Briançon, ville crasse ?

La douceur de la crasse chronique

de Briançon serait plus appropriée

La tête sans les jambes.

Là il n'en peut plus Monsieur Murgia, maire de Briançon, il est vrai qu'il ne travaille que pour sa notoriété, pas pour ses CDD fonctionnels qui ne servent qu'à le propulser, pas pour travailler dans l'intérêt des briançonnais.

Il est flagrant que la course à la fonction remplace le devoir, la palette de "notables" qu'il adule depuis quelques mois ne laisse plus aucun doute, il faut monter coute que coute, quitte à saborder la fonction et la rendre exécrable.

Master en crasse.

Comme quoi il n'est pas difficile d'avoir un Master, surtout que ce dernier est bouffé par la rouille et la crasse, j'ignore s'il est nécessaire de faire des études pour en posséder un, personnellement mes études sont celles de la vie et de la rue, raisons pour lesquelles je suis attentif à mon environnement, aux dégradations et navrances diverses. 

Quelques micro-vidéos.  (Cliquez sur les liens)

Pour que mon site accepte les vidéos il faut qu'elles soient courtes, donc je dois les ajuster afin qu'elles soient visibles, aussi des séquences sont coupées.

Toutefois il est clair que la ville de Briançon est loin d'être un modèle, même si, d'après M le Maire, ce serait un exemple et d'une douceur à attirer du monde, en fin de compte ces endroits abandonnés atirent du monde mais ce doit être les rats, les divers insectes et surtout le visuel, parce que quand on est à pied, c'est-à-dire sans Master, on réalise mieux l'état lamentable de certaines parties de la ville, même si la zone d'activité n'en ferait pas partie, façon comme une autre de s'en désintéresser, il faut laisser cette tâche à la CCB, d'ailleurs son président est également le Maire de Briançon.

C'est bien d'avoir multiples casquettes fonctionnelles, encore faut-il les assumer.

Alors parader avec un parterre de personnages médiatiques, ou à médiatiser, pour s'offrir un plein cadre c'est bien, mais c'est aussi un piège si on rattache certains visages à des carences et des désordres, la cible est parfaite.

Domaine public.

Même si ça longe une "propriété" privée.

Ici personne ne passe, du moins de ceux qui seraient éventuellement chargés de nettoyer.

Domaine privé.

Visant le public, puisque les panneaux publicitaires c'est fait pour ça.

Y-a-t-il un cahier des charges en ce qui concerne les différentes entreprises de la ZA Sud ?

Je l'ignore mais certainement, toutefois, dans ce cas de figure, ce sont les colleurs d'affiches qui seraient responsables, déposer au sol ce qu'ils devraient ramasser après avoir effectué leur travail.

Ce genre de dépôt, en dégradation jusqu'à devenir de la pourriture, attire aussi les "nuisibles", savoir si c'est à l'établissement de le faire.

Visuellement c'est navrant, higiéniquement c'est lamentable.

En attendant des jours meilleurs.

Ces dégradations, résultat de véhicules lourds roulant sur les trottoirs, mais surtout de la fragilité d'exécution, économies obligent, sont courantes en ville, il y en a une autre, depuis des semaines, devant l'ancien centre des impôts juste avant d'arriver au nouveau rond-point de Grand-Boucle.

Puis ailleurs, je les vois mais ne les prends pas tous en photos, il me faudrait plusieurs cartes SD de 35 Go.

Ça sent l'abandon, le laxisme, le désœuvrement.

Il est vrai que pour le fonctionnement de la ville, et certainement de la CCB, il n'y a pas d'argent, l'argent c'est pour les promoteurs, pas pour s'occuper de l'environnement et de l'hygiène des administrés. 

Établissement MASSÉ.

En zone d'activité, rue des Couteliers, les trottoirs sont propres, les alentours nettoyés, ça vaut d'être signalé parce que les désordres de crasse c'est aussi du ressort des riverains, privés ou publics, commerces ou entreprises.

Donc merci à cet établissement d'être soucieux de ses abords.

Image de la ville.

Il est indéniable que les personnels de la ville sont aux petits soins pour rendre agréable le visuel, c'est tout à leur honneur, je me demande pourquoi ce n'est pas généralisé.

Il ne faut pas faire incomber les désordres aux exécutant mais aux donneurs d'ordres, celui qui est en haut de l'échelle administrative de la ville est donc responsable à part entière de tout ce qui ne va pas, parce qu'il est le premier à devoir satisfaire la population, pas s'autosatisfaire par démagogie.

Alors pour le retour d'expérience locale, présenté à Paris, il y a encore du chemin à faire, parce que des belles villes, propres et agréables, j'en cannais beaucoup d'autres qui passent très largement avant Briançon, ville en perpétuel chantiers et gérée de façon dégradée et déplorable.

Bonne journée à tous. 

 Pour me rejoindre, continuer à me suivre et partager ce blog,  inscrivez-vous à la rubrique "s'abonner" — Newsletter— du bandeau droit de cette page