Les cars "Macron"

Publié le par francois.ihuel15.over-blog.fr

 

Qui n'a pas entendu parler des cars "Macron", cette lumineuse idée qui consiste à mettre à la disposition des gens un moyen de locomotion à bon prix.

Du moins sur le papier.

 

Les cars "Macron"

Sous nos contrées oubliées.

C'est une possibilité pour en effet favoriser les gens aux villes et villages mal desservis par le train, surtout quand la SNCF veut en supprimer certains et que les régions ne veulent plus assumer l'entretient des infrastructures (Le Dauphiné du jour)

Briançon, représentant une de ces villes oubliées, sauf pour les taxes et les impôts, est donc une des principales de celles qu'on nomme "le trou du cul du monde", d'ailleurs l'aspect de cette ville étant assez merdique d'être le trou du cul de quelque chose justifie parfaitement ce terme péjoratif mais combien mérité.

Le PQ est disponible en mairie.

Certaines rues, surtout en vieille ville, laissent effectivement admirer, à la vue de tous, des étrons plus ou moins anciens et plus ou moins écrasés aux parfums aussi subtiles que la matière.

 

Les cars "Macron"

J'ai fait des recherches.

En effet, un ami, le seul réel d'ailleurs, qui réside près de Mont-de-Marsan, attend ma venue toujours remise pour "x" motifs, le plus important étant la distance et le dernier en date une intervention chirurgicale.

Je me suis dit "en voilà une bonne nouvelle venant d'un brillant ministre" (puisque Macron était ministre) qui semble compatir aux problèmes de transport français n'ayant pas de dessertes transversales, bien que son réseau ferré ait près d'un siècle et demi d'existence.

Internet ayant cette particularité de proposer 20 000 réponses instantanées, même avec un débit de 1,45 Mbits, par question individuelle dont 98% publicitaires, j'ai choisis celle qui est la plus en rapport avec les cars "Macron" ne proposant pas plus de publicités que de solutions.

Des cars Macron sans macaron macroniste, étonnant.

 

Les cars "Macron"

Donc.

Un transporteur local qui dépare dans le contexte, le transport par autocar je connais, c'est pourquoi je m'étonne que le choix du présent soit prépondérant alors que d'autres effectuent les mêmes relations tout en étant à Briançon, comme RESALP.

Sauf que RESALP n'est pas sponsorisé par la SNCF, on se demande même ce qu'elle vient faire dans ce contexte puisque c'est un trajet de remplacement par cars que je cherche.

Si on s'en réfère à la case de droite on voit bien que le symbole "train" n'est pas coché, donc on est bien dans du transport par autocars.

Pour que les choses soient conformes j'ai choisi la date du 24 juillet, quand le tour de France sera terminé puisque les perturbations occasionnées entravent grandement le fonctionnement de ce département des Hautes Alpes qui ne fonctionne déjà pas trop bien d'ailleurs, mais c'est une autre histoire.

Par contre, ce qui déjà m'interpelle, c'est la durée des trajets, entre 13h00 pour le plus rapide (Donc très relatif) et 26h00 pour le plus long. 

Mais oui, vous avez bien lu, VINGT SIX HEURES.

Pour une distance de 653 km à vol d'oiseau et 775 km par la route au plus court.

 

Les cars "Macron"

Première option.

Un voyage de 13h05 pour la modique somme de 215,80 Euros, soit un cinquième du salaire d'un smicard pour un aller simple.

Dans la case de droite, l'option "train" est toujours décochée, ce qui laisse donc toujours supposer que c'est un voyage par cars.

Mais !!!!

C'est un voyage exclusivement par trains. 

Qui plus est, à Paris, la correspondance n'est pas garantie, c'est marqué dessus comme le Port Salut.

