Mais que reste t-il ?

Publié le par francois.ihuel15.over-blog.fr

 

154

C'est le nombre de prétendants au "trône de France" en 2017.

 

Mais que reste t-il ?

Le 155 ème.

Ou le premier. Mais je ne me présente pas, dommage, après tout je ne dois pas être plus mauvais qu'un autre !

Je réserve mon énergie à écrire et publier des livres, du moins je commence, partant du principe qu'il y a un début à tout et que l'âge importe peu, ce qui compte c'est la volonté de continuer.

Pas du Voltaire ni du Balzac (Quoi que, j'en ai lu mais n'y trouve rien de "surhumain" littéraire), ni les Pensées de Pascal, ouvrage "béton".

Voltaire c'est un précurseur de la mémoire historique réelle, la philosophie de l'époque était bien différente de la notre, mais comment définir un philosophe ?

Mes livres (Un publié un autre en publication et cinq à venir) ce sont juste quelques passages de ma vie privée, romancés dans des fantasmes ou auto-biographies riches en péripéties.

J'ai deux romans en route qui sont hors vie privée, écrire un livre, seul et sans aide, c'est du travail.

On aime ou on n'aime pas, peu importe.

Mes écrits sont assez primaires, j'écris vulgaire, je néglige la syntaxe au profit de la compréhension, si les lecteurs très sophistiqués les lisent sans problème je veux aussi rester accessible à ceux qui n'ont pas la chance d'avoir pu accéder à des études supérieures, là ou se complaisent les érudits pour n'être compris que d'eux-mêmes.

Mes pages ne sont que les reflets de la réalité et délaissent la prétention, apanage de ceux qui s'imaginent au-dessus des autres.

J'ai élaboré une constitution personnelle découlant des généralités de l'actuelle, reprendre les édits de 1791 et les adapter à l'évolution en tenant compte des bases de cette constitution.

L'actuelle ne sert plus le peuple, elle ne sert que les partis et les communautés.

       

Mais que reste t-il ?

Hollandouille Premier.

L'actuel occupant, à titre gratuit, d'un des plus beaux palais de Paris. Pour représenter la nullité il faut bien çà, la connerie prenant plus de place que l'intelligence, on mesure la grandeur de la connerie à l'étendue des taches (Ne pas confondre avec tâches) quelle génère.

C'est un maître en la matière, jamais la France n'aura autant sombré dans la déchéance et le ridicule avant son avènement.

C'est le deuxième destructeur de la fonction présidentielle, son prédécesseur, Sarkozizi-le-Bref, le pourfendeur des foules, l'endetteur hors normes (Mot impropre mais très usité), avait commencé le travail d'autodestruction française.

NS n'est pas d'une grande intelligence, son attitude et sa volonté à revenir malgré ses déboires le classe dans les QI 90, la moyenne nationale, ce qui permet de s'instruire sans pour autant profiter de cette instruction, un paradoxe. 

NS n'a que l'avantage d'être instruit et d'occuper un poste sociétaire lui laissant croire qu'il serait supérieur à beaucoup d'autres, ce qui transpire à chaque fois qu'il prend la parole et le relègue dans les nulités.

Hollandouille, donc, jette l'éponge, il laisse la place à 154 prétendants successeurs, du plus potentiellement valable au plus folklorique, mais depuis quelques années la gouvernance de la France n'est-elle pas devenue un folklore que les normes européennes entretiennent ! Contrairement aux traditions françaises qu'elles détruisent.

On ne le regrettera pas, s'il laisse dans l'histoire quelques lignes on les assimilera à l'histoire de Néron, un ignare illuminé nommé par succession. Laval, un traitre assassins collaborateur de l'ignoble. Louis XIII, un nigaud marionnette et sans réel pouvoir. Etc..

Ces rebuts de l'histoire dont la France se serait bien passée.

        

Mais que reste t-il ?

Impressionnant.

Mais déjà beaucoup de défections.

Se présenter c'est assez facile, rester c'est plus difficile, financer ça l'est encore d'avantage, obtenir des appuis c'est encore plus dur, assumer c'est le principal et c'est là que ça casse.

