France, terre d'écueil

Publié le par François Ihuel

 

Je ne pensais pas, étant jeune, que la

France en arriverait à dégringoler de la sorte.

 

De ces images, il y en a des dizaines de milliers

De ces images, il y en a des dizaines de milliers

Agressions imprévisibles.

Aujourd'hui, dans un pays dit de liberté, l'agression gratuite est devenue presque une habitude, et c'est bien là le problème.

La banalisation de toute chose, de tout acte, entraine une indifférence généralisée qui sert la délinquance et les agresseurs.

La Justice est submergée par le phénomène mais aussi par peur, qui plus est les moyens des Juges sont limités par des décrets et préconisations d'État, même si supposément la Justice serait indépendante. 

 

France, terre d'écueil
France, terre d'écueil
France, terre d'écueil
France, terre d'écueil
France, terre d'écueil

On va me dire !!!

C'est de la propagande, somme toute, comme tous les mouvements il y a la propagande, c'est indissociable de la politique, mais il y a aussi le fond de vérité de chaque mouvement.

Les conflits incessants, entre les différentes tendances, confortent l'inaction, chacun ciblant l'autre pour nier l'évidence, c'est aussi le gros problème de la politique partisane, ramener à un mouvement ce qui concerne tout le monde.

Tout comme le fonctionnement des deux Chambres, des idées communes mais particularisées par la tendance de chacun, c'est l'immobilisme politique, députés comme sénateurs ne s'entendent pas sur un sujet commun à cause de leur appartenance, non qu'ils ne le veuillent, juste que pour ne pas perdre leurs intérêts personnels ils votent souvent contre leurs convictions afin de se plier aux dispositions de chaque groupe parlementaire, ce, toujours afin de garder leurs avantages.  

La punition de ceux qui voudraient réellement travailler, pour ceux qui les ont élu, consiste à être exclus d'un mouvement politique, de là être déprécié par leurs sympathisants donc de perdre, encore une fois, des avantages.

Savoir que la presque totalité des parlementaires n'y vont que pour la notoriété, souvent illusoire, et ce que ça rapporte "sans" effort, entrer en politique c'est faire carrière, une carrière ne se bâtit que sur des apparences politiques, des bassesses et des mensonges.

Il est aussi à savoir que les députés qui ne sont pas représentés par un groupe parlementaire sont des députés de paille, ils ne servent à rien d'autre qu'à suivre les préconisations de ceux qui sont assez puissants, au sein de cette institution, pour les "contraindre", par des promesses financières la plupart du temps, à voter ce qu'on leur demande, même s'ils ne sont pas d'accord.

Aussi, les désordres sociaux naissent-ils de cette complicité politique qui consiste, dans certains cas, à aduler des exactions uniquement pour conforter un groupe et y rester, il n'y a qu'à écouter les députés.

Quand j'écris "aduler" ce n'est pas un euphémisme, c'est une réalité, certains élus confortent la violence et les désordres dans le seul objectif de garder leur prérogatives politiques, d'ailleurs ces élus ne sont pas concernés par les exactions ni les violences de rue.

Sauf être aveugle, ou franchement niais, les violences de rue sont réelles, elles frappent tout le monde, au hasard, sans motif autre que la haine engendrée par ceux qui en ont besoin, certains partis politiques prônent la haine parce que les désordres font qu'ils assoient leur politique sur ces désordres, donc les désordres sont indispensables pour plusieurs raisons.

Déjà ça permet de diluer les vrais problèmes par le détournement de l'attention, soigneusement médiatisé avec force images marquantes. (Médias complices des désordres)

Ensuite ça sert la politique d'État, du moins pour le moment, il est réel que les désordres sociaux servent les dirigeants, chaque individu a le choix de ses tendances, elles sont toutes respectables à condition que ça n'engendre pas des désordres, et c'est là que ça coince. 

Des gens se haïssent sans se connaitre parce qu'on leur demande de haïr par une propagande destructrice ciblée ; j'ai eu des amis qui ne connaissaient pas mes idées politiques, d'ailleurs hétéroclites parce que je ne me plie pas à une idéologie dite mais abonde parfois dans le sens de ceux que pourtant on me demande de haïr. Dès qu'ils ont connu mes préférences ils m'ont lâché, que pour ça et uniquement pour ça, alors qu'on partageait beaucoup d'autres sujets, littéraires, historiques, et autres.

J'ai trouvé dommageable qu'on puisse en arriver là, aussi je ne les ai pas déconsidérés pour autant, j'ai juste appris que la haine se cultive.

Mais d'autres m'ont approchés pour les mêmes raisons, je ne perds pas au change, toutefois je reste maître de mes décisions en acceptant toutes critiques tout en réfutant toute influence.

Hier au soir, j'ai été appelé vers 22h00, un numéro caché, un appel de cinq secondes, juste ces mots : "tu n'as rien à foutre à Reconquête ni au RN, tu n'est qu'un sale PD qui n'a rien à foutre à l'extrême droite".

Ce matin, même appel pour le même message, toujours en numéro caché. 