Donc prévoir une éventuelle chambre d'hôtel à 80 Euros, un diner à 25 Euros, un petit déjeuner à 15 Euros et un voyage rallongé de plus de 10h00 puisque le départ suivant n'est pas défini, et une dépense déjà conséquente, environ 335 Euros pour un aller simple, donc plus de la moitié d'un salaire de smicard aller et retour qui bénéficierait d'une réduction à 50%.

Déjà, les paumés comme moi sont écartés des clients potentiels.

Je laisse tomber cette option puisque moi je veux voyager avec les cars Macron.

 

Les cars "Macron"

Deuxième option.

Le voyage à 178,60 Euros, moins cher donc, et puis je constate qu'il y a un bel autocar en incrustation, ça me rassure.

Mais pas longtemps.

Déjà, dès le début on prend le même train, puis on constate aussi que la correspondance semble n'être pas garantie, pourtant de la gare de Paris-Lyon à la gare de Paris-Bercy le trajet est court, même à pied en marche arrière par vent dans le dos on y arrive facilement en 40 mn.

Là, on est censé trouver un car pour Mont-de-Marsan, un direct donc, qui suit le même chemin que le train, mais qui met 10h50 mn alors que le TGV ne met même pas 3h00, c'est après que ça se complique.

Le prix est plus intéressant mais il faut quand-même prévoir l'option hôtel et repas, soit 178,60 Euros plus l'éventuel blocage à Paris, donc 298,60 Euros pour un aller simple, toujours à demi-tarif, mais dans la perspective d'une durée indéterminé du voyage si la correspondance ne se fait pas, soit  597,20 Euros, la moitié d'un salaire de smicard à 50% de réduction.

Etonnamment il ne figure pas de moyen de remplacement pas plus que de précision si cette dite correspondance ne se fait pas, c'est à dire qu'un car qui n'aurait que trois ou quatre passagers ne roulera pas.

Là encore les paumés comme moi sont écartés des clients potentiels. 

Je laisse tomber cette seconde option puisque moi je ne veux voyager qu'avec les cars Macron.           

 

Les cars "Macron"
Les cars "Macron"

Troisième option.

Déjà je remarque qu'il y a deux compagnies de cars, tenant compte qu'à l'origine Durance Ecrins, sis à La Roche de Rame, ce village oublié de Dieu et du Conseil Général des Hautes Alpes, est mis en avant et pourtant je n'ai pas vu un seul de leurs véhicules dans mes deux premiers périples pas plus qu'ils n'y seront dans les suivants.

Là, je me pose une question, je pars de briançon mais il me faut aller chercher un car à Monêtier-les-Bains, donc il faut se renseigner sur les dessertes partant de briançon vers cette destination de départ. 

Je me réfère donc à la compagnie de car qui figure sur la page d'information, ALTIBUS, qui ne fonctionne d'ailleurs pas en été, et surprise, c'est la SNCF.

Il reste l'option RESALP mais ce n'est pas indiqué dans la page bien que ce soit la seule relation entre Briançon et Monêtier-les-Bains.

Il est vrai qu'en France il y a des tas de conflit interrégionaux qui ont la particularité de créer des tas de frontières entre les départements, les régions, et donc crée un système conflictuel qui dévalorise certains au profit d'autres qui sont incapables de répondre à la demande.

Ce qui fait que quand on change de département il faut se plier aux obligations qui imposent de changer de caisse de sécu, de CAF, et autres diversités vicieuses bien française, alors qu'avec une simple carte d'identité vous allez de Malaga à Varsovie sans autre formalité. Comme quoi les frontières des pays se sont réduites aux frontières départementales françaises sauf pour une certaine catégorie d'individus mais je passera sur cette parenthèse.

Alors, prévoyant, je rallonge mon voyage d'une heure pour assurer cette correspondance qui ne figure nulle part, bien voir que j'ai demandé une relation Briançon Mont-de-Marsan.

Mais pour 85 Euros c'est déjà très accessible, juste à rajouter le prix de la relation Briançon Monêtier-les-Bains, soit 8 Euros aller et retour. 

