Ma petite presse du 29 Octobre 2024
De tout, de rien
Les courriers recommandés.
Les lettres, qui sont définies à résoudre ou expliquer une situation, doivent de préférence être envoyées en recommandé avec accusé de réception, ce que je fais souvent.
Ne pas aller les chercher, ou ne pas y répondre dans des temps raisonnables, font que l'intégralité de ces lettres est tacitement acceptée.
Ce qui, quelque-part, m'arrange et étoffe les dossiers que j'ai monté à l'encontre d'organisme ou d'institutions.
Pour beaucoup, les LR/AR c'est une mauvaise nouvelle, mais pas toujours, il y a des surprises agréables qui sont envoyées de cette façon, cependant la plupart du temps c'est adressé à des gens redevables, ou poursuivis pour "X" raison, les ignorer leur donne un sens officiel qu'avalisera la Justice, parce que la Justice n'aime pas la politique du silence ni de l'ignorance, considérant que nul n'est censé ignorer la loi.
Maintenant je doute que même le plus érudit des magistrats connaisse les 84 619 textes de loi et articles s'y attachant.
Dans les années 1990/2000 je m'étais replongé dans le Droit que j'avais potassé 20 ans plus tôt avec quelques étudiants de la Sorbonne que je connaissais (je marque bien potassé, pas des études), j'habitais rue d'Assas à Paris, tout près du quartier estudiantin de la Montagne Sainte-Geneviève. (Pour plus de détail voir mes livres "Onze métiers — Cent galères)
Pour une affaire très délicate je me suis aussi enquis des codes pénaux nécessaires pour monter un dossier de défense, ce que mon avocat du moment à considéré comme du bon travail, me précisant qu'elle n'avait plus rien à ajouter puisque j'ai fait tout le travail. Un coup de pommade ça fait toujours plaisir et bien m'en a pris, puisque j'ai gagné, après deux ans de procédures, face à des adversaires administratifs institutionnels pourtant de poids et se pensant inattaquables.
Alors je conseille vivement, à ceux qui seraient concernés par un courrier recommandé, de ne pas en faire l'impasse, c'est un aveux de reconnaissance.
Je pense qu'à Briançon certains de ceux à qui j'ai écrit doivent se sentir concernés.
SNCF.
C'est ce que j'ai fait en 1970 lorsque j'ai quitté la SNCF, une belle connerie mais comme je n'étais encore qu'un jeune branleur cabochard — ça n'a pas trop changé mais plus vieux aujourd'hui — je ne mesurais pas la portée de cette démission.
Pourtant quelque-part ça m'a été bénéfique puisque ça m'a permis de retourner conduire des rames RER quelques années plus tard, et puis à cette époque trouver du travail n'était pas difficile, à condition d'avoir envie de bosser bien entendu, mais il n'existait pas encore de salaire de fainéant, ce qui fait qu'aujourd'hui il y a du travail un peu partout mais plus de candidat.
J'ai mis cette machine en photo parce que j'aimais bien les conduire, ayant aussi été chauffeur, à la pelle et au charbon, sur machine à vapeur, une expérience inoubliable, surtout les coups de pompes dans le cul qui apprennent mieux que toutes autres douces pédagogies modernes. J'ai survécu. (Lire mes livres "Onze métiers — Cent galères)
Et puis pourquoi pas !
Là c'était un tout autre emploi, mais je n'ai pas démissionné, puisque je me suis engagé et ensuite ai été embarqué sur ce navire.
Électronicien d'armes c'est une spécialité qui ouvre aussi des portes quand c'est sanctionné par un brevet d'État, pour les jeunes qui seraient hésitant, à choisir une voie professionnelle, je conseille vivement la Marine Nationale, j'ai vécu ces années 1968/1969 ce que je ne verrais plus jamais.
C'est bon, j'arrête là la pommade parce que je vais encore passer pour un hâbleur.
Entretenir la haine.
Depuis les années 1980 un phénomène nouveau divise les sociétés, l'émergence des propos haineux, ou du moins leur utilisation à des fins racistes, juste savoir de quel côté se trouve le vrai racisme.