Je pourrai déposer une plainte mais il n'y a ni menace ni insulte, parce qu'un état n'est pas une cause. (Je me suis renseigné après conseils, j'ai aussi appelé mon avocate à Paris) On tente juste de me faire comprendre que je dois me calmer, c'est-à-dire cesser d'être ce que je suis. En fait je dérange, qui je l'ignore, j'ai bien quelques pistes mais rien qui pourrait être précis

Aussi je pense que c'est à la suite de la création de mon association, comme tout le monde peut avoir mes coordonnées rien de plus facile. Il est possible qu'on me fasse croire que ça puisse venir du RN (dont je me suis détaché) comme de Reconquête, que je suis sans accepter une ligne de conduite induite, je reste libre de mes opinions et ceux que je connais le savent et le respectent.

Ce pourrait aussi être la teneur de certains de mes livres, il est réel que je mets tout à jour, je ne cache rie.

Ce pourrait aussi être d'ordre religieux, puisque je développe ce que la morale de l'Église réprouve. Mais là non plus ce n'est pas une doctrine dans laquelle j'abonde sans me poser de question, c'est aussi ça, la liberté d'expression.

Si ça ce reproduit je déposerais une plainte, sans me faire d'illusion, puisqu'un sympathisant d'un mouvement politique qui dérange ne sera pas écouté, ce sera classé sans suite parce que là aussi, dans certaines institution, il n'est pas bon fricoter avec ceux qui dérangent pour une cause juste. Si c'est d'ordre religieux c'est inattaquable. 

Je ne suis pas inquiet, juste interrogateur, si celui qui tente de m'impressionner à des couilles qu'il vienne me voir, je l'attends, l'intimidation, je ne connais pas.

La haine qu'ont des gens c'est ce qu'on leur instille afin de servir ceux que la haine des autres arrange.

 

France, terre d'écueil
France, terre d'écueil
France, terre d'écueil
France, terre d'écueil
France, terre d'écueil

Ce que je dénonce.

Être seul à dénoncer ça ne sert à rien, être nombreux c'est déjà plus efficace, être nombreux avec un statut officiel c'est l'assurance d'être entendu, même si on n'est pas écouté.

Je ne vais pas revenir sur les minables "cheffaillons" qui ont fait que j'ai claqué la porte du RN, ce mouvement politique qui s'est autodétruit de trop vouloir lécher et qui, de toute façon, brasse de l'air depuis plus de 50 ans sans aucun résultat positif, juste conforter la dynastie Le Pen qui fonctionne à sens unique.

Résolument décidé à suivre ceux qui aimeraient bien que la France retrouve son éclat d'antan, je fuis ceux qui adulent le désordre pour s'en servir, je ne vais pas m'étendre pour la raison précédemment écrite, garder mes amis qui sont d'autres tendances mais qui n'en font pas un motif de rejet, juste qu'ils acceptent que je sois ce que je suis et que je suive qui je veux, ce qui est réciproque parce que toutes les idées doivent être acceptées sans y trouver ombrage.

Le sujet de cet article est clair, quand on appartient à un pays qui se dit de droit, qui se dit de liberté, il n'est pas admissible que la société fasse les frais de ceux qui s'imaginent détenteur de toutes les audaces sans retour.

Dans le cas présent c'est le nombre et l'appartenance ; "rom" et immigrés — pas tous — se servent du statut qu'on leur dédie afin de provoquer, de menacer, de se servir.

Si des mouvements politiques absolvent ces excès et ces abus c'est qu'ils y trouvent un intérêt certain, par contre que des salariés qui financent ce dont à quoi souvent ils n'ont même pas droit, et qui constatent, impuissants, ces dérives insultantes, ne peuvent que s'insurger de cette situation.

Ce qui est dommageable, c'est que des élus par défaut — Strasbourg dirigée par "les verts" par défaut avec seulement 53% de voix de 37% de votants sur un total de 143 683 inscrits, soit 27 906 voix seulement, il y a beaucoup de monde à n'avoir plus le droit de critiquer — sont les vecteurs de ces désordres par complaisance et absolution. D'autres villes d'importance sont dans le même cas, Lyon, Poitier, Bordeaux, Etc.. On en voit déjà aujourd'hui les effets pervers.

On ne peut faire l'impasse sur le reste des administrés, de Strasbourg mais aussi de la France entière. 

C'est pour ça que des mouvements qui se dressent contre ces dérives destructrices sont utiles, parce que le jour ou les "envahisseurs" seront assez nombreux pour renverser la population de la France, alors aucun des français ne sera épargné, quelque soit sa tendance politique de maintenant.

Accepter le désordre et l'ingérence c'est pourrir le pays volontairement, c'est le suicide national organisé par les conflits de partis.

À suivre, vu le climat social et la fragilité politique d'aujourd'hui il va y avoir encore de quoi écrire.

Bonne soirée à tous.

 

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M
Toute cette racaille qui s’offre à visage découvert. Je ne comprends pas comment les RG ne puissent pas les identifier et les arrêter. <br /> Ceci dit Chapeau pour votre blog que je parcours souvent et que je trouve très intéressant.<br /> J.Ph.M.
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F
Merci, je suis un peu l'actualité en la commentant à ma façon, c'est-à-dire souvent loin de ce qu'affirment les médias engagés