Briançon, quelques photos

Publié le par François Ihuel

 

Pour changer un peu

Cliquez sur les photos pour les agrandir

 

Le Montbrison
Le Montbrison

Le Montbrison

Église Sainte Catherine sous la Croix de Toulouse

Église Sainte Catherine sous la Croix de Toulouse

Place Galice Bey

Place Galice Bey

Le Prorel

Le Prorel

Rue Centrale

Rue Centrale

Puy Saint Pierre

Puy Saint Pierre

Les ruines incendiées de l'usine de la Shappe

Les ruines incendiées de l'usine de la Shappe

Aqueduc de l'usine de la Shappe

Aqueduc de l'usine de la Shappe

Plan d'eau du parc de la Shappe

Plan d'eau du parc de la Shappe

Ancienne meule décorative, parc de la Shappe

Ancienne meule décorative, parc de la Shappe

La Durance longe le parc de la Shappe
La Durance longe le parc de la Shappe
La Durance longe le parc de la Shappe

La Durance longe le parc de la Shappe

Rues Alphand et Centrale, sous le Prorel

Rues Alphand et Centrale, sous le Prorel

Place Centrale

Place Centrale

Carrefour de l'Europe, sous le Prorel

Carrefour de l'Europe, sous le Prorel

Rue de la République, appelée aussi Chaussée par les briançonnais

Rue de la République, appelée aussi Chaussée par les briançonnais

Le Mélézin et le rond-point Leclerc

Le Mélézin et le rond-point Leclerc

La Durance et l'église Sainte Catherine, sous la Croix de Toulouse

La Durance et l'église Sainte Catherine, sous la Croix de Toulouse

Le Grand Aréa
Le Grand Aréa

Le Grand Aréa

Puy Saint André, sous le Montbrison

Puy Saint André, sous le Montbrison

Puy Saint Pierre

Puy Saint Pierre

Fin de ligne dans la verdure, sous le Mélézin, gare de Briançon

Fin de ligne dans la verdure, sous le Mélézin, gare de Briançon

La Durance vue du pont Yves Dusserre

La Durance vue du pont Yves Dusserre

Hôtel Vauban, avenue du Gal De Gaulle

Hôtel Vauban, avenue du Gal De Gaulle

La Durance, le long de la rue de la Soie

La Durance, le long de la rue de la Soie

Portes de Pignerol et Dauphine, la Collégiale Saint Nicolas

Portes de Pignerol et Dauphine, la Collégiale Saint Nicolas

Fortifications Vauban sous le Prorel

Fortifications Vauban sous le Prorel

Avenue Vauban, en vieille ville

Avenue Vauban, en vieille ville

Briançon Nord, vallée de la Guisane

Briançon Nord, vallée de la Guisane

Les Trois Évêchés, après le col du Lautaret (À environ 35 km)

Les Trois Évêchés, après le col du Lautaret (À environ 35 km)

Briançon Sud, haute vallée de la Durance

Briançon Sud, haute vallée de la Durance

Clocher Ouest de la Collégiale

Clocher Ouest de la Collégiale

Fortifications Vauban en vieille ville, sous le Mélézin

Fortifications Vauban en vieille ville, sous le Mélézin

Maison des Templiers (Office de tourisme en vieille ville)

Maison des Templiers (Office de tourisme en vieille ville)

Office encore fermé.

J'en suis surpris d'autant que pas mal de touristes sont déjà présents, en ces périodes visiter la ville avant le coup de chaud de 10h00 c'est ce que prisent beaucoup de nos visiteurs d'été.

Sauf que !  Presque tout est fermé, ça n'ouvre que vers 9h30 / 10h00, aussi ces gens s'en retourne, ayant trouvé porte close il n'auront pas les renseignements qu'ils attendent.

Je me demande comment est considéré le touriste à Briançon, peut-être juste un porte-monnaies à ponctionner.

