De tout en vrac 2

Après les briançonneries d'hier finissons avec celles d'aujourd'hui.

Puis du classique pourtant toujours nouveau.

Habituel.

J'ai été récemment interpelé, courtoisement d'ailleurs, pas un riverain qui m'a demandé pourquoi je cible les stationnements interdits.

Un peu surpris par sa question j'ai simplement répondu que je ne cible pas, j'ai mon appareil photo en quasi-permanence avec moi et je prends des photos au hasard de mes déplacements, j'en élimine la plupart et ne conserve que celles qui sont motifs à être exploitées et analysées.

Je lui ai donc expliqué que pour avoir du résultat, dans quel que domaine que ce soit, il faut des exemples, je doute fort que les habitués du stationnement interdit s'y intéressent mais au moins je tente, par là, une forme de pédagogie qui peut servir aux plus jeunes, puisqu'il y a pas mal de jeunes qui visitent mon blog.

On ne changera pas les mentalités, un boeuf reste un boeuf même si on lui demande de redevenir humain de temps en temps, par contre d'attirer l'attention des jeunes conducteurs sur les incohérences qui existent entre ce qu'ils apprennent à l'école de conduite et ce qu'ils voient journellement apportera peut-être une amélioration dans leur comportement à eux pour le bien de la société dans laquelle ils s'intègrent.

Considérant que ce sont toujours les mêmes qu'on retrouve aux mêmes endroits l'exemple de la connerie humaine expliquée par des images commentées aide à induire dans certains esprits que pour ne pas ressembler à un boeuf stupide et ignare il ne faut juste que respecter la société et ses règles, ce n'est pas plus difficile que ça.

Parmis tous ces jeunes beaucoup me connaissent de les avoir transporté un jour, la plupart me plébiscitent et m'apprécient, je ne suis donc pas dangereux pour la société sauf pour ceux qui s'en écartent.

Dans le cas présent ce sont les usagers du bistro du coin, marcher est pénible et puis le mur psychique qui sépare cet endroit du poste de police municipal empêche les agents de ce dernier d'être efficace, une autre forme de clientélisme mais nous ne sommes que dans une petite ville de haute montagne où la réglementation se raréfie comme la densité de l'air à mesure qu'on monte en altitude.

Ailleurs aussi.

Des touristes qui viennent encore certains ont vite réalisé qu'à Briançon on fait ce qu'on veut sans conséquence, pour ces derniers ils s'autorisent ce qu'ils se garderaient de faire dans leurs lieux de résidence habituel ou la densité de l'air est nettement plus conséquente ce qui entraine aussi une plus grande rigidité de la réglementation.

Là c'est continuellement, il y a bien un panneau d'arrêt interdit mais il y a, à Briançon, un virus très actif qui inverse les situations, c'est justement sous ces panneaux que stationnent ceux qui ne les voient pas, soit les panneaux sont invisibles et je suis le seul à les voir, soit ils ont cette particularité d'attirer par l'indication qu'il faut interpréter, stationnement interdit veut dire que c'est autorisé, les sens interdit c'est pareil, ça veut dire sens obligatoire autorisé par décision du maire bien qu'interdit par panneau municipaux, etc. etc..

A cet endroit c'est particulièrement dangereux...... pour les autres, ce qui, aux regard des contrevenants, n'a aucune importance.

Bref, une vaste rigolade, d'ailleurs, au lieu de gaspiller l'argent public à installer ces éléments supposés sécuritaires, on ferait mieux d'embaucher du personnel municipal, pas des agents de police municipaux parce qu'ils ne servent à rien, du moins pas dans l'objectif qui est le leur mais ils n'y sont pour rien, il faut voir ça avec le responsable de la police municipale de la ville, un des adjoints au maire. Un fonctionnaire de police se doit d'obéir aux ordres même s'ils sont contraires à la déontologie de sa profession.

En fait, quand je vais me présenter aux élections municipales, il est vivement conseillé de ne pas voter pour moi, en ville il y aurait du changement.

