Hortaugrafe et vaucabulère

Publié le par François Ihuel

 

Moi ça me distrait.

 

Source Internet : RAKUTEN

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Lexique Bescherelle 1960.

Mais il existe toujours, en version plus moderne mais à l'identique.

Comme quoi quand on veut on peut, il suffit d'ouvrir pour savoir.

Maintenant soyons tolérant et objectif, si une matière n'accroche pas à l'école elle n'accrochera jamais, même sous les pressions et menaces des instituteurs, c'est comme ça ; moi par exemple, je n'ai jamais su, ni pu, aligner une phrase en anglais, à l'époque je ne jugeais pas nécessaire de connaitre cette langue alors qu'il y a déjà tant à apprendre pour connaitre la nôtre.

J'ai dû m'y mettre dans les années 1980 parce que je conduisais des cars de tourisme pour Cityrama, à Paris, en double de mon emploi de conducteur de RER à la RATP, donc la nécessité de connaitre au moins quelques mots ; je les ai donc appris mais les ai totalement oubliés aujourd'hui, pourtant ce serait utile vu le nombre croissant de notices, et autres, rédigées en anglais, commerce international oblige, encore une chance qu'il ne faille pas apprendre le chinois, la presque totalité des produits d'Europe provenant de ce pays si vaste mais si loin.

C'est aussi la raison pour laquelle je suis tolérant, j'admets qu'on ne puisse maitriser une matière, pour certains ce sont les maths, pour d'autres le français, encore pour d'autres plusieurs matières, ça dépend de ce qu'on va chercher à l'école, pour ceux qui vont y chercher quelque-chose bien entendu, ceux qui se sentent opprimés de cette incontournable obligation ne retiendront que l'essentiel. Et encore !

 

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Je lis beaucoup.

Hyper allergique à la télé j'adore me plonger dans un livre, mes préférences pour l'Histoire mais aussi la découverte, la philosophie, quelques romans et essais.

En réalité ce que j'ai appris c'est surtout à travers les livres, l'école ne m'ayant que dégrossi par l'enseignement du minimum afin justement de pouvoir accéder à la lecture. J'ai commencé dans les années 1960 par la bibliothèque verte, puis mon premier livre "La guerre du feu" de J.-H. Rosny Aîné, grâce à mon prof de français au CET de Savigny/Orge.

À travers la lecture, même certaines BD intelligentes, puisqu'il y en a, on apprend tous les jours, à n'importe quel âge, il suffit de vouloir lire,  ce qui demande tout de même un effort de concentration et un peu de mémoire.

Quand on tombe sur un livre qui accroche on ne se lasse pas de le lire, voire de le relire parce qu'il est utile de revenir sur des passages plus intéressants que d'autres, ou pour mieux les comprendre si une phrase est plus compliquée que le reste, on apprend des mots qui ne sont pas utilisés dans la vie courante, surtout dans le contexte des ouvrages scientifiques ou littéraires anciens, il n'est pas rare que je cherche une signification dans Wikipédia, site internet très documenté et très utile, internet ce n'est pas que des conneries.

Les deux sont complémentaires, associer la recherche informatique aux livres, dont la compréhension est parfois difficile, c'est un atout de plus, je ne suis pas un génie et encore moins un érudit confirmé, j'ai moi aussi des lacunes et je fais parfois des fautes, souvent d'inattention, parfois de manque de connaissance sur des matières spécifiques..

 

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Cosy pour mes livres.

Ce petit meuble, gentiment offert par l'Auberge de la Paix, rue Porte Méane à Briançon. Ce qui prouve qu'on peut avoir des divergences diverses sans pour autant déprécier les gens, j'en ai gardé de très sympathiques relations, dans le domaine professionnel mais aussi par des partages de points de vue, il est réservé à mes livres, j'ai remplacé les façades plaquées bois par des vitres pour m'en faire un joli meuble bibliothèque.

