Fabrication d'un bon français obéissant
Pour qu'un individu se taise, et pour qu'il rentre dans le moule, il faut le conditionner à craindre de perdre le peu qu'il a.
L'avantage de ceux qui n'ont rien c'est de n'avoir rien à perdre et tout à gagner, c'est à dire profiter de ceux qui ont tout à perdre.
Ceux-là même qui ferment leur gueule en espérant qu'on leur en laisse un peu, même s'il faut payer et payer encore.
Zonards d'aujourd'hui. (Photos Internet)
La société française, en perdition, même si les médias tentent d'essayer de nous prouver le contraire, est peuplée d'un pourcentage très inquiétant de parasites.
Parasites au sens propre du terme, c'est à dire des éléments qui vivent au détriment de ceux qui les entretiennent sans aucune contrepartie.
Des zonards il y en a toujours eut, jusqu'à l'avènement socialiste de 1981 ils étaient en minorité et plutôt dociles.
A l'heure actuelle c'est un métier, celui qui est le plus couramment exercé fort d'un salaire minimum garanti qui ouvre des droits interdits à ceux qui financent la caisse qui paye les zonards, aides aux énergies, aides aux logements, aides vestimentaires, facilités de circulations par l'obtention d'une carte "solidarité" permettant de faire n'importe quel trajet - du moins en PACA - pour un Euro, deux maximum, et autres complaisances.
Ceux qui sont sales et débraillés, et je sais très exactement de quoi je parle, qui salissent les lieux publics, volontairement, qui crachent sur ceux qui les entretiennent, qui dégradent pour le plaisir, n'ayant strictement rien d'autre à branler en dehors de leur quéquettes puantes, ou leur chattes vérolées pour les rares nanas, qui sont souvent accompagnés de chiens pris en charge gratuitement par les vétérinaires comme ces zonards sont également pris en charge gratuitement pour les divers maux dont ils souffrent ou souffriraient.
Qui se droguent, pour beaucoup, qui ont des cigarettes payées par la société, qui déambulent du matin au soir et du soir au matin en ne faisant rien d'autre que de provoquer, canettes à la main, plus ou moins ouvertement, souvent avec violence, une société soumise, égoïste et qui baisse la tête.
Il y a les parasites d'Afrique, qui arrivent tous les jours et incessamment par nos frontières passoires, attirés par le gain facile et sans effort représentant, dans leur pays, six mois à un an de salaire, ce, distribué chaque mois, obtention d'un téléphone portable dernier cri payé par la société, laquelle compte des salariés ne pouvant, eux, se l'offrir.
Pris en charge à 100% par la société, pour bien montrer qu'ils nous envahissent ouvertement ils déambulent dans nos rues à l'affut d'un petit larcin possible ou d'une femme à baiser, puisqu'homme il faut bien que la nature s'assouvisse, même si parmi les boulons de la société il y a quelques femelles en chaleur par trop regardantes à se faire mettre par un peu n'importe quoi, là aussi la nature s'épanouit, après tout une bite reste une bite.
Mais bon, comme il y a des esclaves officiels, certains soutenus par des municipalités soumises aux communautés, qui les aident à passer nos passoires frontalières, il est difficile de leur en vouloir, je ne connais personne qui refuserait une vie facile et sans effort pour une durée illimité dès l'ors qu'on leur propose.
Le système est pourri mais ceux qui l'ont mis en place, et qui le confortent en l'entretenant soigneusement pour diviser la société afin de mieux la contrôler, ont été élus par ceux qu'ils soumettent (Voir le petit livre de La Boétie " La servitude volontaire")
Il y a nos parasites bien blancs et bien français, ceux qui, comme les précédents, auraient tort de ne pas profiter d'une telle aubaine, tout avoir sans rien donner en pouvant chier ouvertement sur la société, ça fait des émules.
J'en connais des tas, j'en vois tous les jours, pour certains je les sens avant de les voir, le savon n'étant pas inclus dans la distribution généreuse de l'Etat à l'égard de ces "pauvres gens" qui sont plus dorlotés que les smicards qui se crèvent le cul pour les entretenir.
Et puis pas d'impôts, pas de taxe, pouvant tout se permettre, intouchable parce qu'insolvables ils se permettent justement tout, certains appellent ça la solidarité, d'autres de l'humanisme, en oubliant d'y inclure ceux qui triment en crevant pour gagner tout juste de quoi entretenir grassement les nantis de la République, élus divers, députés, sénateurs, ministres, minables ou pas, et quelques oisifs d'Etat entretenus à ne rien branler d'autre que d'imposer leur seule présence.
Mais comment la société accepte t-elle çà ?
C'est très simple.
Pièges à cons.
Et ça marche, ça marche même très fort.
Quel que soit le support il n'y en a pas un qui ne fait pas l'apologie de l'argent facile et abondant, pour les vieux cons comme moi, échaudés et méfiants, ce n'est pas facile, pour les plus jeunes, intelligents ou non, instruits ou non, du trou du cul de 18 ans au guignol de 40/45 ans, rares sont ceux qui ne succombent pas à ces alléchantes facilités financières.
