Lequel choisir ?
J'ai tellement de sujets sur le feu et dans ma tête que je ne sais lequel préférer aujourd'hui, c'est l'actualité brulante de deux sujets dont l'un sert de prétexte à occulter l'autre.
D'abord une mise au point.
À ce jour ce ne sont plus onze mais quatorze livres dont deux romans. Ce qui n'est pas une finalité puisque j'ai écrit et finalisées trois autres auto-biographies, pas encore chez l'éditeur, et cinq romans différents en cours d'écriture dans mon ordinateur et dans ma tête.
Je suis, depuis maintenant douze ans, le fonctionnement de la ville et des divers protagonistes qui en font l'actualité, j'ai relevé beaucoup de phrases diverses, certaines assassines, d'autres amusantes, d'autres encore interrogatrices.
Ces élections municipales appellent l'attention sur divers points, les plus importants la libre pensée et la liberté d'expression.
Ce que j'écris dans mon blog n'engage que moi, ça reflète une vague généralisée de mécontentements divers et de malaises certains, sauf que peu font l'effort de s'exprimer et encore moins de clamer à tous ce qu'ils ont sur le cœur, maintenant on peut le comprendre dans une ville autant isolée, où l'enracinement profond attaché à la montagne l'emporte sur l'ouverture et le partage, sauf peut-être un certain partage politisé qui sert de tremplin à une idéologie mais l'idéologie c'est aussi une façon libre d'avoir une opinion qui n'est pas forcément partagée.
Le problème des lieux "enclavés" c'est que tout le monde connait tout le monde et que de péter à quinze kilomètres se sait dans l'heure qui suit, pas forcément comme le pet à été produit mais comme il a été propagé.
En fin de compte cet esprit très montagnard je l'adore parce qu'il révèle une nature inconnue des grandes agglomérations, parisien de naissance et d'origine je n'avais pas à l'esprit, il n'y a encore que trente ans, m'incorporer dans une culture montagnarde qui m'a accepté comme je l'ai acceptée, cette ouverture d'esprit qui permet de connaitre les autres, leurs différences, et surtout qui permet de mieux comprendre des comportements, il est dommageable que cette attitude d'ouverture ne soit pas partagée justement à cause de cet esprit un peu "étroit" appartenant à une catégorie de gens semblant la prendre pour seul et unique modèle qui leur serait propre et qui serait la seule vérité bien au-dessus de la pensée des autres.
De là en découle la tolérance qui est aussi trop souvent absente chez ceux qui m'interpellent sans rien connaitre de moi autre que mes élucubrations de blogueur farfelu mais révélant parfois de justes réalités qu'ils refusent.
À travers mes livres, ciblés sur mes débauches sexuelles d'un temps révolu et sur mes élucubrations de jeune merdeux rebelle, j'écris aussi des situations sociales diverses à travers les années passées, quand la société fonctionnait différemment, quand les problèmes de racisme et de différences de nationalité étaient insignifiantes et n'étaient pas exploitées pour faire de la propagande anti ceci ou cela.
Sur cinquante cinq ans de fonctionnement j'ai exercé onze métiers différents, j'ai travaillé chez soixante neuf employeurs différents à travers toute la France, ce qui me permet d'avoir une certaine expérience de la vie, des gens croisés dans cette durée et de pouvoir faire une synthèse appropriée de ce que je devine et de ce que je pressens.
Si pour Mr Gryzka, qui semble avoir des autres une vue assez opaque, l'expérience ne se limite qu'à une lanterne rouge qui n'éclaire que le passé, ce qu'il a sorti en 2014 à Mr Fromm durant une interview, il ne serait absolument rien sans cette expérience des autres qui lui sert de fondation pour assoir une notoriété naissante dans laquelle il ne reconnait que ce qui l'intéresse au détriment du bien collectif.
Alors j'invite ce Monsieur, et d'autres, à lire mes livres, du moins à en parcourir les généralités sans avoir à débourser un sous, pour y découvrir que si j'étale et décris largement des situations hards dont la morale s'offusque - mais c'est la matière première qui en fait leur spécificité - j'ouvre largement les portes d'un passé pas si lointain ainsi que le fonctionnement de ma société d'alors qui permet aujourd'hui aux nouveaux venus d'y faire quelques références ou comparaisons. Je déconseille mes livres auto-biographiques aux moins de seize ans à cause du caractère particulier des descriptions un peu sveltes qui s'y trouvent, relativiser bien sûr, si ce ne sont pas des livres religieux ce ne sont pas non plus des revues pornographiques, c'est en vente libre.