Lire c'est bien, écrire c'est encore mieux, on se corrige des défauts de jeunesse, on apprend à maitriser cette matière si compliquée qu'est la langue française, partager avec d'autres auteurs permet, là aussi, de découvrir des passages littéraires que je n'aurais pas connu sans ces contacts, je cite parfois Monsieur Claude Arnaud parce que dans ces livres j'y trouve une partie de ma jeunesse parisienne, mais aussi la découverte de lieux que je ne connais pas, ou peu, comme la Corse qui m'a subjugué dans les années 1960. Je vous invite d'ailleurs à revoir ma page de blog "Compliment" du 6 Avril 2022, vous y trouverez quelque-uns de ses livres.

Un auteur primé est déjà un auteur reconnu, je ne serai jamais primé mais ce n'est pas mon objectif, toutefois les compliments venant d'auteurs connus c'est un encouragement à persévérer, même quand mon éditeur est en liquidation judiciaire, ce qui me fait perdre des sommes conséquentes, j'y survivrai.

Je continue à écrire parce que j'aime écrire, et puis il y a d'autres éditeurs, je vais me déplacer à Paris dans cet objectif dans les semaines qui viennent. 

 

Hortaugrafe et vaucabulère

Le Dauphiné Libéré.

M'a également fait l'honneur de publier un petit passage concernant mes livres, j'ai apprécié et mon éditeur de l'époque aussi.

Plus avant j'avais postulé pour un "emploi" de correspondant local pour ce journal local, demande rejetée mais c'est un peu normal, on a pas les mêmes idées ni les mêmes objectifs. Toutefois, pour ne pas me froisser, mon interlocuteur du moment m'a avancé, comme prétexte, que je faisais des fautes, ce qui est fort possible, d'autant que quand j'écris, même si je me relis, il arrive qu'une faute d'inattention échappe à ma vigilance.

Et puis je suis absolument seul pour écrire mes livres, créer mes pages de blog, m'occuper de ma toute nouvelle association et aussi répondre à un employeur qui me donne quelques heures de travail qui satisfont tout le monde, mon besoin de contacts sociaux, le plaisir de conduire et le manque chronique de salarié dans des domaines spécifiques, le complément de l'un confortant la demande de l'autre. 

Et puis comme je suis seul il me faut aussi entretenir mon appartement, ménage et embellissement, faire mes courses, ma tambouille, dormir mes neuf heures d'affilées chaque nuit pour être pleinement opérationnel le matin.

De quoi remplir des journées souvent trop courtes, qui me rappellent cette phrase de ma mère qui disait souvent qu'il faudrait des journées de 48 heures pour parvenir à faire le quotidien ; il est vrai qu'à l'époque les mères de famille étaient à la peine, sans électroménager, sans réfrigérateur, sans les facilités de maintenant, sans assistanat automatique ou services sociaux divers palliant les carences de certaines aujourd'hui. Mais c'est un autre sujet et une autre époque. 

Si ma candidature de correspondant local n'a pas été retenue ce n'est pas à cause de mes fautes potentielles, mais à cause de divergences politiques qu'on n'a pas voulu m'avouer, et puis dans certains secteurs il est préférable que les médias locaux passent la pommade en évitant les sujets sensibles qui fâchent, pourtant le rôle du journalisme, aussi je ne leur en veux pas, ça fait aussi partie de la vie. 

Et puis quand on a une logistique d'importance, pour publier des articles journalistiques, il est un peu normal que les textes soient soignées, ce que ne sont pas les miens, ce qui les rend parfois indigestes.

J'ai toutefois relevé des "coquilles" dans les journaux, ces petits détails qui échappent à la chaine de rédaction, même au typographe chargé de la mise en page pour l'imprimerie. D'ailleurs, en relisant mes livres, j'ai, là aussi, relevé des coquilles, j'ai demandé la correction à mon éditeur mais je ne suis pas sûr que c'eut été suivi.

Toutes ces lignes pour en arriver où ?

 

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À çà !!

Si l'évolution est la caractéristique d'améliorations, il n'en est pas de même pour certains supports, les SMS étant, je crois, les plus révélateurs de lacunes et carences.

Il y a aussi la facilité, les dictaphones ont la particularité d'être tous d'origine américaine sous construction chinoise, si pour la langue anglaise, plutôt simple en s'exonérant de particularités majeures, c'est suffisant, il n'en est pas de même pour la langue française, une des plus compliquée mais aussi une des plus riches. D'ailleurs il existe des "clips" YouTube qui expliquent aux étrangers comment comprendre des expressions typiquement françaises employant des mots sans aucun rapport avec la nature de ces mots.

