La Covid etc..

Publié le par François Ihuel

 

Sujet international.

Pas d'image sur cette page juste de la lecture.

 

La lecture justement.

Si je me fie à ce que je vois, ce que j'entends, parfois en écoutant tellement on peut entendre sans écouter, il est indéniable que la lecture, la vraie bien sûr, est peu prisée au profit de l'image, celle des livres, du moins de ceux qui en insèrent, mais surtout télévisuelle.

L'audiovisuel c'est une forme de paresse, ça ne demande pas d'effort, ça repose le cerveau - quoi que ! - puisque c'est du tout fait, du tout mâché, avec des personnages imposés qu'on ne peut remplacer par d'autres, on subit donc ce qu'on nous impose sans possibilité de choisir.

Si en fait, on choisit des chaines diverses, j'ignore combien il y en a puisque je n'ai pas la télé, je possède un moniteur bien sûr, pour regarder les DVD que j'achète donc que je choisis mais là encore les personnages sont tout fait, on ne peut pas non plus les changer, ce qui m'intéresse c'est le sujet, pas ceux qui le jouent bien qu'ils aient leur importance. 

Dans mon entourage peu de gens lisent, j'en connais, j'échange parfois avec eux si toutefois leur choix de lecture s'associe au mien, j'exclus bien entendu les mordus des revues diverses et des périodiques, j'en lis aussi, politiques pour la plupart mais je les choisis aussi pour connaitre autre que ce qu'on impose à tout le monde, là aussi il y a du tri à faire.

Bien entendu je possède une ligne Internet, là aussi je puise quelques infos, des bonnes et les autres, celles qui sont douteuses mais ayant un fondement, puis je subis les réseaux sociaux sur lesquels je vais naviguer aussi histoire de savoir sans apprendre, j'ai droit à ma dose de conneries et de débilités mais il faut de tout pour faire un monde et je ne suis pas non plus épargné par les conneries qu'il m'arrive de sortir, on est humain avant tout, donc potentiellement contaminable.

Mais à travers Internet on apprend aussi, il y a beaucoup de sites très bien ficelés, c'est le complément de la lecture sans toutefois la remplacer, le problème c'est de nous imposer de nous abonner à ceci et cela pour accéder au site, ou accepter les cookis pour se faire envahir de pub, j'ai donc laissé tomber ces sites, ce qui est dommage pour certains très intéressants.

Mes auteurs préférés sont nombreux, si je me laisse bercer par quelques romans bien ficelés je préfère de loin les livres d'histoire, du moins de l'Histoire, puis quelques poètes, Balzac, Ronsard, Musset, Verlaine, mais je me sens plus proche de Rimbaud, peut-être d'avoir eu lui aussi une enfance de misère et un parcours chaotique, tout comme Villon, ce clerc du XV ème siècle qui de son instabilité chronique ne pouvait rester en place, puis d'autres mais je ne vais pas les énumérer tous, il y en a trop et chacun a son style.

Je me laisse aller à lire Ken Follett et assimilés pour me distraire et m'échapper, puisque c'est aussi ça la lecture, c'est s'échapper de sa vie pour se trouver dans une autre ; les livres ont ça de miraculeux d'avoir un personnage dans lequel on s'intègre, ce que ne rend pas le télévisuel ni le cinématographique. Un que j'ai aimé aussi, qui me ramène à ces années soixante-huitardes alors que j'étais un branleurs de 18 ans, c'est "Qu'as-tu fait de tes frères ?" de Claude Arnaud, lecture ciblée mais ayant l'avantage de décrire ce que j'ai vécu d'une autre façon mais dans le même contexte à Paris. 

Quel rapport avec la Covid me direz-vous ! Celui de réfléchir sur l'influence de tout ce qui se réuni pour imprégner les esprits, la lecture courante, donc celle qu'on ne recherche pas spécialement mais qu'on visualise par habitude, ce sont les journaux du jour et les magazines politiques hebdomadaires dont quelques-uns auxquels je me suis abonné même si ça reste superficiel, le choix est vaste et les cibles nombreuses ; savoir si c'est la panacé pour s'informer c'est autre chose, ma mère me disait toujours "le papier ça se laisse faire", en effet, ce qu'il y a dans les divers journaux ne sont que le reflet tendanciel de ceux qui les publient. Tout comme l'audiovisuel cible un public et l'appâte par des préférences clefs, ce qu'on pourrait assimiler à de l'ameçonnage ; là aussi noyés dans un fleuve d'images diverses quelques "flash" imperceptibles consciemment nous sont induits, c'est ce qu'on appelle des flash-back, ou images intrusives, on ne les voit pas mais elle sont mentalement enregistrées par le cerveau.

Ces images sont des messages, tout comme on peut apprendre une langue par effet intrusif, pas des messages de paix ou bienveillants mais des messages persuasifs, qui, répétitifs, deviennent lancinants et influent sur le comportement, ce qu'on ne risque pas de trouver dans la lecture. 

