Beurk
Un petit dirait "c'est caca", un plus grand dirait c'est sale, un adulte ne dirait rien, puisqu'il est de ceux qui rendent ces endroit dans cet état.
Moi j'écris c'est crade, oh combien.
Edifiant.
Dans plusieurs de mes pages je dénonce, depuis des années, preuve que ça ne sert à rien, quelques négligences d'entretien, dans d'autres un laxisme flagrant dans ce même entretien, puis enfin dans d'autres encore la veulerie communautaire des éléments responsables de ces navrances. Il est vrai que les couvercles sont inversés dans ce cas de figure.
Les négligences d'entretien ne sont pas du fait des services officiels mais dans la presque totalité des situations du fait des responsables "privés".
D'évidence ces sacs poubelle à côté des réceptacles, qui ne sont pas pleins, dénotent de la part de la personne déposante soit une déficience mentale soit un acte purement gratuit visant à emmerder le monde.
Ou peut-être ne plus avoir la force physique de lever ces sacs afin de les glisser dans le conteneur.
Bref, ce sont les employés qui vont encore une fois ramasser la merde des autres, que ce soit des services techniques ou de Véolia.
Cette photo est du 4 avril à 10h03 et c'est l'espace Durance aussi appelé savamment ZAC ou zone d'activités commerciales.
Pourquoi continuer à l'écrire si ça ne sert à rien ? En effet, bien que mon blog soit largement visité ce n'est quand-même pas un journal et puis ceux qui sont concernés par mes quelques remarques n'y vont certainement pas. En fait c'est une forme de "rassurance" personnelle, je me dis que je ne suis pas seul à constater ces incivilités. (Oui je sais, rassurance ça n'existe pas)
Peut-on y faire quelque chose ? Non, en fait la nature d'un individu reste la même du début à la fin, sanctionner ne sert à rien, sermonner non plus puisque ces individus n'admettent pas que d'autres leur fassent remarquer qu'ils ont quelques désordres, la seule réelle tentative c'est d'attirer l'attention des pouvoirs publics municipaux pour qu'ils interviennent auprès des responsables de ces endroits si négligés.
Maintenant, connaissant les réactions négatives de ces pouvoirs publics, je doute qu'il y ait des suites positives, alors, en dernier recours, j'attire l'attention des autres administrés consciencieux, nombreux heureusement, afin qu'ils puissent aussi peut-être attirer l'attention des pouvoirs publics, le nombre c'est une force.
C'est tous les vingt mètres en ville.
Il est vrai aussi que ce secteur est plutôt fréquenté par les salariés du travail invisible, ceux que je démontre dans des pages antérieures, salariés puisqu'ils sont rémunérés régulièrement et sans faille contrairement à ceux qui perdent leur emploi et qui sont obligés de galérer dans divers services avant de percevoir une indemnité de chômage parfois inférieure au salaires des travailleurs invisibles.
Parce que la société est maintenant ainsi faite, ceux qui refusent de travailler sont pris en charge et perçoivent des émoluments de la société que ceux qui la financent ne peuvent obtenir quand ils se retrouvent privés d'emploi, c'est à dire, sous nos contrées, deux fois par an puisque le travail est subordonné aux saisons touristiques.
Qui plus est, les travailleurs invisibles disposent de temps infini pour se reposer de leur tâche, ils trainent donc en ville, en toisant et méprisant ceux qui les entretiennent, mieux, ils dégradent et salissent l'environnement qui, de ce fait, pourrit la vie à ces mêmes payeurs. Il parait que c'est du social. Je les vois tous les jours quand je vais bosser, crasse, clopes aux lèvres et bières à la main, il faut faire un écart pour ne pas perturber leur quiétude, presque menaçants ils nous font bien comprendre combien ils nous emmerdent et nous méprisent, c'est aussi ça le paradoxe de l'assistanat, ce qui est à l'origine un devoir pour la société devient un droit pour ces salariés sans travail et à vie.
C'est là qu'on se prend à rêver de ce qu'était la société d'il y a quelques décennies, quand les parasites sociaux étaient enrôlés de force à effectuer des tâches d'intérêt général en échange de l'assistance que la société de ces époques leur offrait. C'est souvent que je les aborde, que je discute un peu avec eux, ils sont unanimes, ils ne travaillent pas parce qu'ils n'en n'ont pas envie, assistés professionnels ils se trouvent très bien dans leur condition, j'ai connu ça il y a aussi quelques décennies quand j'ai partagé aussi la vie de ces groupes hétéroclites à Paris, comme quoi l'expérience permet d'aborder des hypothèses que les pouvoirs publics, ignorant de la chose, ne peuvent pas avancer. Ces mêmes pouvoirs publics fonctionnement donc sur des apparences, toujours ces apparences.
Ces canettes de bière vides, qui jonchent la presque totalité des rues et recoins de notre ville, ne sont donc même pas recyclées, certaines y passent des semaines, voire des mois suivant que les employés affectés aux secteur à nettoyer sont attentifs ou pas, à moins qu'ils ne les voient pas, ce qui laisse supposer que je suis le seul à les voir.
