Les morts utiles de l'actuelle République

Publié le par François Ihuel

 

Savoir qui a tort. Savoir qui a raison.

 

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Peu importe qui à tort ou raison.

Ce qui est intéressant, dans ce texte, qu'il faut lire en entier pour avoir un point de vue, c'est le déni permanent des élus.

Quand j'écris élus ce sont la presque totalité de ceux qui sont parvenus, souvent par des subterfuges, des complaisances, mais surtout des mensonges, à persuader un électorat qu'ils ont les pouvoirs mais aussi la science infuse, dès qu'un candidat est élu il se sent persuadé être au nirvana de la connaissance, s'arrogeant le droit de faire taire les autres, de les abaisser, de les contraindre par la persuasion, par les pressions mais aussi par le chantage, le chantage aux procédures, le chantage à l'intimidation.

Ce ne sont pas que des élus gouvernementaux, ce sont aussi des élus locaux, qui, en prenant les clefs de leur fonction, se sentent puissants de leur faiblesse, couverts par l'aura institutionnelle ils se sentent au-dessus des autres ; je pense que certains de mes lecteurs, élus locaux, sauront exactement ce à quoi je fais allusion.

Je ne vais pas écrire ce que les gens avisés savent déjà, j'attire juste l'attention des hésitants qui se font manipuler en permanence par leurs élus ; des élus eux-mêmes sont aussi le jouet de ceux qui les tiennent par les couilles, le chantage à la fonction, le chantage aux représailles.

Les élus secondaires, que je nomme ainsi parce qu'ils sont effectivement secondaires, ont finalement la plus mauvaise place, pour préserver leur avantages, leurs biens, leur commerce, leur place dans l'échelle sociale, ils sont obligés de se plier aux injonctions du "maitre" qui les tient par des artifices.

Être élu ce n'est pas devenir subitement supérieur aux autres administrés, c'est être nommé pour assurer une fonction au service des administrés, pas pour les soumettre et les écraser d'une puissance illusoire. 

Aussi, cette énième agression mortelle en est un des résultats, se considérer intouchables en rejetant, sur d'autres, la responsabilité.

Ce qui dérange, dans la société, ce sont ceux qui s'insurgent d'un dysfonctionnement, d'erreurs des élus. Ces derniers, n'étant pas en capacité de résoudre ce pourquoi ils ont pourtant été élus, agitent la vindicte populaire pour s'exonérer de leurs manquements, si ça marche c'est parce qu'une part non négligeable d'administrés sont devenus les moutons de ceux qui les ont subjugué.  

Ils appellent ça de la politique.

Moi je les considère comme les esclaves d'un système qui écrase pour régner, rien d'autres. 

En ce qui me concerne, après avoir essayé divers partis politiques, je reprends ma neutralité afin de pouvoir traiter de tous les sujets chauds sans avoir de compte à rendre, d'ailleurs je ne rends de comptes à personne. 

Si je soutiens certaines thèses politiques c'est parce qu'elles vont dans le bon sens et dans l'intérêt de la France et des français, ce qui est ma seule réelle préoccupation. 

Instrumentaliser des victimes pour conforter sa place à détruire les autres c'est ce qu'il y a de plus bas, l'État français se sert des morts médiatiques en ce sens alors qu'il est en partie responsable de ces morts.

À très bientôt pour autre chose.

Bonne journée à tous.

 

 Pour me rejoindre, continuer à me suivre et partager ce blog,  inscrivez-vous à la rubrique "s'abonner" Newsletter— du bandeau droit de cette page

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article