Briançon, les "cassoss" de la route. Où alors !!!!!
Chaque jour apporte sa petite touche de bizarre.
Sur la route, les bizarreries sont fréquentes, si fréquentes qu'elles sont devenues incontournables.
Au hasard de mes déplacements j'en relève certaines.
Des "cassoss" ou des criminels en puissances ?
Pour les premiers c'est insoluble, pour les second c'est un acte délibéré.
Il y a aussi des "professionnels" de la route, du moins se considérant comme tel.
Zone d'Activités Sud.
Briançon ce matin.
Les "cassoss" routiers.
Pour aller chercher du pain pas cuit et une tartelette pas plus cuite (Que j'ai laissé, on aurait dit un gant de toilette mouillé) chez "Marie Blachère", ou "Marie pas chère" ou "Marie trop chère" vu la dégradation de l'établissement ces derniers mois, j'ai été confronté à une situation routière étrange.
Un camion manoeuvre, je m'arrête pour le laisser finir sa manoeuvre, personne à ces heures et l'ayant vu au dernier moment je suis engagé sur la file de gauche.
D'un coup, en très peu de temps, 8 secondes exactement, une bombe arrive à fond de ballon face à moi, me fait des appels de phares agressifs en massacrant son klakson.
Je vais pour reculer mais un autre arrive derrière, le camion termine sa manoeuvre, quelques secondes à attendre.
J'ai eut droit à mes insultes quotidiennes, dans ce cas de figure je facilite les choses, je ne les complique pas par un comportement agressif.
Ce gars a parcouru 250 mètres en 8 secondes dans un secteur limité à 30 km/h, soit plus de 110 km/h si on prend en compte son temps de freinage.
Pas mal pour un samedi matin, il commence la journée par de la haine cet automobiliste pressé.
Jeudi soir, conduisant mon car scolaire, je ramenait l'accompagnatrice des petits de Pramorel vers la Caisse d'Epargne, lieu de dépose, avant d'aller chercher mes collégiens de Vauban.
Au cisaillement, de l'Avenue de Provence avec l'Avenue du Général Barbot, je laisse passer les véhicules venant face à moi dans ce secteur, limité à 30 km/h pour seulement 2% des automobilistes.
Plus personne en face je m'engage, à gauche donc et coupe la route d'en face comme c'est l'usage dans ce secteur abandonné de l'équipement départemental et de la municipalité.
Arrive un gars en tenue de moniteur de ski du coin, appel de phares et aboiements que je n'entends pas mais que je perçois.
L'accompagnatrice est restée sidérée de ce comportement limite psychiatrique, ce gars arrivait dans un véhicule roulant à vive allure, au lieu de gentiment ralentir, le contexte routier du secteur ne permettant pas de tourner à gauche en toute sécurité.
Elle a constaté, comme moi, le faciès de dégénéré de ce "chauffeur" le visage défiguré par la haine routière, une maladie très grave de la société automobiliste et extrêmement contagieuse, surtout en soirée.
Me rendant à "Les Alberts".
Les criminels de la route.
Je suis à 90 km/h au régulateur, depuis le début du Champ de Mars je suis talonné par un véhicule que je ne détermine pas, comme je suis un putain d'emmerdeur qui respecte les vitesses, donc classé dans la catégorie des anormaux de la route, il me colle au cul pour que j'aille plus vite.
C'est à dire l'exact contraire de ce qu'il faut faire dans ces conditions, la distance de sécurité réduite à néant.
Il me suit comme çà un bon moment, toujours collé au cul de ma voiture, jusqu'à cette fameuse mini ligne droite au droit de La Vachette, la piste d'accélération des cinglés de la route qui prennent de l'élan (Inutile à cause des virages) afin de monter le col du Montgenèvre.
Il me double en montant sa vitesse à 120/125 km/h pour me faire une queue de poisson, le véhicule venant en face arrivant également assez fort.
Dans ce secteur qui comporte deux accès de La Vachette par la gauche dans ce sens de circulation, c'est une pratique dangereuse.
C'est là que je constate la raison sociale de ce très pressé, "Taxi Vallée" de serre-Chevalier, en 5 secondes il m'a doublé alors que je roule à 90 km/h en prenant le risque d'obliger le car qui arrive en face à ralentir, voire à freiner pour éviter la collision.
Ce malade a donc mis en danger son passager-client, moi-même, les passagers et le chauffeur du car qui arrive en face.
Par définition un chauffeur de taxi c'est un professionnel de la route, comment doivent être les autres !
Je marque sa raison sociale puisque de toutes les façon son comportement est remarquable à tous les niveaux, pas besoin de préciser donc ni de faire de la "délation" comme certains se complaisent à en tirer des conclusions hâtives, il se fait sa contre-publicité tout seul.
Je me demande, s'il lit mon blog ou s'il a échos de ma petite page, s'il ne me balancera pas volontairement un jour histoire de m'envoyer dans les décors, on dit aussi "représailles", parce que quand on se comporte comme un criminel de la route on est classé dans les criminels, donc potentiellement capable de provoquer un accident volontaire, c'est courant et parfois mortel.
Mais ! Ai-je l'autorisation d'en faire état ?
Non, c'est quand l'accident à eut lieu qu'on se lamente et qu'on cherche les causes et les responsabilités, jamais avant qu'il y ait des morts et des blessés, les journaux locaux en regorgent.
Je vais encore me faire mal voir et m'attirer les foudres de ceux qui se sentent concernés, je n'en ai rien à branler, j'ai des enfants, des petits enfants, des amis, je ne tolère pas que quelques abruti(e)s s'appropriant la route mettent en permanence leur vie en jeu.
Je suis vraiment une grosse pute de casse-couilles.
A bientôt pour une page "mes boulots".
Bonne journée à tous, bonne fin de semaine et gaffe sur la route, les fous sont de sortie.