Le temps perdu
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Dommage que les jeunes d'aujourd'hui, formatés,
ne connaissent pas ce temps de l'insouciance et du bonheur
C'était il y a mille ans, quand on n'était pas encore soumis, pressurisés, taxés à outrance, qu'on pouvait sortir à n'importe quelle heure sans crainte.
Certes tout n'était pas rose, mais rien n'est rose.
Imaginez un seul instant, en camp de vacances, éplucher des patates en pleine nature, sans normes à la con qui ont tué la vie pour en faire une prison.
Et pourtant devinez quoi ? On a survécu.
J'étais "artiste" de cabaret, à Pigalle, sans contrainte, sans remords, sans pudeur ni honte.
Il n'y avait ni noir, ni islamiste, ni jaune, ni blanc, il y avait une communauté d'humains qui vivaient ensemble.
Époque où servir son pays avait de la valeur, fier d'en être de cette armée au service de la France, pas aux services des va-t-en guerre étrangers.
Pour sûr que nous n'avions pas les facilités de maintenant, on ne se connectait pas avec le monde entier instantanément, et c'est justement ce qui est valorisant, découvrir par soi-même des rêves inassouvis, pour qu'ils restent des rêves.
Nous étions libre sans être pisté 24h00 / 24h00 informatiquement.
Et tant d'autres moments de liberté.
Bonne journée à tous, le pire est à venir
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