 

La Collégiale restaurée, place du Temple en vieille ville

La Collégiale restaurée, place du Temple en vieille ville

Grande Rue ou grande Gargouille en vieille ville

Grande Rue ou grande Gargouille en vieille ville

Auberge de la Paix, rue Porte Méane en vieille ville (Je recommande le restaurant et l'hôtel)

Auberge de la Paix, rue Porte Méane en vieille ville (Je recommande le restaurant et l'hôtel)

Rue du Temple en vieille ville

Rue du Temple en vieille ville

Demi-Lune de la porte de Pignerol, et son corps de garde, sous la Croix de Toulouse

Demi-Lune de la porte de Pignerol, et son corps de garde, sous la Croix de Toulouse

Le Prorel vu des fortifications Vauban

Le Prorel vu des fortifications Vauban

Porte de Pignerol, entrée Est de la Vieille ville, et sa herse

Porte de Pignerol, entrée Est de la Vieille ville, et sa herse

La Collégiale sous le fort des Trois Têtes, vue depuis la route de Grenoble

La Collégiale sous le fort des Trois Têtes, vue depuis la route de Grenoble

Les forts, du Randouillet au-dessus de celui des Trois Têtes

Les forts, du Randouillet au-dessus de celui des Trois Têtes

Entrée principale (lugubre) de l'hôpital

Entrée principale (lugubre) de l'hôpital

La Collégiale Saint Nicolas, dans l'alignement des portes de Pignerol et Dauphine

La Collégiale Saint Nicolas, dans l'alignement des portes de Pignerol et Dauphine

Le Vieux Colombier, sous la Croix de Toulouse

Le Vieux Colombier, sous la Croix de Toulouse

Le Mélézin vu du chemin de ronde, en vieille ville

Le Mélézin vu du chemin de ronde, en vieille ville

Les clochers de la Collégiale, sous le Prorel

Les clochers de la Collégiale, sous le Prorel

Tour tocsin ?

Tour tocsin ?

Interrogation.

Bien que je connaisse Briançon de façon approfondie il y a des lieux dont j'ignore encore la signification.

Aussi cette "tour" dans laquelle est fixée une cloche pourrait, du moins je le suppose, avoir servi de tocsin pour alerter les habitants de la ville de l'époque, donc la vieille ville d'aujourd'hui puisque l'extension de briançon hors des remparts est récente.

Soit pour alerter sur une éventuelle attaque, soit pour prévenir d'un incendie, fréquents à ces époques où les sous-toitures abritaient le fourrage, mais aussi diverses denrées en prévision de l'hiver ou d'un blocus comme en a connu la ville.

Ce qui me conforte à penser à cette option c'est sa position élevée et le fait que du chemin de ronde la vue est presque globale, on voit de loin ce qui arrive, que ce soit de l'Italie à l'Est, du Nord par la vallée de la Guisane ou du Sud par la Durance, puisqu'à ces époques les constructions qui "enlaidissent" le panorama n'existaient pas.

Maintenant ce n'est qu'une hypothèse que j'avance, je n'en sais absolument rien et si un briançonnais érudit peut éclairer ma lanterne je suis preneur.

 

Les clochers de la Collégiale.
Les clochers de la Collégiale.

Les clochers de la Collégiale.

Vue vers le Nord.

On constate que de cet endroit la vue est bien dégagée vers le Lautaret, en faisant abstraction de toutes les constructions modernes ça conforte mon point de vue sur le sujet précédent.

 

Briançon Sud, haute vallée de la Durance.

Briançon Sud, haute vallée de la Durance.

Visibilité sur des kilomètres.

Savoir qu'à ces époques la pollution moderne était inexistante, puisque hélas même ici c'est pollué, du moins les rues de la ville et les cheminées l'hiver, l'absence de construction laissait libre la vision des accès à la ville par Saint Blaise et par Villard Saint Pancrace, ce dernier appelé aujourd'hui "route des espagnols" ; toute approche était donc repérable depuis les fortifications.

Là aussi, si j'écris une connerie merci de me rectifier.

 

Vue plongeante sur la vieille ville

Vue plongeante sur la vieille ville

Le fort des Trois Têtes, vu depuis le chemin de ronde

Le fort des Trois Têtes, vu depuis le chemin de ronde

Le Montbrison

Le Montbrison

Les villages.