La Covid 19 a envahi la terre entière, cette mauvaise grippe qui ne tue pas plus que d'autres, voire moins, est soigneusement instrumentalisée pour marquer les esprits, cette opportunité pour analyser les réactions des population c'est l'avant-garde d'autre-chose de plus vicieux qui ne se verra plus tellement les populations sont matraquées par des infos diverses et subjuguées par la peur, cette peur qui résout bien des complications qu'il serait difficile à faire avaler normalement à des gens réfléchis, et puis la peur rend malléable, elle fait perdre conscience du réel pour induire l'irréel, c'est une forme de Flash-Back à très grande échelle, j'ai fait un sujet récent sur une page antérieure.

Ce qui est bien dans cette fausse pandémie sanitaire, mais vraie pandémie de l'épouvante, ce sont les multiples intervenants, jamais je n'avais vu et entendu autant de spécialistes, de gens qui ont tous raisons, d'élus qui se montrent comme Zidane sur un stade ; on a balayé le raisonnable pour fabriquer du sensationnel, de petits insignifiants se sont vus propulsés au nirvana de la politique sans en connaitre une once, de grands spécialistes se sont vu piétinés par les précédents juste parce que pour une partie non négligeable du peuple la raison d'État serait la seule véritable alors que ce dernier fabrique l'info à sa guise pour servir une politique dite afin d'imposer une cause douteuse qui ne passerait pas en temps normal.  

Sur Internet on trouve de tout, il y a de fausses nouvelles qui sont vraies et des vraies nouvelles qui sont fausses mais tellement matraquées qu'elles en deviennent inévitables, un de mes fils m'a fait comprendre que des vidéos "Facebook" relèveraient de gourous quelconques, en fait de gourous on en a des bons à la tête de l'État mais ils sont officiels, ce qui ne les empêche pas de raconter eux aussi des wagons de conneries, alors pour savoir ce qu'il faut savoir et ce qu'il ne faut pas savoir il faut savoir choisir mais pour ça il faudrait d'abord qu'il y ait des repères sincères et justes, ce qui en ces périodes de dissimulations et de mensonges perpétuels, surtout d'État, est difficile à trouver.

Donc prendre de tout pour faire le tri c'est ce qui se révèle le plus efficace mais avec tout de même une marge d'erreur non négligeable, c'est la partie douteuse de l'information encore qu'en matière d'information c'est surtout de la propagande, à travers les divers supports médiatiques il n'y a plus beaucoup de véritables journalistes qui ont le respect de leur déontologie et donc le respect du public, tout s'achète même de tromper officiellement la population.

C'est pour ça que l'État subventionne largement les médias, du moins ceux qui vont dans le sens de la demande gouvernementale, les autres ne sont pas subventionnés et l'État cherche à les faire taire, ce qui prouve que le mensonge d'État est flagrant, quand on cherche à "supprimer" quelqu'un ou quelque chose c'est que la vérité ne doit pas être connue.

Si je devais un jour accéder à la tête de l'État - bon d'accord, c'est un délire - je commencerais par supprimer toutes les subventions diverses aux médias, syndicats et associations non indispensables, l'économie se chiffrerait en milliards d'euros pour le plus grand bien des services qui ont besoins de finances mais que l'État ignore.

  

Lecture et lecture.

Mes lectures ne sont pas forcément celles des autres, heureusement d'ailleurs, les auteurs en seraient marris moi le premier, on lit ce qui nous intéresse fonction de son statut social mais aussi de son niveau d'instruction et d'intelligence, je recherche plus facilement des ouvrages ayant accointances avec mes gouts et ma nature, je suis plus près des Coquillards des  années 1430/55 que de Céline cher à Fabrice Lucchini mais on n'en fait pas le même usage, pour moi Céline c'est chiant comme pour lui les rondeaux de Villon du XV ème siècle lui sont rebutants. 

De mes lectures et de ce que j'en tire je ne risque pas de parader sur les plateaux de télévision à tenter d'induire ma science aux auditeurs, chacun brille comme il peut mais je pense que la sincérité discrète est plus lumineuse que la parade par auteur interposé mais dont on ne connait que ça, la vie des uns étant différente de la vie des autres je déconsidère la façade éclatante médiatique pour préférer la face cachée plus sombre mais plus réelle de la franchise.

Et puis je suis un peu trop farfelu pour avoir le déshonneur d'une invitation sur un plateau médiatique, ce support indispensable pour que quelques nuls chroniques puissent briller sans ombre autre que celle qu'ils se fabriquent, quand on a des convictions ça prend plus de place que les faux-semblants, c'est pour ça qu'il me faut le volume de l'extérieur, l'intérieur des cercles restreints ne sont que pour ceux qui s'en contentent d'autosatisfaction sans risquer d'en faire craquer les murs.