Indécrottable crétinisme ?

Non, mais marcher est pénible.

Quand j'ai soulevé le problème du stationnement en ces endroit il m'a été répondu que hors saison il y avait une tolérance, ce qui est là aussi contraire à la réglementation sauf si cette dernière est élastique et changeante fonction des heures, des lieux et des contrevenants.

Sauf que là, en pleine saison, on est en plein dans l'inverse de ce qu'on me dit, il est très rare que je puisse prendre une photo de l'endroit vierge de véhicule alors que la réglementation est très claire, et des photos de cet endroit j'en ai des milliers.

Maintenant, depuis que le maire à rendu privés les espaces publics en les réglementant par des dispositifs lucratifs, stationner pour se rendre chez soi revient cher, ce paradoxe qui consiste à pénaliser les riverains en les taxant un maximum pour avoir le droit de jouir de ce qui leur appartient.

Le parking privé public du Champ de Mars est donc boudé par ces gens qui, et là ils ont raison, refusent de se faire encore taxer alors qu'ils s'acquittent de la taxe d'habitation, de la taxe foncière et autres viciosités lucratives qui créent ces situations anarchiques.

Pour les camions c'est insoluble parce qu'il n'existe pas de dispositions permettant de livrer les commerces de la vieille ville alors que ce serait d'une simplicité infantile, je garde pour moi et mon programme municipal mes dispositions.

Donc, nos visiteurs encore courageux à venir malgré l'aspect rébarbatif de la ville, emmènent chez eux les différents panoramas briançonnais agrémentés des innombrables véhicules qui polluent visuellement ces panoramas.

Autre sujet.

Combien sensible, les transports scolaires par autocar.

Dès les années 1975 on a commencé à fermer des écoles dites "improductives", ces classes de petits villages où il fallait rémunérer des enseignants pour une dizaine d'élèves, comme l'élevage en batterie l'éducation en batterie se révèle économique même si elle en perd sa qualité, donc on ferme des écoles et, pour ne pas pénaliser les élèves de ces petits villages pour certains perchés à plus de 1600 mètres d'altitude, on a mis en place des transports gratuits pour compenser.

L'Etat, à travers ses collectivités locales et ses délégations diverses, veut faire des économies, alors non seulement on prive les habitants de ces petits villages de tout service public mais on les oblige à payer ce qui est mis en place pour compenser, c'est une arnaque flagrante et du racket d'Etat pur.

Là je salue les initiatives politiques locales qui montent au créneau pour défendre ces villageois, quelle que soit l'obédience politique de ces intervenant, le fonctionnement de la société doit s'exonérer de ces querelles politiques qui l'entravent. 

Ce n'est pas gagné.

C'est vrai que pour favoriser la côte d'Azur il faut du fric, alors on vide les poches des haut-alpins pour remplir celles de la côte.

Il est plus intéressant de construire un musée sur l'eau à Marseille que d'élargir le tunnel des Ardoisières par exemple, même si tous les ans des cyclistes y laissent la vie, ce tunnel creusé il y a plus d'un siècle, à la main, et ne permettant pas à deux cars scolaires de se croiser en sécurité, est le seul à être abandonné des autorités sur cet axe Briançon-Grenoble mais c'est aussi le seul qui est sous responsabilité de la région PACA, en fait, les Hautes-Alpes sous responsabilité de la région Rhône-Alpes aurait été plus logique compte tenu du contexte géographique.

Ce qui y aurait inclus le col du Lautaret qui serait mieux géré dans des circonstances climatiques difficiles.

Détruire pour construire.

Pour simplifier cette éducation nationale qui bat de l'aile, pour mieux intégrer nos "envahisseurs" analphabètes, on simplifie l'éducation mais en la nivelant par le bas, il n'est plus question d'intégrer des gens en leur apprenant la culture française si riche, mais en abêtifiant l'ensemble de la population afin de l'abaisser au niveau de nos envahisseurs.

