Et s'ils étaient dans l'erreur !
Le savoir n'est pas une science exacte mais
une remise en question permanente
Astrophysicien
Un métier très intéressant, toutefois on s'interroge sur la qualité de ces gens comparativement au ridicule salaire qu'ils perçoivent.
Pour être astrophysicien, et être admis dans ce cercle relativement fermé, il faut procéder un Master en physique fondamentale.
Traiter de la matière fondamentale laisse entendre qu'il faut étudier cette matière quelque soit sa constitution, ce qui est à supposer qu'il faut faire des études poussées pour étudier ce qui nous entoure et ce qui est naturel, pourtant étudier ce qui nous entoure c'est à la portée de tout le monde, à condition bien entendu d'en avoir quelques notions et un minimum d'instruction.
J'ai une certaine admiration pour Stephen Hawking concernant ses travaux, mais surtout ses déductions qui ont un peu bousculé le monde scientifique de l'astronomie, parce qu'à partir de là on réalise qu'il n'est pas forcément nécessaire de passer par des voies compliquées pour avoir des déductions qui tiennent la route.
J'ai beaucoup apprécié son expérience d'inviter des gens dans le passé en tablant sur le futur, c'est très poussé ses déductions, incohérentes elles ont pourtant une finalité, celle de dévoiler ce qu'on ignore.
Si petit et insignifiant que je sois je m'intéresse aussi à l'astronomie, en réalité je m'intéresse à beaucoup de choses, surtout à ce qui laisse des questions en suspens.
Accroc de mystères.
Sur YouTube je suis avec attention tous ces internautes qui tiennent la route et qui traitent de l'astronomie, même si certains frisent le fantaisisme on a déjà constaté, par le passé, que certains "fantaisistes" étaient finalement détenteurs de résolution desquelles personne n'aurait parié un liard.
De ces youtubeurs, comme on dit, il y a "Balade Mentale", "AstronoGeek", Hugo Lisoir avec "DNDE", et d'autres, il faut prendre ce qui est dit avec circonspection parce qu'eux, comme moi et d'autres, sont aussi à la recherche de ce qui peut changer dans l'évolution de l'astronomie.
Mais il y a aussi la lecture, s'intéresser à la physique quantique permet d'aborder des sujets qu'on imagine compliqués, à relire plusieurs fois pour comprendre, comme pour tous les livres en fait, du moins ceux qui tiennent la route.
Par définition j'aime bien tout ce qui pose question, surtout si personne n'a de réponse, ou alors des réponses hâtives et décalées histoire de donner un sens à ce qui n'en a pas.
Moi ce qui m'interroge c'est le mystère de la matière noire, tout comme les certitudes scientifiques qui prouveraient que les déplacement de la lumière, ces photons qui seraient sensibles à l'environnement qu'ils traversent, n'est pas une exactitude mais une supposition un peu "hâtive".
Les scientifiques affirment que la lumière se déplace presque à la vitesse de 300 000 km à la seconde, ce dans le vide sidéral.
Moi je veux bien mais il va falloir remettre en question le fameux sujet de la matière noire, donc le vide sidéral, parce que qui dit matière dit atomes, donc fonction de la composition des atomes on constate que ces derniers ont le pouvoir de transformer ou/et d'être transformés par ce qui les traverse ; donc affirmer que la vitesse de la lumière serait immuable dans le "vide" cosmique, mais en même temps s'interroger sur la matière qui tient stable l'ensemble de l'Univers, ça ne cadre pas.
Qu'on détermine un "déplacement" de photon sur une courte distance, comme du Soleil à Pluton, on peut effectivement conclure d'une théorie fiable avec une marge d'erreur presque inexistante, mais sur des dizaines de milliards d'années lumières les calculs n'ont plus de valeur réelle, juste une base discutable.
Quand j'écris composition moléculaire atomique c'est inexact, parce qu'en fait c'est l'inverse, c'est juste pour expliquer qu'une composition atomique à une masse, si infime soit-elle, qui dit masse dit obstacle, donc le vide sidéral ne serait pas aussi vide que ça puisqu'on suppose une matière noire qui régirait le mouvement cosmologique universel.
De là à remettre en question la vitesse des photons il n'y a qu'un pas que je franchis, donc déterminer un âge cosmique en se référant à des critères qui sont "discutables" ça laisse supposer que l'univers n'aurait pas l'âge qu'on veut bien lui donner
Personnellement je ne crois pas au Big-Bang, je ne crois pas non plus que l'univers ait un âge parce que parler d'infini c'est contraire à une durée, le temps n'étant que le déplacement d'un objet dans l'espace, nous concernant notre système solaire dans un espace dit, mais comme cet espace est infini il devient difficile de savoir où est l'origine et où serait la finalité.
Pour calculer le temps il faut un départ et une arrivée, comme l'infini n'a ni début ni fin on ne se réfère qu'à ce qui nous entoure, le cosmos et ses galaxies qui s'éloignent ou s'approchent les unes des autres, en effet à partir du moment ou on a un point de repère on peut parler de vitesse, donc de temps, puisque le temps c'est la vitesse.
