Avec ou sans c'est toujours navrant
Une situation d'exception n'empêche pas de fonctionner ou de.....
.....dysfonctionner.
Cuisines municipales.
(Cliquez sur les photos pour les agrandir)
Là où sont préparés les repas des écoles, des établissements divers de soins et pour ceux des vieux ainsi que les repas à domiciles pour les personnes dépendantes ne pouvant se déplacer.
Ça fait au moins huit ans que c'est en l'état, il est vrai que ce n'est pas aussi valorisant qu'un cœur de ville et que ça ne vaut pas une photo de campagne électorale, ce genre de navrance vous ne la trouverez pas sur le journal de propagande municipal "Place Publique".
Pourtant c'est public, donc c'est entièrement de la responsabilité de la municipalité, il est vrai que les dépenses de fonctionnement ont été drastiquement réduites pour démolir la ville afin d'en faire une cité HLM digne des banlieues sensibles des grandes villes.
J'espère qu'à l'intérieur c'est en meilleurs état, on se demande même si ça ne vaudrait pas une visite surprise des services sanitaires départementaux.
Je n'ai pas remarqué, dans les promesses de campagne diverses, que ces problèmes d'importances soient pris en compte, je ne doute pas un seul instant qu'après la parution de cette page on en voit quelques avancées et une amorce, j'attends cet instant avec délectation.
Pitoyable abandon.
Bien sûr la municipalité va rétorquer que c'est privé, juste que le passage est public, certaines de ces inscriptions plus que douteuses sont là depuis plus de dix ans, ce qui dénote de la part des élus une incapacité certaine à s'occuper de l'environnement urbain.
Où alors les directives visant à nettoyer mettent plus de dix ans pour parvenir jusqu'aux services techniques.
Ça me fait marrer deux minutes quand le maire et ses adjoints mettent en avant l'image de la ville, l'image on va la voir dans les articles suivants.
Matériel de chantier.
Privé ? Public ? on ne sait pas, sauf que là non plus aucune volonté de faire respecter un minimum, des éléments de chantiers divers, des barrières inutiles, puis bien d'autres objets qui trainent en ville pendant des jours, des semaines, des mois, ce que j'ai déjà écris dans des pages antérieures.
Là non plus aucune volonté municipale, pas l'ombre d'un minimum d'autorité qui ferait que les responsables de ces abandons soient invités à nettoyer rapidement.
Surenchère.
Les graffitis qui s'effacent naturellement avec le temps, ce qui prouve qu'ils restent longtemps, sont recouverts par d'autres, histoire de montrer aux gens qu'à Briançon on aime l'art.
Il y a quelques minables oisifs et assistés qui n'ont que ça à foutre, alors ils taguent les murs de la ville pour affirmer leur présence, du n'importe quoi n'importe où.
Sur les monuments historiques.
Ici une des portes extérieures d'Embrun, le maire passe devant tous les jours pour se rendre ou revenir de la mairie, il ne voit rien ?
Le support est fragile, ces portes sont tri-centenaires, pourtant aucun responsable ne semble se préoccuper du problème.
Il est vrai que ce passage mène à la vieille ville que la municipalité a transformé en repère de zonards, une des raisons du déclin de cette vieille ville.
Alors peut-être que comme dans les quartiers sensibles des grandes villes ces loubards imposent leur loi, on n'ose pas s'y frotter, c'est le laxisme des couilles molles élues pour ne rien faire qui viendrait à remettre un peu d'ordre.
C'est tout récent.
Pas très loin du commissariat c'est presque une provocation, en huit jours deux tags, là encore ce sont des murs privés dans des passages publics.
Il est fort probable que les autorités aient quelques pistes sur les actions de ces cornards finis, sauf qu'on les laisse faire, il serait pourtant si facile de leur mettre la main dessus, ils ne sont pas nombreux, et puis au lieu de les faire comparaitre après des mois interminables de procédures couteuses pour le contribuable, pour juste se voir finalement que rappeler à la loi dont ils se moquent éperdument, il faudrait quelques riverains bien décidés à leur mettre la main dessus et les barbouiller de la tête au pieds de leur peinture, ce serait plus efficace que des sermons dans le vide et des ordonnances inutiles.
Rue passante.
Juste après le pont Yves Dusserre, avenue du Général De Gaulle, encore une image valorisante de la ville.
Chiottes publiques.
Je marque bien chiottes et non toilettes vu l'état extérieur qui est le reflet de l'état intérieur, je n'y suis allé qu'une fois, j'ai compris après avoir senti.
Là, quelque part, un semblant d'art ; il est vrai que le support est plutôt rustique, ce béton nu qui est aussi le reflet de l'abandon de cette ville.
C'est aussi en centre ville, ce lieu est un point de rencontre des zonards divers et des SDF oisifs assistés à nous cracher à la gueule de les entretenir.
Vive les mouk ?
Mon instruction restant basiquement primaire, ne se bornant qu'aux écrits de nos valeureux prédécesseurs comme Molière ou Voltaire, je ne suis pas avisé de ce langage ni de sa signification mais ça sent un peu le racisme primaire.