Etre ou devenir Président de la République ne relève pas d'une qualité surhumaine, il faut être présentable, en bonne santé, érudit, cultivé un minimum dans les domaines courants et si possible intelligent mais cette dernière condition n'est pas obligatoire, on s'en rend compte mandat après mandat depuis deux décennies.

J'allais écrire qu'il fallait être irréprochable, vu le nombre devenant incalculable de truants qui se présentent, et des quelques qui sont élus, il est même conseillé d'avoir les bases, naturelles ou apprises, sur la pratique de la dissimulation, du mensonge, du vol, du racket, de la traitrise, du faux, de l'abus de confiance, etc.

Bref il devient indispensable d'avoir plus de défauts que de qualités pour prétendre accéder à la fonction suprême. Pour peu qu'elle le soit réellement.

Sachant que le Président de la République, de quels que pays d'Europe que ce soit, ne peut même plus péter sans avoir à demander l'autorisation de Bruxelles et surtout rémunérer cette autorisation avec l'argent public, on réalise que la souveraineté de la France est bel et bien anéantie.

Un Président représente le pays, il donne des directives, ordonne une ligne de conduite mais il est indispensable qu'il s'appuie sur ses collaborateurs.

Ces derniers sont les ministres du gouvernement qu'il nomme, ils ne sont pas élus par le peuple même si la presque totalité sont des élus locaux (Députés, sénateurs), c'est aussi pourquoi la donne est fausse, j'ai prévu, dans un des articles de ma constitution, d'intégrer la composition du futur gouvernement dans le choix de l'élection présidentielle, comme ont élit un Maire de villes (Villages) de plus de 1000 habitants.

Il serait plus réaliste que le peuple sache qui va gouverner le pays, le Président élu a ce privilège "monarchique" de mettre en place qui il veut, on voit ce que ça donne, on a des ministres totalement ignares dans leur poste, d'autres qui s'attribuent des diplômes fantômes, d'autres qui sont issus de communautés étrangères et qui tendent à imposer au pays un fonctionnement incompatible à la pensée générale de la culture du pays, d'autres qui ne sont que des copains à caser en récompense d'un petit coup de main ou d'une enveloppe généreuse de financement pas toujours légal.

Je reste persuadé que le futur Président devrait composer son gouvernement potentiel avant les élections, avec obligation de le choisir dans une palette de gens instruits et compétents, en prenant aussi en compte les potentiels remaniements ministériels du mandat, la donne serait nettement différente.

Autre "fadaises" inutiles, le nombre de signatures d'élus, si on considère qu'il en faut 500 par prétendant on arrive actuellement au chiffre aberrant de 77 000.

Sauf à considérer qu'un élu puisse soutenir plusieurs candidats différents il manque cruellement d'élus pourtant en surnombre, là on atteint des sommets même si la France est le pays comptant le plus de mandats divers. (Dont beaucoup cumulés d'ailleurs).

Là aussi il faut réformer la constitution.

 

Mais que reste t-il ?

Un serment, un code d'honneur.

C'est devenu une parade médiatique, la prestation de serment n'est plus qu'une coquille vide, l'honneur n'existe plus.

De Gaulle s'est fait un point d'honneur à respecter ses engagements, avec à peine moins de 50% d'opinion favorable il s'est retiré dans l'honneur et la dignité.

Les derniers présidents en exercice se sont accrochés à la fonction malgré une opinion largement défavorable, de la même façon un mauvais travail doit être sanctionné, l'article 68 de la constitution est assez élastique dans ce domaine, il est de toutes les façons quasi-inapplicable puisque ceux qui sont censés destituer un président sont ceux que ce dernier favorise, on ne détruit pas ce qui nous fait vivre et/ou nous enrichi.

Il devient donc nécessaire de pouvoir destituer un chef d'Etat par la volonté du peuple et non par celle de ceux qui en tirent profit. Pour ce faire un référendum de mi-mandat devrait être inclus dans l'article 68 de la constitution.

De la même façon un nouvel article prévoyant la non-intégration d'électeurs de complaisance serait aussi à prévoir, les facilités que se sont accordés les derniers Présidents en exercice, pour favoriser un électorat préférentiel, reflète la volonté de tromper le peuple en y intégrant des éléments étrangers, régularisés trop rapidement pour être crédibles.

