Divergences de vue
Les réseaux sociaux c'est formidable.
Le sujet.
Pour pouvoir partager des situations, des lieux, des idées, des places dans la société, les réseaux sociaux sont excellents à condition qu'on reste dans le sujet.
Pour bien situer une particularité j'égaye mes sujets d'un petit mot, juste pour cadrer en sachant que les gens de mon âge ayant vécu cette époque, totalement différente de l'actuelle, puissent y retrouver une pointe de nostalgie.
Il y a des réactions diverses, ce qui est normal puisque dans la société nous sommes tous différents mais nous nous imaginons toujours en être un peu le centre par auto-référence.
Ça permet de découvrir des similitudes mais aussi des écarts et des gens qu'on aimerait connaître pour partager directement, ce côté convivial des réseaux sociaux qui ne servent pas qu'à transmettre des conneries, comme j'en sors parfois.
Le sujet, vu 662 fois à l'heure où j'écris ces lignes, semble être apprécié, c'est le but et puis beaucoup s'y retrouvent.
Alors bien sûr on disserte un peu sur mon commentaire pour savoir quel enfant est gros et quel autre est maigre, en mélangeant les époques et les situations mais ça fait aussi partie des échanges.
Parmi les très nombreuses réactions.
Il y en a qui détonent un peu, ça fait aussi partie du "jeu" et j'apprécie que les divergences soient aussi débattues.
Parfois c'est un peu excessif et on détecte un mode de vie hors normes, comme il faut de tout pour faire un monde et que je connais aussi un peu la vie j'approuve qu'il puisse y avoir des gens qui ont échappé aux vicissitudes de cette vie, du moins à celles qui faisaient la majorité à certaines époques.
Comme une forme de leçon qu'on me donne les explications sont pour le moins déroutantes, prendre un particularisme pour en faire une généralité ça m'interpelle.
J'ignore l'âge de mon "interlocutrice" d'un moment mais je détecte tout de suite le niveau social et la place dans la société, pas la même que la mienne ça c'est certain.
Il y a quelques fautes parce que mes réponses sont verbalement dictées à mon Iphone dont le traducteur est loin de détecter le texte en français, et puis ce n'est qu'un bête ordinateur qui ne peut détecter la consonance des mots.
J'ai d'abord pensé XVIème.
Arrondissement de Paris bien entendu, ces quartiers huppés à part où planent au dessus de la population laborieuse ceux qui la survolent de haut comme une sorte de supériorité maladive qu'il faut étaler, parce qu'avoir du fric ça ne sert à rien si personne ne le sait, l'important c'est de montrer à ceux qui n'en n'ont pas la différence qu'il existe avec ceux qui en ont.
Bref, ce n'est pas grave parce que pour que la société fonctionne il faut des riches et des nantis.
On détecte aussi les idées reçus, la différence entre deux mondes, celui qui pense que les riches sont à éliminer et l'autre qui est persuadé que la société laborieuse passe son temps à négliger sa progéniture en la gavant de sucreries et autres expédients qui la maintiendrait dans son statut social.
Donc forcément la société supérieure avec les enfants qui sautent une classe parce que surdoués ou ayant un bagage intellectuel et une intelligence qui les placent, déjà si tôt, dans les couches supérieures, contexte largement entretenu par des parents attentifs à vouloir paraitre à travers les prouesses de leur progéniture.
j'en ai connu quelques-uns étant jeune.
C'est très instructif.
Ma réponse rapide.
Certainement décalée mais je m'en fous.
Que des gens aient du fric ça ne me dérange pas et puis c'est le leur, donc ils en font ce qu'ils veulent, ça ne m'empêche pas de dormir, par contre de l'envoyer à la figure des gens modestes comme un mépris palpable c'est presque une insulte envers ceux qui n'ont rien.
C'était juste mon quart d'heure de défoulement du lundi matin.
Bonne journée à tous.
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