Maintenant, on va me rétorquer encore une fois que c'est privé, donc on laisse la merde parce qu'on n'est pas payé pour nettoyer ce secteur, pourtant dans les impôts sont aussi compris les frais de ce fonctionnement qui est gravement réduit par décision municipale afin de faire des économies, ce qui revient à considérer que si la ville est dégueulasse c'est aussi parce que la municipalité détourne l'argent des impôts, normalement destinés au fonctionnement, pour financer d'autres choses, chaufferie bois, coeur de ville, fort des Têtes (Parce qu'il ne faut pas non plus nous prendre pour des cons, ce fort si mis en avant pour faire dans le luxe au détriments des briançonnais ce n'est pas gratuit pour la ville) et "cultures" douteuses pour "artistes" tout aussi douteux.
On n'a pas fini de vivre dans la merde, les embouteillages et les travaux à Briançon.
Là aussi, c'est privé.
Il n'y a que la vision de la merde qui est publique.
Ces éléments rajoutés sur les escaliers d'origine pour sécuriser les accès en hiver, installés je suppose par l'organisme HLM qui gère ces résidences il ne semble pas que l'entretien est été aussi retenu par ce même organisme, à moins qu'à l'instar de la municipalité les fonds soient détournés pour d'autres dépenses souvent occultes.
Et puis cette ville morcelée, qui appartient à tout le monde et à personne, gérée par tiers par la municipalité, le département et les privés, on peut comprendre que le bordel administratif que ça génère génère aussi des nuisances que les briançonnais doivent supporter de plus en plus, parce que si la municipalité se targue d'avoir effectué des améliorations par-ci par-là, les administrés sont unanimes, depuis dix ans la ville s'enfonce dans un désordre flagrant et dans une crasse qu'elle n'avait encore jamais connu, même si les apparences, lieux visibles de tous (et encore) tentent de sauver une image dégradée, je connais beaucoup de touristes qui s'en plaignent, certains ne viennent plus.
On peut aussi les comprendre, leur faire payer des parkings défoncés dans certaines rues, les taxer pour le moindre déplacement, les taxer pour aller visiter la vieille ville, en ruine partielle elle aussi d'ailleurs. Tant qu'à faire d'admirer les montagnes ils vont les voir ailleurs, sur les 1200 km de la ceinture alpine ce n'est pas ça qui manque et dans des secteurs nettement plus agréable, comme en Suisse ou en Autriche.
Alors se la péter avec un classement UNESCO pour une ville dégradée c'est juste bon pour ceux qui n'en peuvent plus de prétention, un mandat local équivalent à une notoriété désuète qui fait bander ceux qui s'en sentent investis, ces gens imbus de leur mandat dérisoire et qui nous toisent comme si notre vie privée dépendait de leur bon vouloir, ce qui est presque réel en fait puisqu'ils nous maintiennent dans la merde pour qu'eux n'y soient pas.
Vieux pneus privés.
Vus du public, là on réalise vraiment la mentalité de certains, ce n'est pas le vent qui les a amené là, pourtant ça fait des mois, je me dis que là aussi il y a des problèmes mentaux, parce que comme attitude ça relève de la débilité.
Ce sont quelques résidents de ces barres d'immeubles, ils disposent de garages privés souterrains, donc pour ne pas avoir de merde dans leur garage ils la mettent dehors en attendant que les services techniques la ramasse, ce que ces derniers ne feront pas pour les raisons évoquées plus avant dans cette page.
Alors ça reste là des mois, voire des années dans certains cas, c'est une belle image touristique mais ça va très bien avec la présence constante des salariés du travail invisible.
Dans quelques jours autre chose, je vais me balader un peu en ville avec mon appareil photo, le matin puisque je bosse l'après-midi. Pas besoin d'aller loin, à chaque coin de rue on a de la matière première. Bon, pour aujourd'hui c'est assez comme dirait la baleine. (Bon, d'accord c'est très con mais on ne se refait pas)
Ah si !
Etuis pour Cartes diverses.
Une de mes récentes pages dans laquelle je me demandais comment on peu trimbaler une quantité de cartes diverses, bancaires, de crédits, d'avantages, de fidélité, etc..
J'ai trouvé sans chercher en passant devant une vitrine.
Putain c'est impressionnant le prix que sont vendues ces merdes en plastique pour y insérer d'autres merdes en plastique.
J'ai utilisé mon traducteur informatique parce que l'anglais et moi ça fait deux, donc "Smart Wallets" ça veut dire "portefeuille intelligent", je n'en doute pas un instant, se vendre à ce prix pour si peu il faut vraiment être intelligent et surtout trouver des gogos.
C'est juste comme ça.
Bonne journée à tous.
Pour me rejoindre, continuer à me suivre, me haïr ou m'approuver et partager ce blog, inscrivez-vous rubrique "s'abonner", bandeau droit du blog.