La faiblesse de l'insulte
La grossièreté est la caricature que
les faibles se font de la force.
Tout part d'un banal "post" Facebook.
M le Maire de Briançon diffuse, sur Facebook, une action juridique à sa demande, ce que tout le monde salue parce que les "squatts" ça commence à devenir inquiétant.
Il y a des gens qui sont dans la misère sans que ce soit de leur faute, ceux-là sont à considérer, encore qu'ils se font discrets parce que humble et honteux de leur misère.
Par contre les zonards volontaires, que les contribuables financent via le RSA, et autres facilités diverses, c'est la lie de la société, ils n'ont ni honte ni honneur et ne connaissent pas l'humilité.
Maintenant c'est le système qui fabrique les zonards, pas l'inverse, ce qui, pour ceux qui n'ont pas trop envie de travailler, est une aubaine, pris en charge en presque totalité par l'État, via l'assistanat complaisant, ces zonards auraient tort de ne pas profiter de l'aubaine, d'autant qu'en plus la plupart crachent sur la société qui les entretient dans la fainéantise chronique.
Alors, comme souvent, j'y suis allé de mon petit commentaire personnel en ce sens, non pour critiquer une action que j'approuve, mais pour constater que ça ne résout rien.
En toute connaissance de cause.
Pour ceux qui auraient lu mes livres, série "ADHOMO", plus particulièrement les tomes 10 & 11, sauront que quand je formule un avis sur certaines considérations c'est que je sais très exactement de quoi je parle.
Aussi, que d'autres internautes émettent un avis différent c'est légitime, on ne peut pas tout savoir ni deviner certaines situations, surtout si on ne les a jamais vécu.
J'accepte la critique et la contradiction parce que c'est ce qui permet d'évoluer et de parfaire ses connaissances, il m'arrive de me tromper comme il m'arrive aussi de raconter des conneries, il suffit de me le dire.
À partir de là s'engage un dialogue écrit via les réseaux sociaux, dont acte ci-dessus.
Questions — réponses.
C'est la logique des contradictions et de la place qu'on occupe dans la société, tout le monde ne sait pas qu'il existe des parasites — Personnes qui vivent dans l'oisiveté, aux dépens d'une communauté ou d'une autre personne (dictionnaire). — pas plus que de savoir comment ils fonctionnent.
Aussi, de part ma vie très agitée et très fournie, ayant moi-même vécu ce parasitage dans une période difficile de ma jeunesse, je sais très exactement ce qu'est un parasite et comment il fonctionne, d'où ma réponse à l'interpellation de mon correspondant, dont j'ai laissé le nom, puisque c'est sur Facebook, donc susceptible d'être vu par des millions d'internautes.
Même si sur les réseaux sociaux on lit de tout et n'importe quoi sans tenir compte, souvent, d'un minimum de respect, je m'efforce à ce respect, donc je reste poli et courtois, jusqu'à une certaine limite bien entendu.
Autre avis.
Puisque tout le monde peut avoir son opinion et en faire état.
Un autre internaute met également le sien, qui recoupe le mien, ce qui ne plait pas à mon premier interlocuteur "épistolaire" informatique.
J'explique donc, par un autre post, la déduction de ce qui est pour certains une évidence.
Et là ça se complique.
Perdre ses nerfs c'est triste.
Surtout sur les réseaux sociaux qui couvrent des centaines de millions d'internautes, même si 99,9999 % ne lisent pas mes posts, il en reste quelques milliers qui me suivent.
Certains m'approuvent, d'autres me déconsidèrent, j'm'en fous ça fait partie de la vie et, comme écrit plus avant, il m'arrive de me tromper, heureusement d'ailleurs.
Par contre il est rarissime que je reçoive des insultes, surtout par des internautes sur le "mur" desquels on peut les découvrir, ce qui m'a un peu laissé pantois, je pensais avoir à faire à quelqu'un de jeune et n'ayant pas beaucoup d'expérience de la vie, ce qui est normal pour des jeunes, je découvre un homme de 78 ans qui habite Fréjus sur la Côte-d'Azur, donc quelqu'un de supposément censé et équilibré.
Toutefois, parcourant sa page pour connaitre de mon interlocuteur, je comprends mieux ce qui va suivre et qui est dans les commentaires ci-dessus.
Déjà l'emportement qui amène au tutoiement, c'est caractéristique des gens instables mentalement, j'ignore s'il en est, je déduis.
La suite est encore plus étonnante, faisant allusion à ce qu'il développe pour émettre mon hypothèse il emploi la force des mots, ceux qu'utilisent les faibles pour se croire forts.
Tout est dit.
Ne cherchez pas sur son mur il a enlevé son insulte, réalisant peut-être que ça pourrait m'être utile, pas de pot, j'ai effectué une copie d'écran avant ce retrait, appréciez comme bon vous semble.
Pour savoir.
Je suis allé faire un tour sur son mur Facebook, connaitre un peu celui qui a de si tendres intentions à mon égard.
Au hasard j'en ai relevé une, pas très récente, avec un tel état d'esprit je comprends qu'on puisse avoir quelques complaisances pour ceux qui ne foutent rien.
C'est visible par tout le monde parmis les centaines de millions d'internautes de la planète, peut-être même plus d'un milliard ; que de risques !!!
J'ai toujours déconsidéré ceux qui n'ont que l'insulte pour réponse, ce triste langage de la plèbe qui reflète un état d'esprit et un manque réel d'éducation, des parents mais aussi à l'école, même si ce monsieur a fréquenté le lycée d'altitude de Briançon, il doit y avoir pas mal de temps vu son âge, lieu où on ne trouve pas forcément que des élites.
Des écoles il en sort de tout, ça dépend de ce qu'on va y chercher et surtout de ce qu'on obtient à la sortie.
Bref, peu importe puisque moi-même je n'ai pas fait d'études poussées ni supérieures, mon instruction vient de mes lectures, de l'éducation que j'ai reçue de mes parents, du respect des autres qu'on m'a aussi appris, surtout à l'armée, et de mes fréquentations diverses, je reste humble face à la science des autres.
Dans ma collection d'insultes diverses, entendues depuis que je comprends ce qu'est une insulte, je vais y ajouter "sinistre abrutis", ce qui, venant d'un homme de 78 ans supposément assez âgé pour faire quelques différences, détonne un peu.
Ma vie parisienne m'a habitué à ces dérives linguistiques et épistolaires, si j'avais perçu une pièce de un franc chaque fois que j'ai été insulté, surtout dans les transports quand je conduisais le métro et le RER, je pourrais, je pense, me payer le château de Versailles, même s'il n'est pas à vendre.
Alors Monsieur l'insulteur, quand vous lirez cette page de blog, parce que j'espère que vous la lirez, je vous invite à boire un café afin qu'à mon tour je vous apprenne la politesse, la tolérance et la vie des autres qui ne ressemble en rien à la vôtre.
Et puis je vous rassure, contrairement à Facebook mon blog n'a que quelques milliers de lecteurs.
Bien cordialement
Bonne journée à tous sur ce petit épisode qui m'a bien fait rire.
Pour me rejoindre, continuer à me suivre et partager ce blog, inscrivez-vous à la rubrique "s'abonner" — Newsletter— du bandeau droit de cette page