De tout en vrac 1
Sur plusieurs jours j'ai relevé quelques sujets et rassemblé quelques photos intéressantes.
J'y ajoute donc mes impressions sans pour autant que ce soit aussi celles des autres.
L'art à la montagne.
Pour ceux qui vont à la Shappe ils ont pu découvrir une enfilade de panneaux qui exposent des chaises dans divers endroits de la planète.
En dehors des chaises rien qui viendrait éclairer la lanterne de ceux qui méconnaissent les endroit ainsi désignés.
J'ai effectué des clichés de ces panneaux, j'en ferai une page prochaine.
Je pense plus à un petit malin qui exploite la crédulité municipale pour faire du fric facile en exposant des nullités à la porté de n'importe qui possédant un appareil photos.
Mais tant que ce sont nos impôts qui payent ces conneries ceux qui s'extasient devant une telle navrances se donnent bonne conscience.
Il est vrai que quand un exploiteur réussi à faire passer une toile entièrement blanche, - "oeuvre de Clothink" parmi d'autres - pour de l'art on se dit que la connerie est vraiment insondable et très facile à exploiter.
Symbole.
La fin d'une ligne qui butte sur l'impossible.
C'est de l'art aussi mais c'est le mien, je vais l'intituler "Ici commence le trou du cul du monde".
Ce "carré violet" - pour ceux qui sont érudits de chemin de fer - marque le passage entre le monde civilisé et la ville de Briançon en déconfiture, ce que constatent et soulignent quelques touristes téméraires et persévérants.
Bain de chaise.
La Durance, rivière encore presque torrentueuse à Briançon, se voit parfois gratifiée de quelques surprises, je ne parle pas des innombrables détritus divers, dont une majorité de mégots, mais de cette chaise qui, soulevée par quelque énergumène "vaporeux" de fin de soirée, ou début de nuit, prend un bain un peu frais en attendant un miracle pour sortir de cette position un peu boueuse ces temps-ci, orage oblige.
J'en ai fait signalement au propriétaire déjà informé d'ailleurs.
Samedi en ville.
Quelques festivités locales, un peu niaises mais de bon ton.
La rue barrée pour s'adonner à des jeux de rue ma foi je ne suis pas contre, juste qu'on aurait pu attendre un peu plus tard afin de ne pas pénaliser les transports publics avant le dernier train mais ce n'est qu'une anecdote pas bien grave, sauf peut-être pour les usagers du train de nuit qui l'ont loupé, ces petits détails oubliés de la vie en société.
Maintenant ces derniers ont été un peu imprudents de ne pas prendre un délai raisonnable pour garantir une bonne appréciation des correspondances.
Par contre je déplore l'utilisation de nourriture pour s'amuser, comme je déplore le mécontentement par le gaspillage de lait, fruits et légumes, et autres conneries du genre.
Détruire des denrées alimentaires pour jouer c'est une insulte à ceux qui n'ont rien à bouffer et qui doivent parfois voler pour se nourrir, punissable bien sûr puisque c'est du vol, je me demande si les organisateurs de ces "jeux" accepteraient de donner quelques oeufs à un nécessiteux qui le leur demanderait !
Certains auraient besoin, une fois dans leur vie, connaitre n'avoir rien à bouffer pour mesurer la connerie de ces gaspillages.
Il y a longtemps, j'aurais bien aimé avoir quelques tomates, oeufs ou lait quand les vaches maigres d'après guerre étaient nombreuses et durables, quand on est gosse ça ne s'oublie pas. (Un de mes livres)
Incendie de car.
Le professionnalisme du chauffeur à permis l'évacuation des passagers et de leurs bagages.
Bien qu'extrêmement rares les incendies de car arrivent, par ces chaleurs dernières le matériel est soumis à rude épreuve en montagne même s'il est conçu pour ça.
C'est le système de transport qui reste pourtant le plus sécuritaire sur la route et sous nos latitudes.
Restons au chaud.
La chaufferie bois, utopie mégalomane de notre maire pas spécialement apprécié, pour faire des économies on investi dans l'économie qui coute cher.
Le sujet journalistique c'est bla bla bla et bla bla bla mais pour qui ne sait lire entre les lignes ça semble la panacé.
Alors on tartine sur les équipements hydrauliques qui, eux, effectivement sont écologiques et durables.