J'en suis friand parce que j'emploie beaucoup l'argot de Paris, je n'y peux rien, j'ai baigné dans ce contexte argotique pendant des décennies, même si je fais des effort dans mes écrits ça ressort tout de même.

Alors dans mes livres c'est encore pire, certains de mes lecteurs m'ont demandé de leur expliquer certains passages de mes livres, surtout les séries "ADHOMO" et "Onze métiers — Cent galères" ; il est vrai que j'écris "parisien" comme je parle parisien, même si ça fait plus de 20 ans que je suis à la montagne. 

Pourtant j'ai reçu des compliments d'auteurs connus, de rédacteurs d'éditions également connus, il est vrai que pour me comprendre, à travers ces livres si spécifiques, c'est difficile, et encore, je me maitrise, si je me lâche vraiment beaucoup vont n'y comprendre que pouic (Tient, déjà un).

 

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Pour tous.

J'ai trouvé ces explications assez bien ficelées, toutefois, ayant un langage châtié et des expressions souvent scabreuses, ce n'est pas demain que les étrangers comprendront mon "arguche de paname".

Je vous invite donc à découvrir ces "youtubeurs" pour, là aussi, parfaire ce qui manque, comprendre ce qui parait incompréhensible.

Il y a toutefois une différence entre ce qui est un langage particulier, et local, d'avec ce qui sont des lacunes d'apprentissage, c'est aussi pourquoi, parfois, je reprends un SMS qui m'écorche, non pour moquer celui qui me l'envoie, mais pour qu'il (ou qu'elle) se parfasse dans le vocabulaire, l'orthographe et surtout les conjugaisons, ce qui est le plus facile à rectifier.

Je ne me moquerai jamais de ceux qui ignorent, le parcours de chacun n'étant pas le même, l'application d'un langage s'adaptant souvent à un environnement professionnel qui ne nécessite pas d'être érudit pour être efficace.

Ce que je ne supporte pas ce sont ceux qui veulent paraitre sans être, un peu comme mon "interlocuteur" d'hier à travers ses SMS insultants (page Amusant ou navrant ?), d'ailleurs, dans la soirée, il en a rajouté une couche, peut-être après que je l'ai informé d'une page spécifique lui étant dédiée.

Tient, je les mets à la suite, juste pour le plaisir.

 

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Monsieur d'un certain âge....

....comme ça se dit maintenant.

Je comprends mieux, après avoir visité rapidement sa page "Facebook", qu'arrivé à un âge avancé on s'offusque de se faire rectifier, l'âge a aussi ça de traitre, c'est de se croire meilleurs que les plus jeunes.

Pourtant j'apprends aussi des plus jeunes que moi, heureusement d'ailleurs, je ne suis qu'un homme normal sans prétention. Pourtant ce Monsieur me considère comme une merde (sic), sans même me connaitre, qu'il ne veut pas ramasser, ma foi il a peut-être raison, je pense que dans son entourage il y en a d'autres qu'il doit mieux considérer.

Savoir qui il insulte par ses pauvres arguments, mes parents ou moi ? Comme je suis né dans un appartement, rue Puget dans le 18 ème à Paris, hors hôpital donc — qu'on n'appelaient pas encore maternité — je devine que vu son âge il aurait eu la possibilité de me voir naître. Ah ? C'est peut-être ce qui le rend "supérieur" !

Petit clin d'œil à ces innombrables insultes courantes, ce qui est aussi rentré dans le langage courant ; ça non plus ça ne facilite pas les échanges "intellectuels". 

Bon, vous allez me dire que ces échanges SMS de fin de journée sont plutôt au sous-sol linguistique, je le concède, je voulais juste savoir jusqu'où irait cet olibrius, un petit passe-temps comme un autre. Si ça se trouve il est bardé de diplômes et de prix divers, j'en connais d'autres.

Encore un détail de l'Histoire de l'humanité, imaginez un instant qu'on puisse échanger des SMS entre les huit milliards de terriens ! Quel délire.  

Je prépare ma page spéciale "dépenses municipales", pour dans quelques jours.

Bonne journée à tous.

 

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