Ne devraient être régularisés que ceux qui sont productifs depuis plus de dix ans sans défaillances, qui participent à l'économie nationale et qui peuvent justifier d'une intégration complète, en excluant une appartenance ethnique ou religieuse, favoriser une communauté ou une religion revient à trahir le serment initial. Les origines n'étant pas un obstacle tous les citoyens dignes de la France sont respectables.

Toutes les semaines on a l'exemple négatif d'élus trahissant leurs engagements et défiant le code populaire en s'en exonérant. Un paradoxe sociétaire bien français, élire des gens qui font le contraire de ce dont pourquoi ils sont élus.

La constitution devrait prévoir d'appeler aux urnes les populations non pas le dimanche mais en semaine, il devrait être mis en place la possibilité de voter sur le temps de travail rémunéré, d'une part le vote serait plus réaliste et équitable, d'autre part l'abstention tomberait à presque rien.

Bien entendu il faut prendre en compte les spécificités professionnelles suivant que les électeurs sont en déplacement ou indisponibles, sur trois jours de scrutin on aurait une réelle vision des électeurs, le vote informatique devrait être élaboré, tout fonctionne par informatique sauf les élections, un paradoxe voulu, tricher sur le papier c'est plus facile.

Déjà, rien qu'avec ces deux paramètres, Constitution d'un gouvernement avant élection et vote informatique sur le temps de travail, les élus seraient bien plus épluchés et bien plus obligés à répondre aux devoirs qui leur incombent.

        

Mais que reste t-il ?

Les faux élus.

Cahuzac, tristement connu pour ses pratiques douteuses et sa trahison d'Etat, n'est élu que dans sa circonscription, à la minorité des suffrages comme pratiquement la totalité des résultats électoraux, d'où la nécessité de mettre en place le système précédemment décrit.

De même le référendum à la proportionnelle serait plus équitable et reflèterait bien mieux la réalité, seulement c'est un système qui laminera le PS comme le LR dès le premier tour, ces gens ne peuvent que fabriquer des alliances contre nature pour arriver. 

Quand on en arrive à avoir des ministres en poste qui font l'exact contraire de ce dont pourquoi ils occupent ce poste, c'est tout sauf de la démocratie et de la gestion.

C'est de la haute trahison, mais comme le souligne un humoriste, ces gens sont toujours à certains postes et ils paradent dans les magazines, je doute qu'un simple "péquin" ayant un solde négatif aux impôts puisse se targuer des mêmes complaisances. 

De la même façon les sociétés de crédit, qui ont des avoirs à l'étranger pour échapper au fisc, s'acharnent sur leurs débiteurs en difficulté pour en mettre encore plus à l'étranger.

Cahuzac a été mis en place par Hollande en récompense d'un service rendu, il est socialiste comme moi je suis Cardinal.

Ce système de mise en place complaisante doit disparaitre, la constitution doit être refondue en ce sens.

  

Mais que reste t-il ?
Mais que reste t-il ?

De la même façon.

Un chef de gouvernement doit, en principe, travailler pour le peuple français, il doit être maitre de lui, savoir garder la tête froide et maitriser ses pulsions. La critique est plus efficace que les flatteries et au moins elle est sincère, la critique est souvent le seul remède à l'erreur. 

Il ne doit pas être au service de communautés, qu'elle soient religieuses ou étrangères, représenter la France en paradant ostentatoirement pour une préférence ciblée c'est aussi de la trahison, le pouvoir ne doit pas permettre d'en user et d'en abuser.

La maitrise d'un individu est le reflet de sa capacité à gouverner et à accepter l'adversité, d'ailleurs fortifiante quand on en tient compte, un homme d'Etat qui perd son sang froid, qui montre publiquement un visage de haine dès qu'il est confronté à un adversaire, ses gestes de nervosité qui trahissent un profond mépris pour d'autres, ce n'est pas digne d'un haut représentant d'Etat.

Pourtant ils sont là et ils méprisent sans vergogne la presque totalité du peuple alors qu'ils sont censés travailler pour la totalité de ce même peuple en s'exonérant des préférences partisanes.

Elle est très loin la République exemplaire.

    

Mais que reste t-il ?
Mais que reste t-il ?

Ou s'y croire.