Par contre on évite le sujet principal de cette chaufferie utopique et polluante, sans tenir compte de la dégradation de l'image de la ville qui déjà en a pris un sacré coup depuis l'avènement socialiste de 2009, on occulte soigneusement les autres problèmes générés par cette chaufferie, elle va permettre de compenser l'équivalent - là est la subtilité du langage - de 6000 voitures par an, ce qui ne changera rien à la réelle pollution de Briançon par celles qui y circulent en permanence et de plus en plus nombreuses, polluantes faute d'un plan de circulation intelligent et d'un entretien routier inexistant à Briançon.
Notons bien la subtilité des écrits, on ne marque pas que ça supprime 6000 voitures on marque que ça va juste compenser une équivalence qui n'existe pas autrement que par les chaudières fuel mais on ne précise pas lesquelles et qui les gère.
On ne marque pas non plus combien de camions il faudra pour apporter le bois puis évacuer les scories, la pollution d'un camion, surtout conduit par des novices, c'est, dans l'année, plus que 6000 voitures, les fumées de combustion s'ajouteront à cette pollution, pas au début, après quelques années d'utilisation faute d'entretien, carence chronique de la municipalité actuelle qui nous prouve chaque jour sa totale incompétence en matière de gestion de maintenance et d'organisation de la circulation routière.
On en reparlera.
Les heures fatidiques.
Ces embouteillages générés pour plus de la moitié par l'indiscipline des piétons et l'anarchie qui règne en ville.
Pas de plan de circulation intelligent, pas de concertation, pas d'agent de la police municipale pour réguler le trafic, il est vrai qu'à ces heures ils ont terminé, la municipalité n'a pas les moyens de s'offrir les services de qualité de ces derniers à ces heures, ce qui est pourtant prévus dans l'imposition des contribuables.
Il est vrai que des impôts il n'y a plus grand chose qui s'y rapporte et qui pourtant les justifient, comme quoi tout est possible.
C'est tous les jours.
Ici ou ailleurs, il n'y a pas besoin de chercher, il suffit juste de constater là où on se trouve.
Bien entendu c'est ramassé, pas forcément le jour même ni suivant les secteurs, si la rue Pasteur voit passer la balayeuse plusieurs fois par jour c'est loin d'être le cas dans d'autres secteurs.
Et puis elle ne passe pas partout, rien ne remplace un balais et un employé efficace.
Sauf qu'à Briançon le personnel est déficient en quantité et parfois en qualité, ce qui rejoint mon article précédent.
Preuve municipale.
Les carences sont telles que pour prouver que la municipalité s'occupe de la ville - en dehors du coeur de ville qui déjà interpelle - on laisse les panneaux des travaux à effectuer plusieurs années après les avoir terminés, maintenant, sachant que les dégradations sont plus rapides que les réfections, il est sage de laisser en place ce qui risque de resservir, il ne faudra changer que les dates.
Si je lis bien la durée des travaux est prévue pour cinq mois au printemps 2013, ce qui fait déjà cinq années suplémentaires de persuasion afin de bien encrer dans les esprits que la ville s'occupe de ce secteur.
Ça fait donc six ans que ce panneau est en place mais comme c'est écrit en haut c'est classé monument historique, si c'est le panneau on peut comprendre qu'il y soit encore.
Et puis tout est question de compréhension, peut-être que certains personnels pensent qu'effectivement ce serait le cas, on peut donc aussi comprendre qu'ils n'osent pas l'ôter, il est parfois difficile d'analyser les écrits, alors quand c'est officiel !!!!
Une autre analyse.
Relevé sur Facebook il y a des champions, franchement, ce serait con de ne pas le souligner.
Je vous laisse apprécier l'échange. (Cliquez sur la photo pour l'agrandir.)
Maintenant, ça reste Facebook, des fois je me régale, ou suis complètement déconcerté, on y bat tous les records.
Craintes d'Etat ?
Ces dispositions laissent à penser que la population commence à s'armer pour les lendemains qui déchantent, la crainte de voir arriver à l'Elysée quelques excités armés induit des mesures ciblées.
Toutefois on ne parle pas de l'armement lourd et massif des banlieues chaudes ni des détentions d'armes clandestines de certains quartiers dit "difficiles", certainement tous connus des services de police - comme savent si bien l'écrire les médias quand il y a un problème - mais dans les zones de non-droit, ces pays étrangers qui se sont implantés en France avec leur statut spécifique, leurs règles et dans lesquels les services de police, justement, n'ont pas le droit d'aller, les hautes autorités leur interdisent.