Il faut dire que quand la fin du mois commence le 15 on est tenté de pouvoir le clore par un petit supplément qu'on rembourse en souplesse, on emprunte 500 Euros qu'on rembourse 25 chaque mois sans savoir que c'est avec des intérêts qui génèrent des frais dépassant parfois le montant du remboursement mensuel, ce qui creuse un trou qui s'agrandit tous les mois, plus on rembourse et plus on s'endette.
Ces sociétés de crédit ne sont autres que vos banques, du moins des filiales créées par ces banques de façon à pouvoir obtenir des taux que les lois sur la finance leur interdisent officiellement. Ces dernières placent leurs pharaoniques bénéfices dans des paradis fiscaux pour échapper au fisc, ce dernier plus préoccupé de savoir si vous n'avez pas dépassé de deux jours le délais de paiement de l'impôt obligatoire et bientôt prélevé à la source, si vous n'avez plus rien à bouffer ce n'est pas grave, les nantis de la république iront quand même au restaurant à vos frais.
En ce moment, d'ailleurs, les médias sont bizarrement occupés à lever des lièvres, ceux qui sont à sacrifier pour que les autres continuent à courir, et puis avec des filiales et des prête-noms on peut bien sacrifier un petit pourcentage des bénéfices, les taux d'intérêt des crédits le combleront rapidement, de temps en temps il faut lâcher du lest, et puis pendant qu'on occupe le peuple avec des scoops d'agressions sexuelles et des "paradises pampers", pour les anges financiers qui en mettent une couche, - c'est volontaire pampers au lieu de papers - les couches ça éponge bien les fuites financières.
L'Etat augmente le prix du tabac, le prix des contrôles techniques, induit la redevance audiovisuelle pour tous sans distinction, laisse augmenter les péages racket, mais diminue les pensions de retraite en ponctionnant ces mêmes retraites d'un taux de CSG encore jamais atteint.
On dit aussi "social", pour financer l'assistanat des migrants, des réfugiés de tous horizons, des salariés du travail invisible dit également "assistés sociaux", au détriment des indispensables dispositions que devrait mettre en oeuvre l'Etat qui délaisse le réseau routier et bien d'autres obligations dont il s'exonère, qui ponctionne le budget de la défense pour financer les associations d'aide aux migrants, associations qui explosent depuis que cette manne insondable est puisée dans la tirelire nationale, l'impôt.
La France est au bord de la faillite, elle est la risée de la planète entière, on a un banquier à la tête de l'Etat français et un autre, le plus beau requin d'Europe, à la tête de l'UE, ou Etat européen même si personne n'ose le prononcer.
Comment les banques ne profiteraient-elles pas d'une telle aubaine, avoir réussi coup sur coup à placer des banquiers à la tête des institutions c'est un exploit qu'il n'y a pas 20 ans elles n'auraient même pas osé imaginer.
Les étonnants étonnés.
Les médias, une fois de plus, après avoir adulé cet arriviste opportuniste - il est vrai qu'il y a mis le prix, du moins les banques qui l'ont fait élire - semblent se retourner contre lui.
Ses réformes n'avantagent que la haute finance, pas un seul salarié, commerçant ou artisan n'en tirera le moindre centime avantageux, ce qu'il induit de complaisance d'un côté il le prend d'un autre.
Mais où sont ceux qui ont voté pour lui ?
Il est vrai qu'il a été élu par défaut, d'ailleurs si le PS et le LR ont été éliminés, par des subterfuges vieux comme le monde, c'était pour laisser la place au FN au second tour, c'est le jackpot assuré, ce parti au second tour c'est l'assurance d'être élu pour celui - ou celle - qui se trouve en face.
Qu'est-ce qu'on peut être con en France à gober des fadaises pareilles.
Il faut dire aussi que ceux qui ont mis Hollande en place ont détruit le PS et ceux qui se sont réfugiés au LR, anciennement UMP, ont mis en place celui qui les encule bien profond. (On ne dit pas enculé ! ah ben merde alors, voilà que je me permets quelques écarts de langage, pourtant ça ne me ressemble pas)
Et il a raison, la connerie à un tel niveau ça s'exploite.
Allez, encore quelques crédits et tout sera bouclé.
La pompe à gogos est ouverte, dans toutes les bonnes banques.
Si les emprunteurs pouvaient mettre de côté le montant des intérêts qu'ils versent aux banques, crédits, découverts bancaires - qui est une forme de crédit - frais divers ; en peu de temps il pourraient se passer des crédits, juste se serrer un peu la ceinture quelques temps, ce qu'on faisait avant la socioété de consommation dans les années 1960.
Mais voilà, la société de consommation c'est pousser à la dépense pour pousser au crédit, la boucle est bouclée.
Pour fabriquer un bon français obéissant il faut l'endetter, il est obligé de fermer sa gueule de crainte de tout perdre. Qu'il perdra quand même mais autrement, mais pas maintenant, encore un peu de patience.
Demain autre chose, ou après demain.
Bonne soirée à tous.
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