Si la France a besoin de sang neuf mieux vaut qu'il ne soit pas contaminé, malheureusement dès qu'on est propulsé trop haut et trop vite la contamination est virale, contagieuse, elle est même dangereuse.

Les soupçons qui planent sur la personne de Macron sont l'oeuvre de ses adversaires, du PS comme du LR, maintenant il n'y a pas de fumée sans feu mais comme le programme de presque tous les prétendants ne gravite qu'autour de la destruction des autres, on assiste à un triste spectacle très fortement médiatisé qui ridiculise un peu plus le pays, notre image en prend un sacré coup.

      

Mais que reste t-il ?

Une fonction d'Etat.

C'est d'abord l'assurance d'un enrichissement personnel sur le dos des contribuables qui ne voient plus beaucoup le retour des impôts prohibitifs qu'ils payent.

L'impôt c'est une somme définie qui est versée à un gestionnaire désigné pour que ce dernier en fasse bon usage dans l'intérêt de celui qui lui verse ces sommes, infrastructures, instruction, protections, sécurité, santé, etc..

Par définition, ce gestionnaire peut prendre une partie bien définie de cette somme en compensation de son travail à condition qu'il le fasse correctement, sinon on le remplace par un autre plus compétent, à condition de trouver un gestionnaire compétent bien entendu.

Le fonctionnement de l'Etat c'est d'abord cette base, on est loin du compte.

La fonction d'Etat, aujourd'hui, c'est d'abord prendre une place pour profiter d'un salaire confortable, d'ailleurs on ne dit pas "salaire", on dit indemnités compensatoires, non imposables, parce que ceux qui s'enrichissent sont aussi ceux qui ne veulent pas payer d'impôts en conséquence de leur richesse, c'est un abus de confiance caractérisé mais officialisé par ceux qui, justement, les votent pour se garantir des rémunérations confortables sous couvert de décrets.

C'est du vol caractérisé qui devrait justifier une destitution du poste occupé et la suppression totale des indemnités de retraite de la fonction ainsi lésée.

C'est d'autant plus répréhensible que ceux qui sont élus mettent en place des collaborateurs, souvent parasites, qui profitent aussi de ces indemnités non prévues en ce sens. 

Le problème c'est qu'il n'y a plus de responsable ayant de l'honneur et de la volonté, celle de taper du poing sur la table en imposant une discipline qui servirait les intérêts du peuple, ce dernier en est réduit à financer l'infinançable tout en n'ayant qu'un seul droit, celui de fermer sa gueule sous peine d'être puni financièrement, une méthode de truant qui relève plus du grand banditisme que de la gestion gouvernementale. 

      

Mais que reste t-il ?
Mais que reste t-il ?

Même les plus "crédibles".

Bien entendu il ne s'agit pour le moment que de soupçons, tout inculpé bénéficie de la présomption d'innocence.

Mais quand il y a accumulation de faits supposés on peut considérer qu'il n'y a pas de fumée sans feu, surtout quand les protagonistes ont des déclarations contradictoires.

Je m'interroge juste sur la capacité qu'ont certains à obtenir de la crédibilité sans arrière pensée, la aussi la constitution doit être réformée, des gens qui ont été condamnés ne devrait plus prétendre à quel que poste officiel que ce soit.

Un débiteur bancaire se voit mis au pilori dès qu'il est dans l'incapacité de faire face à ses obligations financières, c'est identique pour les débiteurs des sociétés de crédit, les charges qui pèsent de plus en plus sur les ménages créent ce phénomène d'interruption de remboursement, ce qui amène ces ménages à la déchéance financière, aux diverses interdictions et aux frais pharaoniques qui les plombent encore plus.

Si cette méthode discriminatoire était appliquée à ceux qui se gobergent sur le dos du peuple nous aurions un gouvernement exemplaire qui n'existe pas.

Bien entendu, un petit reste un petit et un voleur un voleur.

Toutefois, pas un seul élu d'Etat n'a encore réalisé que pour satisfaire le peuple il faut lui laisser le loisir de fonctionner sans tirer la langue, ce n'est pas en assommant les populations d'impôts, de taxes diverses et très lourdes, de PV de plus en plus anarchiques et souvent injustifiés, qu'on va permettre à ce même peuple de fonctionner. 

