Le positif briançonnais

Publié le par François Ihuel

 

Il faut bien le reconnaitre aussi

Sans zapper le négatif du début de page

 

 

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La référence.

La vieille ville c'est le point principal de la notoriété de Briançon, la Collégiale Saint Nicolas en est le phare, aussi se promener dans les rues anciennes c'est une découverte pour ceux qui ne connaissent pas.

La pollution au-dessus de la ville est visible, à ces époques de froid les chauffages ajoutés à le circulation automobile c'est une chape  polluante qui reste à stagner en vallée.

Pourtant la fréquentation en vieille ville est très clairsemée, à ces heures à cette date il devrait y avoir plus de monde.

J'ai eu le retour d'une touriste venue découvrir, déçue la précédente fois, du fait que la collégiale était fermée, son retour d'information n'est pas plus encourageant, déplorant les boutiques encore fermées à près de 10h30.

Pourquoi le rappeler !

 

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Une cloison peut-être ?

Je me demande ce qui justifie de garder ce lamentable spectacle à découvrir, les gens arrivant par la porte de Pignerol se posent des questions.

On dirait l'accès à une décharge interdite au public.

D'ailleurs je me demande combien de temps encore va-t-on laisser se dégrader cet endroit, ça fait des années que c'est comme ça, ce qui fait que de souvenirs les touristes emmènent ces navrances qui perdurent d'année en année, tout comme l'état lamentable de l'avenue Vauban.

Comme tout, dès qu'un défaut apparait on devrait immédiatement intervenir, si on laisse le temps passer ça se dégrade, ce qui fait qu'une petite somme devient une grosse facture, ou plutôt un gros devis sachant que la finalité est souvent du double.

Quel contraste avec le bas de la ville, au bétonnage massif qui grève le budget municipal même si on n'a pas de réels chiffres (ma page du 11 décembre) qui restent interdits aux administrés qui en sont pourtant les financiers.

Certes, les méandres compliqués des divers "responsables" entravent sérieusement les interventions, mais tout de même, qu'en vingt ans cette vieille ville se soit dégradée à ce point ça interroge.

 

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Police locale.

Là c'est récurrent, savoir même si l'interprétation des panneaux routiers n'est pas inversée.

La plupart du temps des locaux d'ailleurs, pas la peine de critiquer les touristes alors que les autochtones se comportent, pour beaucoup, comme des salopards.

J'avais déjà attiré l'attention sur ce phénomène au poste de police municipale qui est juste en face, la réponse, que je tairai tellement elle est incongrue, me fait réaliser que la préférence en matière d'ordre local reste particularisée.

Parce que lorsque je vais me présenter aux élections de 2026 je ne manquerai pas de soulever ce problème de complaisance, si avoir des voix électorales c'est fermer les yeux sur la réglementation c'est qu'on détecte les préférences municipales qui vont à l'encontre d'une réelle gestion municipale.

 

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Pollution "invisible".

La solution est simple (à condition d'aussi instruire) créer un réceptacle pour les mégots des futures victimes de cancer tabagique.

En ville il a fleuri des panneaux de sanctions inciviques, laisser sa merde tabagique un peu partout ça fait aussi partie de l'incivisme, sauf que je n'ai jamais eu vent de sanctions, il est vrai là aussi objets de recettes fiscales indirectes ; une potentielle caisse noire peut-être ?

Qu'il y ait ce genre de désordre c'est emblématique, par contre que ça ne soit pas balayé c'est aussi emblématique, voire localement institutionnel ; tristes constatations.

Passons au positif.

 

Le positif briançonnais

Nouvelle place de l'Europe.

Il est réel que le changement est d'importance, on se demandait si ça allait arriver un jour.

Je ne doute pas un seul instant que cette réfection, prévue depuis des décennies, fasse la fierté du maire actuel qui s'en attribuera la responsabilité, alors que ce n'est que du fonctionnement très sérieusement mis à mal par la baisse incessante du budget de fonctionnement, au dépend des services techniques à qui on demande l'impossible avec des moyens de plus en plus limités.

C'est propre mais moins fonctionnel, on perd presque les deux tiers des places de parking, ce qui étonne quand on sait combien est attachée la municipalité aux recettes de stationnement.

On cherche à comprendre pourquoi on tente d'attirer des potentiels habitants tout en réduisant ce qui leur permettrait de pouvoir accéder aux divers commerces locaux.

Là encore une interrogation.

 

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Un aménagement intelligent.

Savoir tout de même que depuis des années je demandais la suppression de ce "bec" de verdure qui rendait difficile l'accès aux bus à l'arrêt de la place de l'Europe.

Sauf que j'aurais fait réaliser un aménagement permettant de placer au moins deux bus et j'aurais fait installer l'abribus (qui n'abrite pas grand-chose) plus en avant, les clients ayant cette tendance à considérer l'arrêt du véhicule à leur hauteur, tout comme certains chauffeurs ont la fâcheuses tendance à ne pas aller au bout de l'aire de stationnement prévue, s'arrêtant à la hauteur de l'abribus.

 

J'étais sceptique.

Alors je me suis offert une dose d'antiseptique psychologique pour admettre qu'en effet les feux tricolores à cet endroit sont adaptés et efficaces.

Toutefois leur cadence est un peu courte à certaines heures dans certaines circonstances, notamment quand il y a beaucoup de circulation, le manque de recul sur la distance fait que le carrefour de Grand-Boucle se trouve rapidement neutralisé à cause, d'une part de l'incivisme routier qui bloque la circulation, d'autre part la file d'attente descendante pour tourner à gauche. 

Ça reste de toute façon une solution efficace surtout pour les véhicules venant de l'avenue de Provence qui ont presque tous la fâcheuse tendance à ne pas respecter la limitation de vitesse à 30 km/h.

Les zones "30" c'est bien mais quand c'est adapté, si je suis élu en 2026 je ferais des zones "40", parce que "30" c'est une vitesse qui agace bon nombre de conducteurs et a un impact sur la mécanique, donc sur la pollution.

 

Feux rigolos.

Rigolos à deux titres, le premier la ridicule durée de positionnement au "vert" (17 secondes) de celui venant de Puy-Saint-Pierre, le second l'incivilité presque permanente des automobilistes pour qui la réglementation est une hypothèse.

Comme vous pouvez le constater sur cet extrait vidéo le temps est précieux, alors franchir un feu rouge pour gagner quelques dixièmes de seconde c'est capital dans une vie, d'un côté comme de l'autre d'ailleurs puisqu'une fois au vert il y a encore des automobiles (parfois des camions) qui passent le carrefour.

Vous comprendrez pourquoi j'ai une caméra embarquée dans les véhicules que je conduis, parce que pour les assurances c'est moitié moitié alors que celui qui respecte est sanctionné à cause de l'incivilité d'autres.

Donc, comme déjà signalé sans retour, régler la temporisation entre les feux, permettant en ce sens de dégager le carrefour avant le passage au vert, serait sécuritaire, parce que là ce sont les autorités qui seraient responsables, à condition de pouvoir le prouver, dont acte. 

C'est tout pour aujourd'hui.

Bonne journée à tous.

 

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Publié dans Briançon et rigolades

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