Pourtant la pêche aux armes serait abondante et fructueuse.
Quand je serais Ministre de l'Intérieur je ferais le ménage.
Pardon ? Je ne serais jamais Ministre de l'Intérieur !
C'est dommage.
J'attendrais d'être Président de la République alors.
Pardon ? Je ne serais jamais Président de la République !
C'est encore plus dommage, moi je sais où sont les vrais parasites de la France et comment y remédier.
Fontaine François Premier.
Ou fontaine du milieu, ou fontaine des soupirs suivant les riverains.
Dans un état déplorable c'est l'image inverse de celle présentée récemment sur la page sucrerie du Dauphiné Libéré.
Elle ne débite de l'eau que rarement, il est vrai que maintenant elle fuit, toujours cette merveilleuse gestion municipale et l'abandon caractérisé de cette vieille ville par les autorités municipales.
Il fallait juste l'entretenir.
Fini les subtils jeux de lumières au fond de l'eau, les éléments sont détruits.
Tout comme les illuminations de nuit des forts, détruites aussi, d'après Mr le Maire actuel du temps de Mr Bayrou c'était du gaspillage électrique, pourtant ce dernier agrémentait la ville pour la plus grande satisfaction des touristes avec un budget moindre et des impôts moins élevés, à croire que le premier était certainement meilleurs gestionnaire que l'actuel, il est vrai que Mr Bayrou n'avait pas la folie des grandeurs et respectait ses administrés.
Briançon.
Le chantier des chantiers qui mettent le chantier dans le fonctionnement des briançonnais.
Projets de logements pour les vieux friqués à faire venir, projet de chaufferie bois, passage des divers éléments de chauffage, ajoutés aux travaux EDF et téléphoniques, puis d'autres encore, à croire que d'un seul coup on s'est senti le besoin de tout faire d'un coup.
C'est juste que le mandat du maire actuel touche à sa fin et qu'il est impératif qu'il commence des travaux que les successeurs seront obligés de finir, bien entendu il compte sur sa pouline, première adjointe actuelle, pour le remplacer à la tête de la ville, même fonctionnement, mêmes utopies, mêmes incompétences.
Ce sera aux Briançonnais de savoir s'ils veulent encore en prendre pour six ans, donc rajouter quelques décennies de dettes supplémentaires, parce que quand il va partir, l'actuel maire, je pense que question surprises financières ont va avoir du pas mal.
Evidemment pour satisfaire les promoteurs qui lui ont graissé la patte il se doit continuer d'envoyer la ville dans le mur, d'ailleurs, au coeur de ville, il y a un immense panneaux qui stipule "pour y vivre ou investir", ce dernier mot est parlant, peu importe que ce soit habité ou pas, l'impôt foncier est créé au détriment de la fonctionnalité et de l'environnement.
Et puis quand il était responsable des finances, sous le mandat De-Caumont, il a appris à dépenser sans compter, après tout l'argent du contribuable c'est inépuisable. Question urbanisme aussi, il a eut ses exemples quand Mr De-Caumont a rasé les casernes de la vieille ville pour y construire des HLM, il est vrai que ce n'était pas encore à l'UNESCO mais déjà classé, cependant, avec quelques combines, on fait ce qu'on veut.
Donc, notre maire actuel était à bonne école et puis question finances à l'époque il a aussi largement contribué au surendettement de Briançon puisqu'il en était responsable quand son mentor a plongé la ville dans la quasi-faillite, mais les jeunes briançonnais actuels ne le savent pas, ils payent seulement.
Alors cinq jours sur sept on subit les travaux et leurs nuisances incontournables.
Chantier du dimanche.
Là c'est tout le contraire, c'est un chantier qui ne fonctionne que le samedi et le dimanche avec aussi des retraités salariés, sans aune mesure de sécurité pour les "personnels" et ce du lever au coucher du jour, ce qui représente pas mal d'heures de nuisances pour les riverains, nombreux, obligés de fermer les fenêtres par ces chaleurs afin de minimiser les bruits de marteaux, appareils divers, défonceuses, perceuses, bétonnières, en plus des gueulements des gars qui se passent des consignes.