Alors il est vrai que le racisme a toujours existé, mais il restait très marginal avant que ce ne soit exploité à des fins communautaires, plus pour excuser des exactions ciblées que pour réellement s'en plaindre.
Parce que ceux qui soulèvent le plus le dit problème — fortement soutenus par la gauche — sont ceux qui sont venus en France pour y trouver travail, sécurité et soins, non content d'avoir trouvé ce confort notable ils veulent en plus le beurre et l'argent du beurre.
C'est aussi la raison pour laquelle j'ai répondu à ce "post" sur "X", anciennement Twitter, parce que se tromper de responsables, surtout quand ils ont tous disparus, c'est se répondre de souffrances que les dits auteurs de ces posts n'ont pas connu ni ne connaissent.
Il est hélas à constater presque continuellement que ce sont toujours les mêmes qui se lamentent.
L'Histoire c'est comme un livre, quand on a tourné la page on ne revient pas en arrière pour prétexter s'en répondre, sauf si on reste volontairement dans le passé pour s'en servir à des fins de vengeances puériles et infondées, puisque derrière il y a aussi l'attrait indemnitaire qui ferait peut-être ouvrir des procès d'intention inutiles pour servir une cause éteinte et, là encore, se goberger de finances pour profiter d'un système hélas faillible.
Briançon, l'Histoire.
Dans l'actuelle mairie de Briançon.
Sur le fronton de la porte extérieure de Pignerol il y a une devise "Le passé répond de l'avenir", savoir si l'avenir doit se répondre du passé c'est une autre interrogation qui doit inclure l'évolution, les changements de mentalité mais surtout la religion, puisqu'en ces temps encore c'est elle qui dictait la ligne principale de fonctionnement.
Hors la religion est en déclin (je suis sur la troisième page de "l'Église, ces contradictions") et la société en dérive, il nous serait absolument impossible d'avoir le même tempérament que ces gens d'antan qui avaient le courage qu'aujourd'hui la société n'a plus, trop de facilités, trop d'aides diverses, plus d'esprit combatif.
J'espère seulement que ces tables de mémoire trouveront une place dans la nouvelle mairie de la future cité administrative de Berwick, pas rester à pourrir comme la maquette de Briançon, d'ailleurs je ne sais même pas où elle est passée.
Dès l'ors qu'un peuple cesse d'être la mémoire de son Histoire, pour ne plus devenir qu'un objet de rentabilité d'État, alors ce peuple doit disparaitre. Les repères d'un peuple c'est son Histoire, sa culture, lui supprimer pour les remplacer c'est la fin de ce peuple.
Nostalgie.
À Pigalle, la Nouvelle Ève, cette époque où j'exerçais en cabarets, la aussi ça a bien changé, l'esprit d'antan n'est plus.
Ce cabaret est celui que je connais le mieux, il a "remplacé" le cabaret "Ève" qui se trouvait sur la place Pigalle, remplacé aujourd'hui par une pharmacie, et que je connaissais bien aussi. (Lire mes livres "Onze métiers — Cent galères", tome 1 & 2)
Ça fait maintenant plus d'une cinquantaine d'années, ce qui pousse vers la sortie, pourtant il m'est impossible d'oublier tout ce que j'ai fait et vécu en ces lieux durant presque quinze ans, pas spécialement dans ce cabaret mais dans d'autres alentour, surtout dans un clandestin qui a fait ma "fortune" de l'époque.
Là encore une époque, qu'on appelle les trente glorieuses, où l'insouciance de la société découlait d'une gestion politique admirable, ce qui n'existe plus depuis bien longtemps. Pas de problème pour trouver à loger à des prix accessibles à tous, ce qui n'est plus qu'un souvenir sachant que maintenant un loyer c'est, pour le salarié normal, au moins 60% de son salaire, ce qui ne laisse plus grand-chose pour le reste, alors les gens modestes sacrifient sur la nourriture et l'habillement pour survivre.