Donc, départ théorique à 15h30, arrivée à Mont-de-Marsan à 9h45 le lendemain matin.

Sauf que !

Les correspondances ne sont pas garanties, ah ben merde alors, c'est quoi ce fonctionnement et ces prévisions aléatoires ?

A Bordeaux il faudra prendre le train, FLIBUX c'est une entreprise de relations européennes, donc loin de se préoccuper de remplir des cars entre Grenoble et Bordeaux, je comprends que les correspondances soient "sous réserve".

En fait ce sont ces deux relations qui posent problèmes, les cars ne roulent pas à vide, donc il y a de très fortes probabilités pour que les liaisons ne soient pas assurées, depuis Monêtier-les-bains ce n'est pas grave, ce n'est pas loin, depuis Grenoble ça se complique, soit on fait demi-tour par un autre moyen de transport, comme la SNCF, soit on dort sur place en y incluant les repas, donc des frais supplémentaires et une durée de voyage indéterminée. 

Il faut donc prévoir des fonds afin de compenser les défections possibles, le trajet à 85,00 Euros risque de revenir à 300 Euros sans résultat garanti. Toujours à demi-tarif.

C'est franchement bordélique, Je laisse tomber cette troisième option.

   

Les cars "Macron"

Quatrième option.

Classique, le train de nuit, que la SNCF veut supprimer, pour aller jusqu'à Paris.

Arrivé à ce stade de mes recherches je constate avec effroi que pour aller vers l'Ouest je suis à chaque fois obligé de passer par le Nord, ce qui rallonge considérablement les trajets, donc le prix de ces trajets, et l'incontournable obligation de passer par la capitale.

Et, surprise, une fois de plus les correspondances ne sont pas garanties, toujours ce problème de remplissage des cars. 

Pour 106,10 Euros je dois donc prévoir un séjour à Paris puis un autre à Bordeaux, soit environ 260 Euros, soit 366,10 Euros pour un aller simple et pour un trajet théorique de 26h00 pouvant, si les correspondances ne sont pas assurées, aller jusqu'à 48h00, voir plus.

Là encore je constate que mon voyage en car se fait surtout en train sur une durée dépassant les déplacements à cheval du XIXème siècle.

Et puis il faut que je précise que je suis rentré dans la catégorie du troisième âge, vous savez cette dénomination faux-cul pour éviter de dire "vieux", c'est péjoratif vieux, donc je suis à demi-tarif, ce qui veut dire qu'un smicar paye le double, soit un mois de salaire.

Je laisse tomber cette quatrième option.

Et puis je constate que les cars sont aussi des filiales de la SNCF pour la plupart, Macron crée des lignes de transport par cars pour concurrencer le train, trop cher, mais c'est la SNCF qui chapeaute tout ça, c'est aussi pour ça que les correspondances ne sont pas forcément assurée, comme ça quand il n'y a pas de car les clients sont dirigés vers le train aux tarifs du train, c'est une façon comme une autre de se foutre de la gueule du monde et de niquer les clients mis au pied du mur.

Allons voir le train.

 

Les cars "Macron"
Les cars "Macron"

Cinquième option.

Qui s'exonère entièrement du car.

Départ de Briançon pour Marseille puis pour Bordeaux et enfin se rendre à Mont-de-Marsan, soit un voyage de 15h00 pour 89,90 Euros pour un aller simple, toujours avec ma réduction de vieux débris.

Mais, je remarque que la SNCF, si prévoyante, m'informe qu'à Bordeaux la correspondance risque de n'être pas assurée pour cause de travaux, en fait elle détourne l'attention en nous préconisant de prendre un train plus avant afin de pouvoir avoir le temps de changer de train sur le même quai dans la même gare, soit plusieurs heures si je déduit bien l'utilité de cet avertissement. 