Ajouté à cela les gravas jetés sans ménagement dans des seaux de fortune qui sont d'anciens pots de peinture, les mêmes gravas jetés également sans ménagement dans la benne d'un camion, avec le tapage que cela occasionne, puis les heures de marteaux pour déclouer des planches de récupération de la démolition d'une réfection d'appartement, puis d'autres nuisances encore.
Une échelle sur laquelle quelques acrobates du dimanche risquent leur vie à passer des éléments qui devraient être manipulés par une grue sur un chantier normal, mais quand on a un chantier clandestins on reste discret visuellement.
Bref, que du bonheur pour les riverains qui aspirent à un week-end de repos.
Faisant preuve de diplomatie, et estimant que de la discussion jailli la lumière, je me suis rendu par deux fois auprès de ces gens afin de leur demander de modérer les nuisances sonores qui, je le rappelle, commencent à 8h00 pour se terminer parfois à plus de 20h30 directement sous nos fenêtres.
La première fois on m'explique que l'entreprise est justement sous nos fenêtres, sans autres explications ni quelques "regrets" pour les nuisances causées, le très bruyant décloutage a continué jusqu'à 20h00.
La seconde fois, ce dernier samedi, exaspéré d'entendre les gravas et les seaux métalliques alors que j'aspirais à une sieste rapide pourtant fenêtres fermées, je suis redescendu afin de demander à ce que les nuisances des jours de repos cessent, vertement accueilli j'ai promis d'envoyer du monde dans le cas contraire.
Le bordel ayant repris de plus belle ce dimanche j'ai donc appelé le commissariat, je me suis présenté, j'ai expliqué ce qui motivait mon appel et j'ai donné mon adresse afin de faire intervenir des agents pour raisonner les responsables, puisque la diplomatie a échoué, ces derniers sont intervenus, ont vu et depuis le silence est revenu.
J'ai eut un retour indirect, par la bande comme d'habitude, je suis un emmerdeur, je suis un enculé de connard qui empêche des gens non déclarés de travailler sur un chantier clandestin certainement non déclaré lui aussi - du moins ce que j'en déduit puisque la semaine personne n'y travaille, sur ce chantier - donc ne faisant pas l'objet de déclaration des personnels certainement payés au black mais je n'en ai rien à branler puisque c'est certainement aussi un chantier au black, donc des taxes qui passent à l'as, au détriment de nos impôts
Bref, j'empêche donc des gens de nuire aux riverains par du tapage très excessif les jours de repos, ce qui fait de moi une putain d'ordure, c'est un peu comme les racailles de banlieues qui font des représailles sur ceux qui se plaignent de leurs exactions.
Et bien je n'en ai rien à foutre et s'il faut recommencer je recommencerais parce que je n'ai pas l'intention de fermer ma gueule ni de baisser mon calbar face à ceux qui nous emmerdent.
C'est juste pour situer, si des fois des gens de bonne compagnie veulent savoir qui a appelé les flics, c'est moi.
L'exemple parfois dangereux.
C'est une évidence, même si un enfant, devenu adulte, réalise qu'il y a matière à infraction il persistera dans l'erreur par cet exemple parental qui l'influera plus que n'importe quel texte, officiel ou pas.
C'est ce que je constate localement quand je vois les infractions graves au code la route, les comportements dangereux que les parents ont en présence de leur enfants, la plupart du temps à bord des véhicules.
Mais aussi ailleurs, les parents qui se jettent sur la route hors passage "protégé" en tenant leur bambins à la main leur induisent sans même le réaliser un futur comportement qui peut être fatal à un gosse, comment expliquer à un enfant qu'il faut être attentif et respectueux des règles quand l'exemple parental est l'exact contraire.
De même que quand j'étais gosse ma mère nous faisait marcher sur le trottoir le plus près du mur afin de ne pas prendre le risque de se faire happer par un véhicule ou simplement ne pas descendre du trottoir au risque de se faire écraser. Quand je vois aujourd'hui des mères de famille laisser leur enfant au ras de la route, sans surveillance, je me dis que c'est miracle qu'il n'y ait pas plus d'accident corporels.
C'est tout pour aujourd'hui, la suite demain.
Bonne soirée à tous.
Pour me rejoindre, continuer à me suivre et partager ce blog, inscrivez-vous à la newsletter ci-dessous.