Ce sont aussi les prix qui me bloquent à Briançon, j'aurai bien aimé finir mes jours là où je suis né, rue Puget dans le 18ème, même si j'ai été déclaré à Courbevoie. (Là encore mes livres puisque c'était le même département à l'époque)
Pourquoi cet article ? Parce que je vois en permanence autour de moi des jeunes qui sont déboussolés, indécis, certains se cherchent mais sont bloqués, même si la libéralisation pourrait les servir ils hésitent parce qu'ils ne savent plus.
Déboussolé je l'ai été, mais alors qu'est-ce que j'ai pu découvrir à cause de ça, justement.
Grimper à la corde.
J'ignore totalement si ça existe encore, puisque l'école d'aujourd'hui c'est un peu devenu le grand foutoir, là encore une époque révolue, quand il y avait des écoles dans le moindre village, évitant aux bambins, dès trois ans, d'être obligé de se lever une heure plus tôt pour se rendre dans les grandes villes par les transports scolaires qui n'existaient d'ailleurs pas.
L'éducation physique j'aimais bien, je me souviens de mon professeur de gymnastique (Maintenant on dit éducation physique), Monsieur Legrandoigt qu'ils s'appelait, j'avais sept, huit ans en ces années 1950, et de grimper à la corde lisse c'était un régal.
Maintenant les mesures de sécurité, parfois excessives, interdisent que des enfants montent si haut, dès fois que !!
La sécurité c'est devenue une psychose nationale.
Encore que !
Cliquez sur le lien
Rue briançonnaise.
J'en ai mises sur ma page précédente, mais à un autre endroit ; là aussi les amortisseurs des véhicules sont mis à rude épreuve, d'ailleurs je me demande pourquoi avoir rénové la rue de la République sans continuer jusqu'au bout.
Encore de ces mystères briançonnais incompréhensibles. Quoi que non, c'est juste une question de fric, M le Maire m'a expliqué que cent mètres de réfection ça coute cher. Mais alors, le terrain de sport à environ dix millions d'euros ? Le mur d'escalade à un million cinq cent mille euros ? La cité administrative à quinze millions d'euros ? Et tant d'autres dépenses, certes utiles pour certaines mais qui contrarient très sérieusement la sécurité des briançonnais qui déglinguent leurs voiture (et camions, et cars) et leur santé sur des chaussées oubliées et très dégradées.
Certes, on ne peut tout faire d'un coup, certes, il y a eu des négligences des prédécesseurs, mais le travail d'un maire c'est d'abord les urgences, après, s'il reste de l'argent (argument cynique à Briançon) on fait le secondaire.
On y reviendra dans quelques mois, à la veille des élections municipales.
Fresques immobilières.
On va me dire que je me répète mais j'ai demandé les factures des dépenses de la ville, ça ne fait que deux ans, le temps que ça passe par les méandres administratifs de la mairie, que ça passe par le trésor public et la banque, pour enfin en arriver au responsables des finances, qui n'est autre que Monsieur le Maire, autant dire que ça risque de durer aussi longtemps que la dette chronique, d'autant qu'il fait le mort, il ne répond pas, ce qu'induit aussi le début de cette page.
Mais ça aussi on en reparlera aux prochaines élections, quand il y aura un tête-à-tête sur BFM DICI, ça risque d'être piquant, surtout ne ratez pas ça.
Parce que j'ai bien l'intention de me présenter sans étiquette, parce que pour représenter et servir tous les briançonnais je m'exonère de leurs opinions politiques, tous les briançonnais doivent être considérés de la même façon et en priorité.
Là, cette fresque couteuse, à l'instar des autres (mais pour la raison plus avant décrite on n'a pas de chiffre), est dégradée par quelques irresponsables, peut-être avinés, parce que détruire c'est aussi dans les gènes de certains, même si la vidéosurveillance promise n'y changera rien.
Encore qu'il est impossible de tout surveiller, des patrouilles de polices circulent la nuit mais ce n'est pas assez dissuasif.
Tiens c'est vrai ça, il en est ou ce projet de caméras en ville ?