Si maintenant je suis un Monsieur vieillissant et presque sage ce fut loin d'être le cas par le passé, mon tempérament fougueux, introverti, mes exubérances travesties à Pigalle, mes relations très intimes avec des gens de la haute société, mon instabilité chronique, mes bagarres, mes fréquentations diverses du plus haut de l'échelle de l'État jusqu'au bas fonds de la cour des miracles moderne, mes ivresses, mes débordements, mes activités douteuses dans le milieu parisien d'une autre époque, puis d'autres encore, m'ont forgé à prétendre savoir pas mal de choses sans toutefois les connaitre toutes, j'ai acquis la faculté de deviner ce qui se cache derrière les mots et les rodomontades diverses, d'avoir connu en leur plus simple appareil des gens de la haute société, qui se révélaient en ces moments précis sur leur vie de faux-cul et leur regrets divers, fait que je suis bien placé pour savoir que de ceux qui prétendent peu sont capables.
Lequel choisir.
Deux sujets d'actualité, un qu'on minimise et l'autre qu'on soigne médiatiquement.
Je ne doute pas un instant que la population soit accaparée par les deux sujets, les élections c'est toujours un moment important, surtout les municipales qui font l'objet de récupération diverses, de conflits de partis et de mensonges d'État. Quoi que sur ce dernier point un politicien qui ne ment pas c'est un naïf qui s'ignore.
Il va falloir ajouter un sujet à cet article, c'est le problème qui fait que les deux précédents sont brulants. L'immigration.
Et pas seulement celle des "noirs" si chère Mr Macron comme à Mr Gryzka qui s'en sert de cheval de bataille pour justifier sa haine de certains autres bien qu'il prétende le contraire.
J'ai relevé sur Twitter, une de ces poubelles Internet où on trouve de tout, du plus sérieux au plus abject, quelques sujets divers émanants de personnes totalement opposées.
On va me dire que si je m'intéresse à ce qu'il y a dans les poubelles c'est que je suis tombé bien bas - ce qui ne serait pas la première fois mais on se relève - sauf que pour faire les poubelles il faut se baisser et puis on y trouve parfois des sujets intéressants, comme j'adore faire les poubelles - peut-être pas autant que ceux de la haute société (que je connais bien) qui vont y chercher les saloperies du III Reich pour alimenter leur pauvre vocabulaire - je me complets à les fouiller pour savoir ce que jettent ceux qui sont d'opinions différentes mais surtout qui en sortent aussi les saloperies qui ne sont pas que l'apanage des gens médiocres - ce qui prouve que je ne suis pas seul à faire les poubelles.
On peut donc déduire que des deux sujets actuels, aussi brulant l'un que l'autre, le coronavirus, appelé aussi Codid-19, l'emporte sur les élections, juste savoir lequel est le plus dangereux en ce moment, parce que les élections camouflent une réalité dangereuse, minimiser une épidémie pour se maintenir en bonne place, à coup de paroles rassurantes et de démentis divers on se trouve dans une situation qui pourrait rappeler l'explosion de la Montagne Pelée en 1902, quand la fièvre des élections l'a emporté sur la prudence alors que l'imminence d'une catastrophe était certaine.
Les politiques actuels, que j'écoute alors que je n'ai même pas la télé, me déconcertent, certains me navrent, d'autres m'inquiètent, comme la Ministre du travail qui, hier au soir, bafouillant comme une collégienne devant son prof, semblait ne pas savoir quoi répondre, proférant quelques mots sans réel sens, éludant le sujet pour cacher la merde au chat, semble être autant à cette place dans cette fonction qu'une baleine dans une une mare à grenouille.
Mais des baleines d'État on en a quelques-unes en ce moment, à se demander quel cursus ces fonctionnaires ont suivi pour être aussi nul dans des fonctions qui demandent réflexions profondes, retenues et intelligence, c'est là qu'on réalise que de caser des copains douteux dans des postes à haute responsabilité amène le pays à sombrer dans le big-bordel.
Donc le sujet immigration est d'importance parce qu'il est devenu la seconde préoccupation des français, je parle des vrais français, pas ceux issus de l'immigration qui se répondent d'un pays dans lequel ils ne pourraient et ne voudraient pas vivre sans toutes les facilités, finances et autres qu'offre la France sans contrepartie.
L'immigration c'est ce que les bien-pensants appellent de l'humanitaire, sans peut-être savoir ce qu'est l'humanitaire, c'est ce qui coute un bras à l'État, ce qui impose les augmentations drastiques comme celui des cigarettes parce que peu savent que les taxes sur le tabac c'est pour aider les associations diverses qui vont chercher les migrant afin de nous les imposer. Il est loin l'humanitaire.
