Pot pourri de réflexions diverses

Publié le par François Ihuel

 

Le cerveau en perpétuelle ébullition j'ai envie de partager.

 

Image : Néozone

Image : Néozone

Habiter sur Mars.

Ou d'autres planètes, elle n'en a pas l'exclusivité.

Il est difficile de se faire une idée précise de ce qui motive de vouloir aller chercher ailleurs ce qui n'y existe pas alors que nous l'avons sur terre.

Je me pose la question de savoir pourquoi sacrifier des fortunes colossales, qui serait si utile à autre chose de plus terrestre, pour tenter de faire pousser des végétaux sur une ou d'autres planètes, du moins les plus proches, celles de notre système solaire donc, très limité d'ailleurs vu les conditions.

Depuis quelques jours on a pu avoir connaissance que des appareillages compliqués font qu'on parvient à transformer des gaz de la planète Mars afin d'obtenir de l'oxygène, indispensable à la vie sur terre bien que ce soit l'azote qui compose la presque totalité de notre atmosphère.

Sur Mars l'azote ne représente qu'à peine 3%, le dioxyde de carbone étant le gaz le plus répandu, sachant les effets de ce gaz sur la Terre, on s'interroge de savoir comment faire vivre durablement des humains avec si peu de ressources indispensables, d'autant qu'on veut aussi y faire pousser des végétaux, paradoxe bien humain que de tenter l'impossible ailleurs de ce qu'on détruit outrageusement sur notre planète, avec les conséquences qui vont en découler.

L'abondance de produits indispensables laisse à penser qu'il n'y a qu'a se baisser pour en ramasser, savoir, ou deviner, que plus il y aura d'humains et moins il y aura de végétaux, c'est le principe des vases communiquant, la place nécessaire à un élément se fait au détriment d'autres éléments.

Savoir aussi que les extinctions de masse sont dues, depuis maintenant deux siècles, à la seule intervention humaine.

 

Image : National Geographic Center

Image : National Geographic Center

Les espèces à travers le temps géologique.

Je ne vais pas entrer dans les spécificités géologiques, ni dans le détail des différentes ères qui ont fait ce que la Terre est devenue aujourd'hui, je prends juste les trois grands axes.

Le Paléozoïque, qui a duré environ deux milliards et demi d'années, le règne presque totalement majoritaire des amphibiens.

Puis le Mésozoïque, qui a duré sept cent soixante millions d'années, suivi par le Cénozoïque, dont nous sommes l'extrémité dans le temps, et qui ne dure que depuis cent vingt trois millions d'années. De cette ère nous n'occupons que l'holocène qui n'a qu'à peine dix mille ans, pourtant, dans l'évolution des espèces, nous avons évolué, en seulement 5000 ans, plus vite que dans les autres ères réunies, soit sur une période de presque trois milliards deux cent millions d'années, dans les seulement deux milles années qui viennent de s'écouler, soit 12 secondes à l'échelle d'une année calculée pour trois milliards trois cent millions.

Trop vite, cependant on constate que plus les espèces deviennent intelligentes et moins elle durent, si on considère que l'intelligence humaine — parce qu'il y en a eu d'autres mais nous ne sommes pas en capacité d'en mesurer les effets ni les causes — est en accélération vers une autre intelligence à venir, celle qui pourra se passer de support organique (Ça n'engage que moi) donc aussi d'environnement indispensable à la survie de tout ce qui est organique. 

Le règne végétal, le second plus long de toute l'histoire de la terre, aura certainement autant de temps à vivre que ce qu'il vient de vivre, soit environ deux milliards d'années.

L'espèce humaine, celle qui se développe le plus rapidement, est aussi celle qui s'éteindra tout aussi vite, voir même plus vite que ce qu'elle a déjà vécu, en considérant les humains sur une période de vingt mille ans, c'est-à dire dès que la différence de comportement s'est faite par rapport aux autres animaux ; ne pas oublier que l'homme fait partie du monde animal, même s'il en est le plus évolué. (Encore que !!)

 

Pot pourri de réflexions diverses

L'évolution des espèces.

