Un hasard ?
Pas sûr.
Des journalistes qui se trouvent au bon endroit, au bon moment, soigneusement pris en charge par des autochtones c'est ce qu'on appelle un "projet".
On se défausse sur la Justice.
Il est vrai que depuis des années l'ambiguïté est reine.
Il faut savoir que des élus briançonnais sont favorables à l'entrée massive des migrants, savoir aussi que la municipalité de Briançon a gelé les budgets de fonctionnement et autres nécessités pour la ville alors qu'elle dépenserait 50 000 Euros par an et par migrant, ces derniers, dorlotés, logés, chauffés, nourris, habillés, équipés par la communauté pour déambuler oisivement, dans nos rues défoncées de manque d'entretien, en regardant aller bosser ceux qui les entretiennent par défaut.
La gestion municipale actuelle n'a plus grand chose à voir avec les promesses de campagne du maire actuel, mais quand on occupe une place permettant de baiser les autres on en profite.
L'immunité de la presse semble servir des causes parfois douteuses, mais comme c'est aussi la presse qui "gouverne", via les guignols qu'elle a permis de mettre en place, il est facile de se permettre tous les abus.
Comme le maire de Briançon, et d'autres, quand on occupe une place privilégiée on s'en sert, après tout ce n'est qu'un CDD de six ans, suffisant pour s'enrichir sur le dos des contribuables.
Ils ont votés !
Alors payons.