Mais c'est aussi leurs demandes à travers leurs responsables haut-placés qui font des pressions sur nos dirigeants - qui ne dirigent plus rien d'ailleurs - afin de mettre la population française au niveau minable de leur inculture.

Pour construire l'islam français de demain il faut détruire la culture française pour instaurer la culture islamique. 

Parce que le vrai fond du problème il est là, pas ailleurs.

Une note d'appréciation.

On relève donc que de ces gens qui arrivent par centaines de navires par an ont la satisfaction d'être accueilli et dorloté, avec l'argent du contribuable mais l'article ne le mentionne pas.

Là est mis en avant un individu instruit voulant aller plus loin ce qui est louable pour lui, il souligne donc l'excellence du circuit d'accueil mis en place par diverses autorités locales et quelques associations subventionnées, on ne fait pas mention de ceux qui restent oisifs, des dizaines de milliers, juste occupés à ne rien faire d'autre que d'attendre les divers repas distribués, les vêtement donnés, les appareils téléphoniques offerts, et les activités que ceux qui les payent ne peuvent s'offrir, comme quoi au royaumes des cons tout est possible.

Pourtant, à Briançon on manque de main d'oeuvre locale, comme aux ST, occuper ces gens à se rendre utile serait plus bénéfique pour eux que de leur apprendre à ne dépendre que des autres.

Arnaques commerciales.

J'ai déjà fait quelques pages sur le sujet.

Dans le premier cas la différence est presque négligeable sauf que je n'aime pas qu'on se foute de ma gueule parce qu'à chaque fois que je me rends au rayon charcuterie de Leclerc j'exige qu'on défalque la tare du papier, les bascules sont systématiquement déprogrammées de cette tare alors que c'est obligatoire, il est anormal que le client soit obligé d'en faire état.

Même cette tare déduite il y a encore une différence de poids, sur un produit si peu cher c'est insignifiant, sur d'autre nettement plus onéreux c'est déjà palpable, sur la quantité délivrée chaque jour c'est un bénéfice de vol intéressant pour l'enseigne, puisque c'est du vol.

Dans le second cas c'est du fromage râpé, marque "CROISÉ", là aussi une différence insignifiante mais sur les tonnes de produits sortis chaque jour de l'usine l'arnaque n'est pas négligeable non plus.

Combien de consommateurs y sont attentifs ??

Élément rouillé.

C'est une des pièces centrales de la passerelles, sur la Durance, qui relie le Val Durance au quartier Sainte-Catherine, j'ai déjà écris quelques pages à ce sujet.

La rouille gonfle le métal qui se déforme, ajouté à cela les écarts de températures dues à la particularité de notre climat local, de moins vingt degrés au plus fort de l'hiver à plus de soixante degrés au soleil d'été, le métal travaille.

Je me demande jusqu'à quel point la rigidité de la structure va résister.

Attendons l'accident, comme d'habitude.

Quand on circule sur cette passerelle, on sent bien qu'elle bouge, c'est normal puisque c'est aussi la sécurité, mais quand ça bouge excessivement et que c'est dégradé c'est tout le contraire de la sécurité.

À quand les 70 km/h ?

Des fois qu'un tordu du gouvernement en ait l'idée.

Ce qui ne changera rien aux comportements criminels, un cinglé reste un cinglé, la seule sanction réelle c'est l'interdiction de conduire à vie, ça fera réfléchir les autres cinglés qui ne se sont pas encore fait contrôler.

Maintenant, si on réussi à maitriser tous les comportements anormaux sur la route le budget prévisionnel d'Etat, de plusieurs centaines de millions d'euros par an, va se réduire à rien, ça ne colle pas, il faut laisser les fous en liberté, ça rapporte plus que ça ne coute.

Donc influer sur la mansuétude de la magistrature pour laisser faire.

Je ne vais pas y revenir, j'en ai fait des romans.

Bonne journée à tous et à très bientôt.

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