Évoluer ce n'est pas devenir intelligent, c'est parvenir à se continuer — et non pas se multiplier comme l'affirme si bien les humains — sur la plus longue durée possible. Les animaux qui sont parvenus à se continuer depuis des centaines de millions d'années, en étant toujours présents aujourd'hui, sont ceux qui ont su s'économiser en gardant leur potentiel pour justement durer, inversement de ce que fait l'humain, justement, qui fait la course à la vie sans réaliser que c'est la course à son extinction rapide. 

La Terre, donc la nature, ou plutôt le renouvellement continuel de ce qui la compose, n'a pas besoin de technologie pour remettre les pendules à zéro, c'est immuablement programmé, les fantaisies humaines n'ayant aucun impact sur ce processus, l'humain n'a d'impact que sur ce qui l'entoure pour une période insignifiante de l'évolution de la Terre.

 

Image : ActunetFlix

Image : ActunetFlix

Les espèces actuelles.

On peut estimer le nombre d'espèces vivantes sur Terre, aujourd'hui, entre dix et vingt millions, nous n'en avons découvert que 15% mais nous sommes loin de pouvoir tout explorer et c'est tant mieux, dès que l'humain découvre un nouvel animal il s'empresse de le détruire.

Ce qui peuple le plus notre Terre ce sont les insectes, indispensables pour nourrir les autres espèces, c'est la chaine alimentaire qu'ignorent superbement les "Vegans et autres "dérangés" divers, les insectes se nourrissent pour la plupart de végétaux, ces végétaux qu'on leur supprime en dévégétalisant la planète pour faire de la place aux humains, et pour les nourrir, soit par le feu en incendiant des forêts, soit par des produits dits "phytosanitaires" qui on l'effet inverse que celui qu'on pourrait supposer, mais ce n'est que dans la durée qu'on s'en rendra compte.

Moins d'insectes moins d'animaux qui s'en nourrissent, principalement les oiseaux qui sont très utiles pour faire perdurer la végétation. Puis la suite de la chaine alimentaire du plus petit au plus grand prédateur qui est l'homme.

À mon avis, vu la vitesse à laquelle l'humain s'autodétruit, on ne fera pas un autre millénaire, si déjà on fait encore cinq siècles ce sera pas mal. 

Mais pourquoi l'humain s'autodétruit ?

 

Image : Le Parisien

Image : Le Parisien

Les anormaux normaux et les normaux anormaux.

Les lignes qui suivent sont à considérer à leur juste valeur, je sais du monde qui va faire des bonds, les gens" normaux" en somme. Pourtant c'est une réalité que peu acceptent de voir.

Ce paradoxe est pourtant révélateur d'un malaise social profond, déjà la fixation de normes est anormale par elle-même, parce que ça va à l'encontre d'un fonctionnement individuel, la société, tout aussi paradoxalement, ne peut fonctionner sans normes, hors les normes n'existent pas dans la  nature, c'est le propre de l'humain pour en soumettre d'autres. (Voir mes livres "Onze métiers — Cent galères)

C'est nettement plus compliqué parce que ça implique de laisser faire tout en modulant en mettant des limites, donc des normes, encore un paradoxe qui pourtant est explicable si on observe un peu le fonctionnement de la nature pour, peut-être, avoir encore une chance de sauver ce qui peut encore l'être.

Quand j'étais gosse on m'a ressassé que je n'était pas normal, ça a duré une dizaine d'années, pas au sens propre mais au sens péjoratif, mon fonctionnement sortant de l'ordinaire, c'est-à-dire de la normalité qu'ont imposé les humains ; dire que j'en ai fait une psychose serait faux, disons plutôt que d'un abaissement moral et psychologique, presque un avilissement, j'en ai fait une force, en exploitant mon anormalité je suis finalement extrêmement normal parce que je me pose des questions que d'autres ne se posent pas, mais je ne suis pas le seul. Heureusement d'ailleurs.

Quand on est observateur on réalise que dans le règne animal les tares, les pas finis, les trops faibles, périssent dès leur naissance, ce qui permet à l'espèce animale de perdurer sans avoir à supporter le poids que représenterait ces "difformités" diverses dans une société animale cohérente. 

Le seul animal qui préserve ses tares, ses difformes, ses faibles, c'est l'homme, par humanité qu'ils disent ces hommes, je me demande si l'humanité c'est de s'encombrer de ce qui est parfaitement inutile.