Sur ce cliché on voit Puy Saint Andrée, le point blanc que fait son clocher d'église sous le Montbrison, à sa droite, même altitude (1500 à 1600 mètres), Puy Richard, ensuite encore à droite Puy Saint Pierre, le hameau Labourrelle et Le Pinet en-dessous.

 

Villard Saint Pancrace, au sud de la ville de Briançon

Villard Saint Pancrace, au sud de la ville de Briançon

Hameau de Pierrefeu, village de Puy Saint André

Hameau de Pierrefeu, village de Puy Saint André

La Collégiale, au milieu de la vieille ville

La Collégiale, au milieu de la vieille ville

Ruine de la Shappe
Ruine de la Shappe
Ruine de la Shappe

Ruine de la Shappe

Ancienne usine de traitement de la soie.

Classée monument historique, je suppose déclassée depuis l'incendie qui l'a ravagé en octobre 2014, il y a dix ans déjà.

Incendie supposément accidentel. Je ne partage pas cette conclusion et nombreux à Briançon sont de mon avis, les projets divers, jamais aboutis, ont créé une polémique et quelques batailles juridiques, cet incendie à éteint (un paradoxe) toutes ces procédures, ce qui doit arranger quelques intéressés mais ça n'engage que moi.

Cette ruine n'attend plus que des démolisseurs afin que le dernier acheteur puisse, là encore, construire un complexe hôtelier. D'ailleurs Briançon est devenue un dortoir à touristes puisque ce qui en faisait le charme est en cours de destructions programmées, les maires successifs, en CDD, ne s'embarrassent pas tous du patrimoine, un mandat c'est court, autant en tirer profit avant de passer la dette au suivant.

Là encore ça n'engage que moi, mais mon avis est largement partagé.

Vu l'état des murs restants, fragilisés par cet incendie d'une rare violence alors qu'il n'y avait pas grand-chose à bruler, ne sont certainement pas récupérables pour aménager l'intérieur, les poutrelles métalliques, en s'affaissant, ont créé des désordres qui rendent ces murs inutilisables en l'état.

 

Gare de Briançon

Gare de Briançon

Encore préservée.

Bien que la SNCF soit réticente à maintenir ces lignes secondaires, qui coutent plus qu'elles ne rapportent, puisque ce n'est plus un service public mais un "commerce", il y a encore quelques trains, le transport par autocars a absorbé une partie de la clientèle, mais comme Briançon est une ville enclavée, que sur 100 km c'est une vraie galère par la route, le chemin de fer reste encore le moyen le plus sûr et le lus rapide pour descendre vers le Sud.

Pour combien de temps encore ?

J'avais préconisé la rentabiliser par du transport de fret nocturne afin de réduire le nombre de camions entre Gap et Briançon. En pure perte, un sous-citoyen ça ne s'écoute pas, d'ailleurs ça ne s'entend même pas, sauf s'il lèche.

Bien que certains élus locaux ne fassent pas partie de mes préférences je les remercie de s'être "battu" pour préserver la relation Paris - Briançon par le train de nuit. (Mrs Fromm, Giraud, Murgia, et d'autres)

Tout comme je remercie M Macron d'avoir remis en service les trains de nuit sur d'autres destinations, on peut ne pas abonder pour une politique dite sans pour autant faire l'impasse sur ce qui est positif.

Derrière, le mur d'escalade à 1 500 000 euros qui ne sert que quinze jours par an.

 

Saint Chaffrey, vallée de la Guisane, vue "à travers" la vielle ville
Saint Chaffrey, vallée de la Guisane, vue "à travers" la vielle ville

Saint Chaffrey, vallée de la Guisane, vue "à travers" la vielle ville

Depuis le chemin de ronde.

Là encore on peut constater l'importance de ce point de vue, le visuel sur cette vallée, vers le Nord, est très dégagé, savoir, là encore, qu'à l'époque il n'y avait aucune construction, donc le moindre mouvement était tout de suite repéré.

