Le catastrophisme médiatique
Juste pour mémoire (d'archives)
L'industrie moderne.
Cette image est bien entendu travaillée pour lui donner un aspect catastrophique, comme beaucoup de ce qui est exagéré.
Il est réel que la pollution industrielle est nocive pour l'environnement immédiat, le nier serait simpliste, toutefois, pour avoir un aperçu de l'impact de la pollution atmosphérique, il faut prendre du recul, surtout de la hauteur.
VIDÉO. L'impressionnante éruption du volcan aux îles Tonga vue de l'espace
Les images satellites sont saisissantes. Elles montrent le moment de l'éruption du Hunga-Tonga-Hunga-Ha'apai samedi 15 janvier, un volcan sous-marin des îles Tonga, dans l'océan Pacifique sud. U...
Source "Le Parisien"
Et d'autres. (Cliquez sur le lien pour visualiser la vidéo)
En 1883 l'explosion du Krakatoa, dans le détroit de la Sonde, en Indonésie, a impacté l'atmosphère de la planète durant deux ans au moins, rendant le ciel bizarrement coloré partout sur terre, le climat en a été affecté, sans compter les dizaines de milliers de morts, les cultures et les forêts ont subit des transformations.
Plus récemment l'éruption aux iles Tonga — on ne parle pas d'explosion mais d'éruption, ce qui est moindre — a impacté partiellement l'Australie pourtant située à plus de 3500 kilomètres.
Les éruptions cataclysmiques sont régulières, elles impactent le climat planétaire de façon durable, projetant des colonnes de cendres jusqu'à des hauteurs de plus de quarante kilomètres.
Les plus grands volcans du monde, en activité permanente, rejettent à eux tous en une journée ce que l'industrie ne parvient pas en un an, quand une ile entière explose c'est titanesque, laissant des résidus en haute atmosphère pendant des années.
Il y a les climatosceptiques face aux climatocatastrophistes, y-a-t-il un juste milieu ?
Ça dépend de pas mal de critères, le principal étant le milieu dans lequel on vit, mais aussi la façon de gérer le mental climatique.
Au nom du changement climatique on transforme la société pour la rendre malléable, non sans arrière pensée, en préconisant, en hâte et sans réelles études d'impact, des solutions dites "miracles" qui sont des bombes à retardement écologiques, pourtant prônées par des "écologistes" — encore faut-il savoir ce qu'est un écologiste.
Par définition c'est un individu qui fait attention à son environnement, sans aucune appartenance politique, qui se garde de gaspiller, qui abonde dans l'esprit de propreté et d'environnement.
Tout le monde est capable d'être écologiste à son niveau, il ne suffit que de le vouloir, trier, préserver ce qui peut encore servir, ne pas polluer par l'abandon de déchets divers n'importe où, recycler.
Si l'industrie se voulait écologique elle commencerait par ce qui est au début, la production sans effets néfaste, emballage en particulier, ce qui se faisait encore il n'y a qu'une soixantaine d'années.
Industrie et population.
Plus nous seront nombreux et plus il faudra répondre à la demande ; la matière plastique, ayant remplacé à très grande vitesse les précédents emballages entièrement réutilisables et recyclables, a la particularité de ne pas pouvoir être réutilisée, surtout dans le domaine alimentaire, c'est donc une production nocive sans solution de secours, parce que non seulement ça ne se recycle qu'en infime quantité, par rapport à la production, mais en plus il faut extraire du pétrole qui est la matière première de tous les plastiques.
Il ne faut pas plus d'énergie pour produire du verre, du métal, que de la matière plastique.
Imaginez une seule seconde la disparition instantanée des matières plastiques, c'est toute l'industrie mondiale qui s'écroule, pratiquement tout ce que nous utilisons contient du plastique, contenants et contenus.
Avant l'avènement de cette matière "miracle" il fallait d'autres matières premières, bois, verre, métaux, on s'en sortait très bien, même si l'obligation de recycler faisait partie de la vie courante.
On se sert beaucoup moins du bois mais pourtant les forêts disparaissent, c'est juste pour répondre à la demande alimentaire planétaire, un humain en plus égale un arbre en moins, l'équilibre est déjà dépassé ; pourtant il est impossible de revenir en arrière, sauf extinction de masse des humains, ce qui de toute façon va se produire, ce n'est qu'une question de temps, savoir si ce sera la nature ou l'auto-suicide collectif par dégradation environnementale.
Aujourd'hui on n'a rien inventé, le recyclage ne date pas de l'ère des écologistes politiques, même dans les siècles passés ça existait, mais sous une autre forme que la vision que nous en avons aujourd'hui.
Maintenant les critères écologistes de maintenant ont une toute autre approche du recyclage que nos ancêtres, c'est devenu une arme politique mais aussi une arme financière, plus il y aura de monde et plus il y aura de différences sociales avec toutes les conséquences à venir.
Mémoire d'archives.
Il est bien de plonger un peu dans le passé, on réalise que le climat n'a jamais été le jouet de quelques milliards d'humains formatés, et encore, là nous n'avons que les périodes chaudes, il y a eu aussi les périodes froides.