Et c'est aussi, entre autres, une cause de la surpopulation, une société bien réglée se régule en faisant en sorte de pouvoir n'être ni trop nombreuse, ni pas assez, la nature nous offre des millions d'exemples en permanence mais on ne les voit pas.

Dans le règne animal il y a eu des interventions humaines afin de "réguler" ces animaux qui dérangent tant les hommes, qui ont tellement besoin de place, en éliminant ce qui leur est finalement indispensable. On passera sur le faux problème des loups, ours et autres, c'est la bataille des uns au détriment des autres, pour assoir une supériorité apparente. 

Plus il y a d'humains et moins il y a d'autres animaux, logique, sauf ceux qu'on élève pour nourrir une population en constante augmentation, encore que le terme "élever" est mal venu, parce que ces animaux nutritionnels sont eux aussi normalisés par les hommes afin de les transformer pour donner plus de rendement, au détriment de la race mais ça, ça n'effleure personne.

Comme je l'avais déjà écrit, dans quelques précédentes pages, "l'évolution" a permis à l'animal humain de garder ses tares et ses inutiles, ce qui augmente les tares et les inutiles, puisque de deux tares, une mâle, l'autre femelle, on ne tire pas l'excellence, on ne tire que d'autres tares. C'est aussi ce qui a permis à ceux qui réfléchissent, et qui parviennent à soumettre les autres, de créer des différences sociales, cette fameuse échelle qui place les profiteurs induits au-dessus des autres, ces autres qui se laissent enfermer dans le processus social, d'où les normes, règlements divers et lois toutes aussi diverses.

Bien entendu une société bien ordonnée ne peut se passer de règles, sauf que les règles ne sont considérées que par ceux qui en y sont réceptifs, donc les moins tarés, donc une catégorie qui se place entre les deux autres, celle qui décide et celle qui s'en moque, parce que justement les règles non comprises servent ceux qui s'en exonèrent.

Peut-on aller jusqu'à prétendre qu'il y a une race d'humains qui est déficiente ?

Oui, mais pas une race ethnique, pas une race morale, pas une race religieuse — puisque maintenant on catégorise les désordres sociaux en races religieuses — mais en déficients mentaux qui deviennent la race la plus répandue, quelle que soit le point géographique mondial.

Pendant des siècles la race humaine s'est autogérée, déjà par la sélection naturelle, que la science moderne à détruite, puis par l'élimination des faibles par les forts ; dans la nature c'est toujours le plus fort qui perdure, à travers les guerres et autres, comme chez les autres animaux, il y a des conflits de territoire et de clans pour que justement la race reste forte.

La race humaine est la plus faible de toutes sauf qu'elle pallie cette faiblesse par la technologie, ce qui est une erreur parce que la technologie ne viendra jamais à bout de la surpopulation, donc de l'augmentation des tares et des inutiles. 

 

Image : AgoraVox le média citoyen

Image : AgoraVox le média citoyen

La régulation.

Serait-ce la solution ? Manger nos enfants ? Cette image, presque mythologique, pourrait faire peur ou faire sourire, pourtant il a existé des rites anciens desquels on a découvert l'anthropophagie humaine, pour ma part je n'en suis pas étonné parce que si on considère l'évolution, du moins depuis l'apparition de "l'homme" tel qu'on le défini aujourd'hui, il n'y a guère que depuis à peine trois mille ans qu'on serait "raisonnables" en épargnant ces rites qui pourtant ont existés, peu abordent le sujet parce qu'il est sensible aux humains, que nous sommes, et que l'image se rapporte à ce que nous sommes aujourd'hui, et non à ce que l'humain était avant.

Le cannibalisme, qui a donné le surnom de cannibales à quelques tribus anciennes d'Afrique, d'Océanie et d'Amazonie, c'est l'anthropophagie animale qui existe dans le règne animal, aujourd'hui le sujet est évité, sauf pour les insectes qui se dévorent entre eux aussi pour cette cause qui est la surpopulation.

À l'heure actuelle, sauf demander aux mères de tuer, et consommer, une partie de leur progéniture — j'en aurait peut-être fait partie ! — en dehors de la sélection naturelle rien ne vient réguler l'augmentation de la population, sauf si !!!

 

Pot pourri de réflexions diverses

Les poisons à travers les siècles.