Ce qui signifie, en clair, que le retard chronique des trains va m'obliger à rester à Bordeaux dans l'attente d'un autre train le lendemain matin, ce n'est pas précisé puisqu'il semble que cette compagnie d'Etat soit plus facilement prévisionnelle pour des trajets à long terme en TGV que pour des trajets ponctuels locaux de courte durée mais à la desserte aléatoire.

Mais, dans sa grande prévoyance, la SNCF nous informe quand-même qu'on peut disposer d'un hôtel pas cher à Mont-de-Marsan, au cas où !

Sauf que si on est bloqué à bordeaux les prix des hôtels ne sont pas les mêmes et que de savoir que c'est moins cher à Mont-de-Marsan on en a rien à branler.    

Voyons voir autre chose.    

 

Les cars "Macron"

Sixième option.

Sans les cars Macron mais toujours dans le contexte SNCF.

18h20 de trajets pour 126,10 Euros, toutes correspondances assurées.

Ahhhh, enfin.

Mais je passe toujours par Paris.

Et puis je connais bien Paris puisque je suis parisien, mais pour ceux qui ne connaissent pas on leur laisse le temps de changer de gare, 3h12 exactement, on peut y aller à pieds sans se presser et en faisant une halte repas dans un des innombrables restaurants qui se trouvent entre la Gare de Paris-Austerlitz et la gare de Paris-Montparnasse.

Il y a aussi la possibilité de prendre un taxi, même si on tombe sur un de ceux qui vous font faire le tour de la ville vous aurez votre train.

D'ailleurs, une anecdote.

Il y a quelques années, je crois que c'était en 2012, je me suis rendu à Paris par le train. A la gare de Paris-Lyon j'ai pris un taxi pour me rendre rue Championnet dans le 18ème arrondissement, ne voulant pas galérer dans le métro à ces heures blindées de monde j'ai donc pris ce taxi et j'ai même eu la chance de ne l'attendre que dix minutes.

Un chauffeur très basané parlant assez mal le français mais tout de même compréhensible. Bref, je m'en fous, tout le monde à le droit de bosser et de gagner sa croute, le principal c'est qu'il me mène à bon port.

Avec mon chapeau de cow-boy usé, ma veste rapiécée, (J'en ai d'autres mais celle-là je l'aime bien, elle a des poches partout, et même si j'ai l'air d'un clochard je m'en branle grave de l'avis des autres), mon jeans tout aussi usé, mon air de péquenot des montagnes, pas rasé et la tête dans le cul de cette nuit inconfortable, il m'a tout de suite catalogué dans les bouseux à exploiter. 

Je lui ai donc indiqué ma destination en m'installant à l'arrière bien qu'il m'ait demandé de monter devant, le client c'est moi, je décide donc de la place que je veux occuper. Et roule nénesse.

Déjà, en sortant de la place de la gare il tourne à gauche boulevard Diderot au lieu de prendre la rue de Lyon jusqu'à Bastille, je me dis qu'il va prendre les quais jusqu'à Châtelet, c'est vrai que ça rallonge un peu mais ça roule un peu mieux. Arrivé au pont d'Austerlitz il prend à gauche et le traverse pour aller rive gauche, alors là je me suis dis "toi mon bonhomme tu veux me trimballer pour faire grimper la note". 

Je ferme ma gueule et le laisse rouler. Il garde les quais jusqu'au pont Alexandre III, là je me dis "il fait fort le gars". Puis il se tourne un peu vers moi et me demande si j'ai déjà vu la Tour-Eiffel, je lui dis que oui mais il y a longtemps, ce à quoi il me dit que ça a changé, si je veux il va me la montrer, on passe devant. Ah ! On passe devant pour aller dans le 18ème en venant de la gare de Lyon ????

Sauf l'avoir retournée et replantée par la pointe je me demande ce qui pourrait changer cet édifice métallique mais je ferme toujours ma gueule, je laisse courir. Au lieu de garder les quais il tourne aux Invalides, remonte l'esplanade et passe derrière vers l'école militaire, enfin il prend l'avenue de la Bourdonnais pour remonter le Champ de Mars.