Il y a environ soixante six millions d'années la terre a subit un impact météorique de grande ampleur, il y en avait eu avant celui-ci, il y en aura encore d'autres, il suffit d'attendre.
La quasi totalité de ce qui vivait sur terre a été décimé, organique comme végétal, c'est le grand nettoyage périodique, ce qui remet les pendules de la nature à l'heure.
Disons qu'aujourd'hui ça se fait urgent, parce que de ce que la terre nous offre il ne reste plus grand-chose encore en bon état.
Ce ne sont pas les gesticulation du GIEC, et autres organismes, qui y changeront quelque-chose, juste se donner bonne conscience en accusant la population de nos maux, même s'il y a une part de vérité.
Nos maux sont la surpopulation, en fait la fuite en avant vers le néant, puisqu'arrivé à un moment donné il ne pourra plus être possible d'assumer la quantité au développement exponentiel.
Même en invoquant les divers dieux des humains, ce que les religions préconisent pour arriver à bout de nos maux pourtant en expansion infini.
Il n'y a pas si longtemps, j'ai été abordé par des "témoins de Jéhovah", m'invitant à écouter la divine parole de celui qui nous sauvera. Je me demande alors ce qu'il attend, parce que là il y a le feu.
En ces temps perturbés le recours au spiritisme semble reprendre de la vigueur, ma foi chacun fait comme il l'entend, c'est une liberté qu'on a encore, du moins pour ceux qui sont libres de choisir, certaines religions ont confisqué le choix pour imposer le non-choix.
La voix du plâtre.
Puisque pour matérialiser ce qui est spirituel il faut de la matière basique, plâtre donc, mais aussi de la matière plastique, le pétrole au secours des religions c'est assez cocasse, là aussi il faut être moderne, même si les religions sont basée sur l'obscurantisme le plus total.
Lorsque je découvre, à travers divers supports médiatiques, que des gens sont prêts à en découdre pour une statue brisée, un livre "profané", un tag sur une église ou une mosquée, je me dis qu'on a encore un très long chemin à faire.
Aduler des gens passons encore, parce qu'il faut un repère à toute action, que ce soit la religion politique ou la politique religieuse il y a toujours une hiérarchie en haut de laquelle est le chef qui se prend pour un dieu, ça date des temps les plus reculés.
Mais aduler des statues on devine le refuge étrange et surtout l'opportunité qu'il y a à en avoir le plus possible pour se faire prosterner le plus de monde possible, puisque ça marche.
J'ignore par quel miracle....
....j'ai reçu cette "invitation" spirituelle, j'y ai répondu à ma manière.
Bien entendu ce n'est qu'un appel spirituel informatique, donc une réponse informatique loin de mon interpellation, derrière il n'y a personne, juste un ordinateur qui enregistre le plus de réponse possible, pour pouvoir, ensuite, nous inonder de propositions diverses, à vendre bien entendu puisque le socle des religions c'est aussi la finance par le nombre.
Sur Facebook aussi il y a un ordinateur qui m'envoie régulièrement des demandes d'ami, avec des photos suggestives de jeunes femmes bien roulées, à la poitrine généreuse et le sourire enjôleur, limite prostipute de revues spécialisées.
Je vaque systématiquement, pourtant ces "demandes" s'accompagnent d'un petit texte, toujours le même, "votre profil m'a subjugué", et autres fadaises du genre. En fait si ces "personnages virtuels" connaissaient mon profil ils changeraient certainement d'amorçage.
Bref, une grosse connerie qui cours sur les réseaux sociaux, gigantesque almanach pour trouver des gogos à plumer, ça doit certainement marcher d'ailleurs, vu le nombre et la répétition.
Ça fait aussi partie de la pollution, mentale celle-là, la plus facile en fait, d'ailleurs ça se voit aussi en politique.
Je n'ai pas répondu à l'invitation parce que je doute qu'un ordinateur me demandant de marquer amen puisse faire quelque-chose pour moi et ma famille.
La base c'est la médiation intensive de tout ce qui peut permettre de formater, de museler, de profiter, d'une population de plus en plus infantilisée par la médiatisation ciblée.
Que ce soit du réchauffement climatique, de la peur du nazisme résurgent, de la peur des graves pandémies plus mentales que virales, des religions qui se servent aussi de la peur pour assoir leur puissance ; c'est aussi le résultat de la surpopulation.
La froideur des complotistes et des polémistes n'aura pas raison du réchauffement médiatique bien plus dangereux que le réchauffement climatique.
Quand on aime !!!
Durant quelques-jours je vais me déplacer à Paris, j'ai un nouvel éditeur que je vais rencontrer, il m'a invité à déjeuner pour lui exposer mes livres, il est très intéressé. Tant mieux pour moi.
Je vais aussi rencontrer Monsieur Claude Arnaud, auteur connu et primé, qui m'a lui aussi invité au Palais Royal, à Paris bien sûr, un secteur que je connais bien.
Je suis ravi de ces approches et de ce qu'il en sortira.
Donc pas de page jusqu'à la fin du mois d'Avril.
Bonne fin de journée à tous.
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