Sans pouvoir d'achat le commerce périclite, ce qui entraine un ralentissement industriel donc une augmentation du chômage.

Maintenant, comme il semble qu'il faille passer par les écoles de la République (Ou avoir de faux diplômes) pour gérer la France je me dis qu'avec les nullités qu'on a en ce moment on n'est pas sorti de la merde. 

Soit on a des incapables, soit on a des gens qui seraient compétents mais qui sont mouillés dans des combines d'enrichissement familial et personnel.

Ces mêmes gens qui demandent au peuple d'être exemplaire.

 

Mais que reste t-il ?

A 6 000 km d'ici.

Les conflits internes aux USA sont au diapason des nôtres.

Donald Trump je ne le connais pas mais son programme est cohérent et enfin dans l'intérêt de son pays, c'est aussi pour çà qu'il a été élu.

Le déchainement à son encontre est plus caractéristique de ceux qui risquent de perdre leurs confortables avantages "princiers" sur le dos des contribuables américains que sur une gestion draconienne qu'il était urgent de mettre en place.

Chez nous aussi nos nantis de la politique s'acharnent sur le FN de peur de perdre leurs avantages princiers, toujours sur le dos du contribuable.

Le patronat mondial a besoin d'avoir de la main-d'oeuvre pas chère, la source de main-d'oeuvre presque inépuisable, à prix sacrifiés, que représente l'Afrique est le nouvel eldorado de l'emploi, l'esclavage a changé de nom, il s'appelle immigration.

Ce n'est pas pour rien que les africains se déplacent vers les pays "riches", ils ne fuient pas la guerre comme les médias veulent nous le faire avaler, il sont instrumentalisés par ceux qui voient en eux l'augmentation de leurs richesses, avec plus d'un milliard de travailleurs potentiels à travers le monde, à prix sacrifiés, les grands patrons ne vont pas laisser passer une aubaine pareille.

Le reste, la guerre, les conflits, la famine, c'est le travail des médias rémunérés pour désinformer les populations occidentales, pour le fric tout est permis. 

Moi je l'aime bien Trump, et j'aime bien aussi Poutine.

 

Mais que reste t-il ?

Cependant....

....il se trouve encore des individus louches persuadés de détenir les clefs de la France et les solutions aux problèmes américains.

Ces derniers, ayant du mal à les gérer eux-même, doivent se demander d'où sort cet énergumène incapable de faire le ménage chez lui mais qui leur donne des leçons.

L'autosuffisance dans toute sa splendeur, même pas honte de passer une fois de plus pour un con international.

         

Mais que reste t-il ?

C'est aussi cela le résultat.

Plus de repère, plus de discipline, plus de hiérarchie, plus de règlement, plus d'effet police. Tout devient permis.

Pour un regard de travers, pour une cigarette refusée, pour une bousculade dans le métro on tue, on tue comme on se sert d'un Kleenex, la banalisation à son paroxysme, la démission de la Justice dépourvue de moyen va à l'encontre du travail des forces de l'ordre.

Depuis trois décennies la dégradation va crescendo sans qu'aucun de ceux qui sont passés, et de ceux qui prétendent passer, ni change quoi que ce soit.

L'unité nationale est morte de complaisances et de laxisme, c'est chacun pour sa peau et l'égoïsme sociétaire qui empêche la cohésion nationale.

Si, en 2017, on remet encore de ces incapables seulement avides de pouvoir la France est morte.

Mais qui va avoir les clefs de la France ?

On saura ça au soir du deuxième tour des élections présidentielles, renaitre ou mourir définitivement.

Que reste-t-il ?

Le Front National qu'on n'a jamais essayé et qui pourtant fait peur, surtout à ceux qui risquent de perdre leurs avantages et leurs finances faciles volées aux contribuables.

Une fois un gars m'a dit qu'il y avait une voiture qu'il n'achèterait jamais, lui ayant demandé pourquoi il me dit "J'ai été informé que c'était de la merde".

Je lui ai demandé s'il l'avait essayé, il m'a répondu "non, j'en ai juste entendu parler, je ne l'ai même jamais vue" !

Moralité, pour être sûr de soi et avoir un bon jugement il faut essayer, pour comparer.

Dans quelques jours autre chose.

Bon dimanche à tous.

 

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Publié dans Politique française

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