Il ralentit presque sous la Tour Eiffel de façon à ce que je ne vois rien d'autre que les piliers, point de vue le plus défavorable pour ce monument, puis il me demande si je m'en rappelle. Ce à quoi je lui répond que oui, je m'en rappelle, puis je lui dis que je me rappelle même d'un itinéraire pour nous amener à bon port, je l'invite à passer le pont d'Iéna, passer par le Trocadéro, prendre l'avenue Kléber, puis l'Etoile, ensuite prendre en direction des Batignolles, puis la rue Caulaincourt et la continuité tout droit jusqu'à Championnet.  

Il ne dit plus rien, alors je lui raconte que je suis un paysan des montagnes né à Paris en 1950, que j'y ai vécu plus longtemps qu'il n'a d'âge et qu'arrivée à destination il risque de s'assoir sur sa course. Bon prince je lui ai quand-même donné 10 Euros, le compteurs en marquait 48. Il n'a pas dit un seul mot.

Retour à Briançon. 

        

Les cars "Macron"

Septième option.

Délaisser les cars Macron, délaisser la SNCF et prendre la voiture.

Durée nettement inférieure aux autres modes de transport, pas de problème de bagages encombrants et pas de correspondances potentiellement impossibles. 

Moins de kilomètres mais aussi cher de péages que de carburant et fatigues dues à la route, si j'ai parcouru des millions de kilomètres je fatigue plus vite qu'avant et doit donc compter sur cet inconvénient. 

Et puis en ces périodes chargées c'est aussi très fatiguant, même si j'ai la "clim" dans la voiture.

 

Les cars "Macron"

Huitième et dernière option.

Passer par la nationale.

12h00 de trajet, moins que par le train et le car, moins de kilomètres, pas bien cher de carburant au regard des transports, donc tentant.

Et puis pour s'arrêter pas besoin d'attendre une aire de repos pompe à fric, choix du restaurants, carburants moins cher, bref le retour aux années 1970 quand j'ai commencé à rouler.

En fin de compte je vais attendre le mois de septembre.

Les macroneries ne m'intéressent donc pas, les cars ne sont pas assurés puisque les dessertes rentables ne se font que sur les lignes à hautes fréquentations, donc presque toutes parallèles à celles de la SNCF.

En finalité, conserver sa voiture pour du porte à porte, à un cout très raisonnable, reste la meilleure option.

Bien que "gel-douche" veuille bientôt nous imposer les voitures électriques, en taxant le gasoil, ça rapporte gros, en supprimant les véhicules à moteur thermiques, en supprimant les centrales à charbon, fuel et nucléaires, il va réussir à alimenter quarante millions d'automobiles électriques avec ses seules éoliennes qui d'ailleurs génèrent plus de dommages environnementaux que toutes nos centrales nucléaires réunies. 

"Gel-Douche" c'est un ministre.

 

Les cars "Macron"

Celui-là.

On avait Flamby, un trou noir de passage, un peu neuneu et à la cervelle crémeuse.

On avait "Casevide", on avait aussi "Claude Néant".

On avait roublard, ou Roux, sinistre de l'intérieur, mais alors vraiment à l'intérieur, si étanche que rien n'en est sorti, par contre lui il est sorti trop vite, c'est celui qui déborde de diplômes. Et puis bien d'autres.

On a maintenant un macronogiste de dernière heure - mais il n'est pas le seul - qui se lave les cheveux même à l'intérieur.

Il faut dire qu'une cavité si disponible se doit de reluire, alors il reluit, même si ce n'est pas une lumière.

Quand on a du vent à la place de l'encéphale il est normal qu'on soit un fanatique des éoliennes, pas assez pour l'illuminer mais l'espoir fait vivre.

A très bientôt pour autre chose.

Bon dimanche à tous.

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Publié dans Délire social

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