 

Poterne du chemin de ronde Nord

Poterne du chemin de ronde Nord

Le mont Prorel sous l'orage qui approche

Le mont Prorel sous l'orage qui approche

Route d'Italie vue depuis les remparts

Route d'Italie vue depuis les remparts

Le fort des Salettes

Le fort des Salettes

Les forts du briançonnais.

Depuis celui des Trois Têtes la vue est plongeante sur l'ensemble des trois vallées, d'autres forts renforcent ce dispositif de défense, pour deux raisons, la première protéger la ville, la seconde prévenir des invasions par l'Italie.

Le fort des Salettes protège cette route, renforcé par le fort du Janus et de l'Infernet (plus récents ces deux derniers).

Vers le Sud il y a le fort de la Croix de Bretagne, au nord le passage par le col du Granon est protégé et défendu par le fort de l'Olive perché à plus de 2400 mètres.

Ces forts étaient toujours occupés par les militaires quelle que soit la saison, et les hivers de l'époque étaient bien plus rudes que les actuels, d'ou la présence à Briançon des deux casernes du régiment du 159 ème RI et des chasseurs alpins.

Ces casernes, aujourd'hui cédées (ou vendues on n'a jamais trop su) à la ville, se transforment, l'une pour la future mairie (Ce qui était dans mon programme de 2009 mais à Collaud) et les deux autres en dortoirs de luxe aménagés par des investisseurs qui ont de l'argent à perdre, parce que je crains fort que les milliers de lits chaud prévus ne refroidissent plus vite que la dette pharaonique de la ville.

 

Le temps des chevaux à pattes. Porte de Pignerol.

Le temps des chevaux à pattes. Porte de Pignerol.

La Collégiale ensoleillée, sur fond d'orage

La Collégiale ensoleillée, sur fond d'orage

Rond point de l'Europe et le Parc Hôtel, là depuis des années, très prisé des motards en transit

Rond point de l'Europe et le Parc Hôtel, là depuis des années, très prisé des motards en transit

Le Prorel au-dessus de Central Parc

Le Prorel au-dessus de Central Parc

Et c'est tout.

Des photos j'en prends des milliers chaque année, beaucoup sont effacées, je ne peux tout garder, et puis je ne suis pas un photographe professionnel, juste un plaisir personnel pour en faire profiter tout le monde, puisqu'elles ne sont pas bloquées et tout un chacun peut les copier gratuitement comme il le veut, je n'en fais pas commerce, je ne demande pas de droit comme certains mais chacun fait comme il l'entend, juste préciser, si utilisation, qu'elles sont prises par moi, comme le fait M Prugne Alain à qui j'en envoie des centaines par an.

Je vous invite à visiter son site très garni de tout ce qui concerne Briançon :  Copiez-collez l'adresse suivante et cliquez sur les liens, laissez-vous guider.

http://briancon-vauban.com/index.html

Tout comme je m'efforce à donner de la ville une image positive sans faire l'impasse sur ce qui ne va pas, non pour critiquer mais pour attirer l'attention sur les désordres que les responsables semblent ne pas remarquer.

Des photos du même contexte vous pouvez en trouver aussi quelques-une sur le journal local, Le Dauphiné Libéré, mais vous ne trouverez pas les critiques que je formule parce que des journalistes engagés sont obligés de se plier aux directives de ceux qui les achètent, d'autant que leurs tendances politiques suintent à travers leurs articles tout en évitant soigneusement les sujets qui fâchent.

Ce sera une prochaine page pas très tendre pour les journaleux mais nécessaire pour bien cadrer ce qui fait la différence entre un vrai journaliste intègre et un pisse-copies subventionné pour fermer sa gueule.

Sous nos contrées il n'y a que du lait et du miel, à les lire.

Par contre je propage facilement la merde et les désordres, voir et parcourir mes nombreuses pages antérieures de ce même blog.

Bonne soirée à tous et bonne vacances à nos visiteurs de quelques jours.

 

 Pour me rejoindre, continuer à me suivre et partager ce blog,  inscrivez-vous à la rubrique "s'abonner" Newsletter— du bandeau droit de cette page 

 

Publié dans Briançon

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article