Vu le rajout qui n'a jamais été nettoyé, bien que j'en aie fait un article passé récent, les anti-mouk sont donc repassés rectifier le sens de l'inscription en attendant que les Mouk viennent rectifier à leur tour.
Si quelqu'un peu m'expliquer la signification de Mouk je suis preneur.
Là encore une rue très passante, encore une des images de la ville.
Je pourrais en mettre des centaines de pages tellement Briançon regorge de ces navrances humaines, j'ai autre chose à faire.
Si la navrance de la débilité humaine prend tout son sens par ces expédients de très bas niveau, je me dis que le niveau des élus responsables n'est guère plus haut de laisser en l'état ces lamentables inscriptions.
C'est quand le deuxième tour des élections ?
Mais il y a de quoi en effet se poser des questions quand à la réaction municipale.
Les magnifiques décorations de Noël.
Ici elles sont en place six mois sur douze.
Il est vrai que vu l'état ces vétustés serait mieux dans un musée des artifices du passé, il est vrai qu'à ce niveau Briançon c'est la risée régionale.
D'autant qu'une bonne partie de cet étalage de luminaires minables s'est effondré à l'entrée de l'hiver, personnellement j'aurais été responsable des services techniques que j'aurais fait ôter la totalité de ces misères minables, ici on les garde et on les laisse le plus longtemps possible aux intempéries, on peut comprendre que les supports finissent par ne plus rien supporter du tout.
C'est aussi l'image de la ville.
Effets connard de virus. (Non, ne cherche pas, c'est exprès)
Les parkings sont vides.
Ce n'est pas pour autant qu'on en profiterait pour les remettre en état, surtout qu'ils sont payants, en principe, vu le nombre de PV distribués dans cette ville, on peut financièrement retaper ces emplacements.
Et bien non, là encore on laisse la merde ; qu'est-ce qu'on aime la merde dans cette ville.
Les services techniques seraient donc aussi impactés par le confinement ?
Je vois de temps en temps des employés en ville, pas souvent il est vrai, alors que sauf erreur les ST fonctionnent.
Vous remarquerez tout de même qu'on a repeint les tracés des emplacements pour bien rappeler aux potentiels visiteurs que c'est payant, peint sur la merde bien entendu.
On peint bien les trous !
Franchement, ce ne serait pas les photos qu'on ne me croirait pas, les gens extérieurs à Briançon bien entendu, les briançonnais sont tellement habitués à vivre dans la merde qu'ils n'y font même plus attention.
Pourtant le maire actuel semble très satisfait de son bilan, il parade devant quelques nouveautés de son cru pour se faire mousser, tellement content de montrer aux briançonnais que pour une fois il exécute ce dont pourquoi il est élu !
Alors là il n'en peut plus.
J'espère qu'il a des Pampers, vous savez ces couches pour bébé ou pour personnes âgées incontinentes.
Maintenant s'occuper pour une fois des briançonnais c'est son boulot, qu'il se mette en avant c'est une habitude.
Par contre on remarquera la lavette municipale de service, vous savez ce candidat aux multiples faces, un jour à droite, un jour à gauche, sous couvert de rendre service il s'expose avec son maitre qui le tient par le bout du nez et l'emmène où il le veut, d'ailleurs il aurait tort de ne pas en profiter Mr Fromm d'avoir un tel "esclave" municipal à manipuler, là ça marche fort.
Décidément il y a des personnages qui n'ont pas d'amour propre, aucune pudeur civique, aucun respect pour ceux qui leur faisaient confiance, ni ne réalisent à quel point ils sont minables de s'abaisser à lécher pour avoir une place.
Quelle image !
Gymnase du lycée d'Altitude.
Non non, vous ne rêvez pas, c'est bien une structure éducative.
C'est pourri, on penserait presque à l'abandon.
En fait c'est un peu ça et puis c'est loin du Cœur de Ville, qui plus est dans une ruelle que personne ne voit, alors ça peut bien attendre dix ans de plus.
Allez, encore une.
C'est neuf, c'est cher, c'est déjà dégradé.
Les escaliers à côté du monument aux morts.
Les leçons du passé ne servent à rien, les problèmes similaires étaient déjà apparus porte Dauphine, cette pierre ne supporte pas le gel, poreuse, friable, elle éclate facilement, pourtant on recommence la même connerie, aux frais des contribuables bien entendu.
On a des lumières à la tête de la ville, on va remettre les mêmes ?
Quand j'écris les mêmes c'est en y incluant les girouettes suceuses, les prostitués municipaux qui ne savent plus comment lécher à fond pour bien être placée et percevoir une indemnité d'élu net d'impôt, des fois que le maire actuel repasse !
C'est la ville de Briançon dans les Hautes Alpes, la plus haute de France mais aussi une des plus négligées, on est mal barré avec des guignols pareils.
Avec ou sans confinement c'est toujours le bordel dans cette ville qui serait si belle et si accueillante si elle était dans de bonnes mains.
Bonne soirée à tous et à très bientôt pour des poèmes lycéens.
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