sont les seuls et c'est une évidence.
Un panel d'incohérences. (Source HUFFPOST)
Le Président de la République, après concertation auprès d'experts qu'il a mis en place, ce qui est bien pratique pour avoir toujours raison, prend des mesures pour supposément enrayer une épidémie qu'on monte en épingle alors que comparativement à celles du passée c'est du pipi de chat, pour ce faire il arrête des dispositions arbitraires draconiennes tout en créant des exceptions, ce qui est totalement inverse à ces dites mesures, on a l'impression, à écouter ces gens qui racontent n'importe quoi, que la virologie s'accommode des décisions politiques, comme si dans le métro ou le RER il n'y avait aucun risque alors que dans les TGV et TER le risque serait élevé, même un gosse de sixième s'interrogerait sur ces incohérences.
Il faut savoir que de la presque totalité des gens qui ont été contaminés la plupart n'ont pas eu de symptômes violents ni déstabilisateurs, certains patients juste soignés au paracétamol pendant dix jours - j'en connais et âgés - alors que la presque totalité des vaccinés n'ont jamais été contaminés avant vaccination, asymptomatiques pour certains, prudents pour d'autres, inquiets pour beaucoup d'autres encore, de la peur d'avoir peur leur fait réagir de façon formatée, qu'il faille à la rigueur vacciner des gens plus sensibles que la moyenne on peut comprendre ce principe de précaution encore que la plupart des décès supposément de la Covid 19 - personne n'est en mesure de vérifier et de confirmer des chiffres officiels d'État - sont des personnes âgées ayant des pathologies lourdes et de toute façon en fin de vie.
Nous sommes dans un contexte de guerre des chiffres et de complaisances médicales "achetées" pour fournir des informations induites et collaboratrices, pour rendre crédibles les "prédictions" gouvernementales alarmistes on tente de faire peur à la population en induisant que ceux qui sont réfractaires à toutes ces fadaises fabriquées sont de dangereux porteurs de potentiels virus, alors que la vie se déroule normalement sans que la société ne soit perturbée par autre chose que des décisions hasardeuses d'État.
En fait, la déstabilisation sociale actuelle n'est que le résultat des décisions d'État et non des problèmes de santé d'une population qui n'est touchée par le virus qu'à 0,0001% avec 6980 hospitalisations, peut-être dues au virus, sur 66 000 000 de personnes, moins qu'une grippe saisonnière résurgente chaque année, donc vouloir faire peur semble être la principale motivation d'État dont cette "pandémie" serait le motif pour camoufler autre-chose.
Il est tout de même bizarre que les médias ne font jamais de reportage dans les secteurs dits sensibles comme les quartiers Nord de Marseille ou certaines zones interdites du 9/3 de la région parisienne et autres, il est à peu près probable que dans ces lieux interdits aux forces de l'ordre les mesures de nos dirigeants apeurés ne sont d'aucun effet, on n'entend pas non plus dire que les hôpitaux de ces dits secteurs sont paniqués de surcharges, dans les hôpitaux aujourd'hui la panique s'empare des personnels soignants à qui on veut injecter un vaccin, contre leur gré pour la plupart, sous menace de sanctions lourdes, ce qui une fois de plus est en incohérence avec les "passe-droits" accordés à d'autres secteurs exonérés de vaccin, comme les forces de l'ordre, il est vrai que les virus ont peur des flics, ce que le peuple ne craint plus tellement ces institutions de maintien de l'ordre ont été ridiculisées par leurs ministres successifs.
La police sanitaire.
Je me demande ce que pensent les engagés dans la police et la gendarmerie du rôle qu'on leur demande de jouer, au lieu de protéger la population des agressions diverses ils vont être obligés "d'agresser" la même population pour la faire rentrer dans le rang des décisions incohérentes d'État alors que ces mêmes fonctionnaires ne sont plus à même de faire régner l'ordre dans les cités où ils sont interdits par les milices communautaires recevant de la part de l'État des messages de complaisance.
La crise actuelle n'est pas sanitaire, elle est uniquement politique, laissons donc les spécialistes de la médecine faire leur travail - ceux qui ne sont pas achetés bien entendu - et que les politiques, si nuls soient-il, s'attellent à tenter de redresser le pays dans un marasme profond, dans une situation sociale très dégradée, dans un état de finance catastrophique et à la traine du monde international tellement la France a sombré dans le ridicule à cause du comportement des derniers Chefs d'État.
Des motifs de méfiances.
Des français dont une bonne partie s'est abstenue, dont une autre partie n'a pas voté pour l'actuel exécutif, se précipitent comme des moutons dès que ce dit exécutif leur demande d'obéir après avoir instillé la peur sur une population infantilisée et crédule.
Comme le souligne l'article joint - https://jeanphilippemortier.wordpress.com/ - les français ne voient plus rien, on se fait bouffer de toutes parts, nos industries finissent de s'écrouler, on est la risée du monde mais la principale préoccupation du peuple c'est de se faire injecter de quoi avoir le droit d'aller au restaurant, au cinéma ou en vacances, c'est plus vital que de sauvegarder la grandeur de la France en déclin ; on est tombé très très bas dans ce pays.
Je pourrais en écrire des romans mais je ne pense pas utile de vouloir éclairer des esprits éteints pas plus que de croire qu'il reste un zeste de lucidité chez ceux qui ont basculé du côté obscur de la décadence nationale en adulant aveuglément ceux qui les détruisent.
J'espère seulement que ces gens auront la pudeur de ne pas inverser les rôles quand la vérité va éclater, parce que forcément ça va casser quelque part et ce jour là ils se boufferont les doigts.
Bonne soirée à tous.
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