Je me surprend d'ailleurs parfois à me parler à moi-même, peut-être la solitude, ou seulement la mise à l'écart, j'aime bien être déconsidéré parce que ça prouve qu'il faut volontairement écarter ceux qui sont utiles pour garder la primeur de l'inutile, ce qui se répand le plus et le mieux parce que c'est facile ; d'ailleurs les politiques de tous bords le savent très bien qu'ils propagent non pas ce qui seraient bien mais ce que ceux qui les adulent attendent d'entendre, c'est la prouesse politique que de savoir ne se contenter que de donner des miettes faciles pour garder le gâteau.

Faire de la politique ce n'est pas s'occuper d'une population, c'est lui faire croire qu'on s'en occupe, je l'avais un jour avancé à un élu local en lui préconisant que pour avoir la paix sociale il ne fallait pas donner ce que les administrés attendent mais leur offrir par de belles paroles ce qui leur fait croire que ce qu'ils attendent va arriver, il y a toujours un motif pour défaire ce qu'on promet pour avoir la possibilité de promettre ce qu'on ne pourra pas faire justement pour cette raison. Le tour est joué, on est élu avec du vent pour offrir du vent, et ça marche.

Mes élucubrations tout le monde les connait, moi le premier puisque je sais que parfois je déconne, c'est si bon de pouvoir raconter des conneries mêmes si personne ne les croit. Il est probable qu'en des temps plus reculés je me serait retrouvé chez les fous ou peut-être même juridiquement inquiété de quelques-uns de mes écrits, cependant je sais que je suis un anormal mais sans savoir par rapport à qui et à quoi, c'est surtout parce que pendant mon enfance et mon adolescence on m'a imprégné dans l'esprit que j'étais anormal, un incapable, un cinglé, à force de l'entendre je me suis dit que tant qu'à faire d'être considéré anormal autant me comporter comme un anormal, et puis quelque part c'est nettement plus facile que de faire semblant d'être normal dans un monde de gens normaux pourtant tous anormaux par rapport aux autres qui sont normaux par rapport à eux.  

Vous voyez donc que même sans être vacciné contre la Covid 19 j'ai déjà un grain, alors rendez-vous compte un peu si je me laissais injecter un produit pas encore fini, cuisiné à diverses sauces nationalisées, ayant des effets déjà interrogateurs sans que ne soit finalisée la vaccination dont le résultat laisse même des scientifiques eux aussi interrogateurs.

J'ai donc là aussi reçu quelques exemples de "fake-news" - puisqu'on ne sait plus écrire "fausses-nouvelles" - dont j'ai pris connaissance, certaines sont franchement trop décalées pour être crédibles mais d'autres méritent qu'on s'y arrête même si la propagande d'État les classe dans le complotisme de ceux qui s'interrogent. 

Depuis le début de cette épidémie de grippe fortement médiatisée pour en faire la pandémie de la peur le monde est en train de changer, en fait c'est l'objectif, non pas de supposément tenter de sauver le monde en surpopulation mais de faire en sorte que ce monde s'autodétruise de lui-même, socialement mais aussi physiquement, rien ne me fera croire le contraire que l'objectif de cette vaccination massive mondiale pratiquement imposée est de nous "pucer" comme le sont les animaux pour qu'on les retrouve ou qu'on les suive, la haute technologie de la nano-miniaturisation permet ce qui aurait été impensable il y a encore dix ans, ce n'est pas pour rien non plus que la robotisation évolue à une vitesse prodigieuse au point de rendre ces derniers autonomes sans liaison physique aucune avec un support, les drones en sont un bel exemple mais les crédules pensent que je raconte des conneries, je me dis que comme d'habitude quand on prend une baffe sur la gueule on réalise ce qui paraissait impensable.

Savoir aussi que les différents intervenants ne sont pas dans la confidence, il y aurait des fuites, alors il faut des supports acceptables et surtout facile à faire admettre, le virus est tout trouvé parce que seuls ceux qui sont de la partie savent qu'il y a anguille sous roche, ceux qui s'en insurgeraient pour des raisons d'étique on les achète, on les musèles ou on les supprime. Les hommes politiques actuels sont avant tout des humains avec leur faiblesse et leur croyance, si en plus on leur graisse la patte il n'est pas difficile de s'en servir pour propager à grande échelle ce qui serait impossible à faire autrement qu'en passant par les institution de chaque État. Les élus sont d'abord des pantins mis en place par d'autre pantins qui en dépendent.

Est-ce que les gens savent que les réseaux sociaux servent avant tout les dirigeants ?

Non bien-sûr, pourtant pour répandre la peur et les prédictions déjà prêtes à sortir ce sont les réseaux sociaux les plus efficaces parce que gratuits et alléchants par des amusements divers, des images chocs et des annonces puériles dont pourtant sont friands les utilisateurs.

Ne vous y trompez pas, ces supports dits populaires sont d'abord au service des États.

Bonne journée à tous en attendant la suite. 

 

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Publié dans Société

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