Il est vrai que quelques personnes, certainement paranoïaques, estiment que la vidéosurveillance c'est du pistage, quand on a rien à se reprocher on n'a pas à craindre les systèmes de sécurité, d'autant que dans pratiquement tous les commerces il y a de la vidéo-surveillance dont on ne connait pas la finalité.
Rue de la Soie.
Surprenant qu'on ait scié ces arbustes décoratifs, ils ne semblaient pas malade. Un acte de malveillance ou une opération municipale ?
Il est vrai que les bacs en ciment accusent des fissures, je me demande si d'avoir planté des arbres directement au sol n'aurait pas été plus judicieux.
Si quelqu'un a la réponse je suis preneur.
Buse d'écoul.......
J'allais écrire d'écoulement, comme un peu partout dans cette ville ces buses sont obstruées de merde, bien qu'ici ce soit le parking supérieur d'Intermarché, j'ignore si c'est municipal ou privé.
Je pense plutôt que ce soit privé, ce qui fait que déjà ce qui est public est négligé, alors le privé !!!
Ici aussi c'est privé.
J'en faisais un article sur ma précédente page, mais avec une photo on s'en rend mieux compte.
C'est l'accès Leclerc côté parking souterrain, comme déjà écrit la porte a été sommairement débarrassée du plus gros mais le sol reste en l'état.
Encore que c'eut été un accès à un vide ordures, à la limite j'aurais compris, mais là c'est un magasin d'alimentation, ce qui interroge.
J'en fais régulièrement signalement, en pure perte, d'ailleurs c'est une spécialité briançonnaise ce silence des divers responsables, il est vrai qu'on ne risque pas de trouver ces navrances sur les pages du journal local, ce qui pourtant relève de ses devoirs d'informations, parce que si c'était dans la page Briançon je suis persuadé que les mentalités changeraient en ce qui concerne toutes les petites conneries que je dénonce à longueur d'année.
Si par miracle j'étais élu, en 2026, je ne manquerai pas de mettre un peu d'ordre dans tout ça, parce que ces multitudes de désordres locaux c'est ce qui pourri la vie des gens.
Je me demande comment un service sanitaire départemental réagirait devant ces désordres.
Je vais peut-être même les solliciter, ne serait-ce que pour le bien-être des administrés, l'hygiène et la propreté c'est aussi une priorité municipale, ne serait-ce qu'en faisant respecter les divers cahiers des charges.
Concernant les surfaces de vente.
J'avais déjà fait quelques pages sur les abus des gestionnaires, du moins des responsables locaux des multinationales, ce qui se vend mais aussi ce qui justifie les prix.
Lire le petit article ci-dessus que j'ai partagé sur Facebook.
Politique internationale.
Que j'effleure parce que les journaux en regorgent.
Pourtant il y a médias et médias, ceux qui sont subventionnés pour nous laver le cerveau, les plus importants parce que les plus riches grâce aux subventions versées avec nos impôts, et ceux qui ne perçoivent pas un centime de l'État parce qu'ils révèlent des vérités qui dérangent.
Ces derniers peuvent encore agir parce que nous ne sommes pas encore sous un régime totalitaire, du moins pas entièrement, parce que des médias étrangers sont interdits de diffusion en France, c'est la démocratie élastique.
Mais il en reste, comme la chaine al-Jazeera pas encore interdite en France bien que ça ferait plaisir à la communauté israélite.
Je me demande ce que mes amis juifs en pensent, je vais voir à les contacter, ils sont presque tous sur Paris.
Lire mes impressions ci-dessus, encore que j'ai presque cessé de publier de la politique, partant du principe que chacun à un regard différent et que mes impressions ne sont pas forcément les impressions des autres, comme je respecte toutes les opinions politiques je respecte aussi tout un chacun.
Pour ma retraite.
Quand je serais à la retraite je pense que ce véhicule pourrait bien me faire passer le temps.
Et puis là pas besoin de passer une visite médicale tous les ans, pas d'autorisation de la médecine du travail, pas de carburant à mettre, mais pas de salaire non plus.
Bonne soirée à tous et à bientôt au Vatican.