Pendant ce temps là l'hôpital se meure, les instituions sont en panne faute de finances, la Justice est débordée faute de finances, les militaires de tous ordres sont sous équipés à cause du manque de finances ; l'assistanat massif détruit le tissus social, massacre l'économie française et crée des situations insurrectionnelles dans tous les coins de la France.
Et pourtant, à nos frontières passoires, il y a des maires et des candidats qui en veulent encore des migrants.
Ce n'est pas une invention du RN.
Puisque dès que quelque chose irrite les bien-pensants c'est tout de suite une manœuvre du Rassemblement national.
La prouesse des raccourcis pour se donner fausse bonne conscience.
Rien à écrire, juste à lire.
3 000 000 de plus.
Si l'actualité est juste Erdogan fait du chantage, savoir en ces périodes de début de pandémie dans quel état sanitaire sont ces gens perpétuellement déplacés, parce que mettre des villes en quarantaine pour aller chercher dans les montagnes des migrants "égarés" sans se préoccuper s'ils sont en bonne santé c'est un peu nous prendre pour des cons même si on en a l'habitude.
Non seulement ces "esclaves modernes" sont manipulés par les divers pays qu'ils traversent mais s'ils sont malades qui va les prendre en charge alors qu'on a un système de santé qui se dégrade et qui manque de moyen.
Alors bien entendu on ne va pas les laisser crever dehors et malades, c'est la conséquence des irresponsables qui vont les chercher dans leurs pays alors que de les aider chez eux couterait nettement moins cher à l'Europe, les réfugiés de guerre syriens sont les victimes du système Erdogan, il n'en veut pas alors il les refile à l'Europe parce qu'aucun pays musulman n'en veut. Ils sont moins cons que nous les pays musulmans qui n'ont de fraternel que les finances.
Ce qui est interrogateur c'est que systématiquement ils se retrouvent sur le sol français, perdus pour les uns trouvés pour les autres, étrange manipulation médiatique qui consiste à nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Pré-programme Gryzka.
Il y a une page fantôme.
La même page que le programme Fromm en 2009 et 2014, la page immigration.
Je relève que Mr Gryzka va bétonner la ville, à l'instar de son mentor et maitre d'un temps le maire actuel afin de ramener des finances, ce candidat ne veut pas d'impôts supplémentaires, juste des taxes, la subtilité des phrases est délicieuse, d'ailleurs sur le même principe il insiste, zéro impôt en plus, mais il ne semble pas vouloir baisser l'augmentation drastique de l'eau, soucieux des finances il accepte tout de même une dette variant de 13 à 32 millions d'euros de dédommagement à la SEERC, et bien d'autres incohérences que je vais soulever dans les prochains jours.
On aurait aimé avoir une idée précise de la politique d'accueil des migrants à Briançon, s'il me fait reproche, à travers Facebook, d'être supposément insensible à la "détresse" des massives arrivées incessantes de migrants de toutes provenances, il semble étrangement interrogateur que le sujet soit absent de son programme.
Comme Mr Fromm il va nous le mettre en pleine gueule une fois élu, s'il est élu.
Pré-médiatiquement annoncée.
Conséquences de la démocratie à la carte, on ne sera donc pas dans la course.
Peu importe puisqu'on va construire autre chose de bien plus solide qu'un poste de Maire en CDD mais sans les contraintes d'un mandat électif.
Notre tête de liste ne donne pas de consigne de vote et c'est une sage décision, le vote n'appartient pas à un parti ou à une mouvance, c'est un acte personnel en son âme et conscience.
En ce qui me concerne je vais voter, ne pas le faire serait contraire à mes principes et je ne me sentirais pas en position de critique si je ne votais pas.
Donc personnellement je vais voter pour le candidat qui sera le plus à même de pouvoir redonner à la ville ce que les administrés en attendent, c'est à dire sécurité, tranquillité et bonne santé financière, j'ai maintenant mon candidat préféré - puisque nous ne sommes plus dans la course - que je ne dévoilerai que la veille du scrutin, je n'invite pas spécialement les sympathisants de notre mouvement à faire de même pour les raisons ci-avant décrites, comme je sais aussi nos colistiers déterminés à ce que la ville ne soit plus le dépotoir de la misère du monde.
Demain je vais faire un survol des listes en lice.
J'ai juste remarqué que la plupart des candidats ont exactement le même programme, écrit différemment, tourné différemment, certains sur papier recyclé, d'autre sur papier glacé de haute qualité, on n'a pas partout le même sens de la valeur de l'argent ni les mêmes responsabilités à considérer qu'en finalité ce sont les contribuables qui payent.
Bonne soirée à tous et à très bientôt.