Il est intéressant de s'approcher un peu des divers moyens de supprimer les hommes à travers les siècles, comme déjà écrit il y a les guerres, mais aussi les tueries volontaires, aux prétextes divers, particulièrement religieux, ce qui n'a pas changé aujourd'hui à travers certaines communautés religieuses.

Puis les massacres de masse, efficaces mais pas encore assez et devenant de plus en plus abominables à mesure que la population augmente, il y a les massacres anciens mais aussi les massacres récents, comme ceux de la dernière guerre, mais aussi ceux de l'Union Soviétique, plus avant ceux des européens qui ont massacré les indiens d'Amérique pour prendre leur place, comme quoi les donneurs de leçons ont parfois la mémoire courte. 

L'Asie aussi a la part belle dans ces éliminations de masse, avoir un peuple d'accord, mais un peuple cohérent et discipliné, hors pour discipliner un peuple il ne faut pas que ces éléments soient trop nombreux, ça devient vite incontrôlable, ce qui se passe aujourd'hui, même dans les systèmes tyranniques qui marchent sur des œufs en maintenant un semblant de "paix" sociale à travers la violence, donc la force armée.

Les poisons ont eu une grande part aussi dans les massacres, mais à petite échelle parce que pour fabriquer du poison il faut du matériel, des matières premières et de la main-d'œuvre pas toujours complice.

Depuis longtemps on a réalisé que les grandes épidémies étaient les plus efficaces pour supprimer des populations, sauf que les virus c'est comme le reste, quand l'équilibre est atteint les pandémie cessent.

Des pandémies ça peut aussi s'activer, il suffit, avec nos moyens actuels, de trafiquer un peu quelques virus enfermés depuis des décennies, les transformer génétiquement pour les rendre virulents, sauf que là aussi il y a les limites, le corps humain ayant cette miraculeuse fonction d'avoir des défenses immunitaires efficaces, sauf si on annihile ces défenses en les affaiblissant.

Les virus ne peuvent lutter, à eux seuls, contre nos défenses immunitaires, que l'évolution a développée depuis des millénaires, mais par contre on peut injecter massivement des poisons à effet lent en laissant croire que c'est pour lutter contre des virus, si le virus ne peut pas contaminer plus que la nature le lui permet le remède, lui, peut s'inoculer à très très très grande échelle, il suffit de persuader les humains que c'est pour leur bien, l'effet psychologique l'emportant sur l'effet méfiance ça marchera mieux à très très très grande échelle, soit des milliards d'individus.

Ça tombe bien parce que sur Terre nous sommes du triple de ce qui est acceptable pour garder un équilibre. 

Aussi, considérant plusieurs des facteurs énoncés plus avant, la multiplication des tares, des faibles et des neuneus, considérant les populations subjuguées par des évènements divers entièrement mis en scène pour détourner l'attention, considérant que depuis maintenant un siècle les éléments des couches sociales supérieures ont subjugué et infantilisé les autres couches, il ne reste plus qu'à les persuader que ce qu'on fait pour eux est forcément ce qui est pour leur bien.

Dans un sens, si ce que je suppose se confirme dans des années à venir, on diminuera en effet la population par cette persuasion, juste savoir s'il n'est pas déjà trop tard. 

Cette page, qui me fera considérer par beaucoup comme un cinglé, ce que je suis peut-être, comme un parfait abruti, ce que je suis surement aux yeux de beaucoup, ou d'un malade mental, ce qui découlerait de ce qu'on m'a rabâché durant des années, ce qui confirmerait que mon anormalité a entrainé chez moi des désordres mentaux que d'autres possèdent aussi sans le réaliser.

En fait, ce qui compte, ce n'est pas d'être un malade mental, ni un parfait abrutit, ni un con fini, ce qui compte c'est de le savoir histoire d'en tenir compte afin de savourer la réaction de ceux, nombreux, qui ne s'en sont pas rendu compte et/ou qui refusent de l'admettre.

Quel délice que de passer pour un abruti de la part de parfaits imbéciles.

Bonne soirée à tous tout de même.

 

 Pour me rejoindre, continuer à me suivre et partager ce blog,  inscrivez-vous à la rubrique "s'abonner" Newsletter— du bandeau droit de cette page

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article