Pour être plus clair, on estime l'âge de l'univers en se basant sur notre place par rapport à cet univers, hors une civilisation qui se trouverait au bord de notre univers connu aurait également une mesure définie par rapport à sa place, donc à 13,5 milliards d'années lumières de nous, mais de l'autre côté il y aurait donc également 13,5 milliards d'années lumières, puisque par définition on calcule l'âge de l'univers par rapport à la vitesse de cette dernière.
Si, comme le disent certains scientifiques, à partir d'un moment donné l'extension de l'Univers serait plus rapide que la vitesse de la lumière, du moins la vitesse qu'on lui attribue, la lumière des galaxies au-delà de cette limite d'expansion ne nous parviendra jamais, mais là aussi je suis dubitatif.
Toutefois l'existence de la matière noire doit remettre en question la vitesse de la lumière, donc les distances.
En réalité, entre cette dite civilisation et la notre, leur univers cumulé au notre donnerait un univers commun de 27 milliards d'années lumière, en supposant une autre civilisation à la bordure de l'univers de la précédente il va falloir rajouter 13,5 milliards d'années lumières, et ainsi de suite à l'infini.
Tout comme l'infiniment petit l'infiniment grand n'existe pas, l'explication rationnelle serait que la jonction des deux résoudrait ce casse tête qui ferait que les univers seraient infinis, le contenant étant le contenu devenant de ce fait le contenant.
Incompréhensible ? Pas sur, il ne suffit que de prendre en compte les différentes dimensions, pas celles basiques qu'on connait, mais les autres, celles que nous ne connaissons pas mais qui régissent le fonctionnement universel, la combinaison de toutes ces dimensions c'est la clef de notre existence et de notre destination, mais là non plus il n'y a pas de destination, puisque notre destination c'est notre origine ; ce retour à l'existence primordiale répondrait en fait à toutes ces questions.
C'est d'ailleurs sur cette base que les scientifiques expliquent le Big-Bang et le Big-Crunch futur, ce qui, dans mon intime conviction, n'est pas possible.
Les savants et la seule réelle vérité.
La vérité scientifique n'existe pas, ce serait interrompre l'évolution de prétendre savoir ce qui va encore changer.
Adapter un contexte fonction de l'évolution c'est une évidence, toutefois rien n'est immuable, d'ailleurs depuis l'avènement des temps modernes on se remet de plus en plus en question.
Les grands philosophes ont posé des bases, celles de l'observation et des déductions qu'on en tire, mais ça ne fait pas tout, en fait ça ne fait rien, ces gens n'ont fait que nous confier des clefs de mystères à découvrir.
L'observation, la déduction, n'appartiennent pas à des élites scientifiques mais à tout le monde, n'importe qui peut être en possibilité d'avancer des théories, sauf que ces théories seraient réfutées parce que n'émanant pas de scientifiques, comme si la science n'appartenait qu'à ceux qui s'en arroge la possession ; c'est comme en politique, un politicien se donne le droit d'avoir raison même s'il a tort, parce qu'en tant que politicien il s'arroge l'exclusivité d'avoir raison.
Personnellement je devine que le voyage de la lumière n'existe pas en tant qu'élément en mouvement, tout comme l'électricité ne circule pas dans les fils comme le laisse supposer l'expression courante, ce n'est que l'excitation des atomes qui transmettent aux autres atomes cette excitation mais en restant à leur place. De là prétendre au transport de l'électricité c'est une erreur grotesque, mais ça permet à EDF et autres de faire payer ce qui n'existe pas.
Quand un astre lointain réagit, de diverses façons, explosions d'étoiles, quasars et autres, il n'est pas impossible que ce soit le même effet, donc les photons qui se bousculent dans l'univers en agitant la matière noire qui agit par excitation d'atomes sur la distance.
Maintenant quelle distance ? Si la matière noire a une masse, ce qui parait indéniable, elle a donc le pouvoir de ralentir ces excitations, tout comme un fil de cuivre en continuité d'un fil d'aluminium ne transmettra pas l'électricité à la même vitesse.
De là aussi savoir que les galaxies semblent concentrer une masse importante de matières noires, cette matière semble plus dense à l'approche des astres que dans le "vide" intergalactique, donc une résistance aux photons qui influe sur la vitesse de la lumière.
Les distances cosmiques sont calculées par les différences de rayonnements, vers l'infrarouge c'est l'éloignement, vers l'ultra-violet c'est le rapprochement, c'est ce qui permet de calculer que la galaxie d'Andromède percutera la notre dans quelques centaines de millions d'années. J'ai hâte de voir ça.
Déjà on commence, dans le milieu scientifique, à s'interroger par les découvertes du télescope James Web, remettant en question l'âge de l'univers en découvrant des signaux qui seraient plus "vieux" que le Big-Bang. (Auquel je ne crois pas du tout parce que c'est incohérent)
La théorie des cordes.
Le paradoxe de cette théorie c'est qu'elle ouvre (enfin) la logique du recommencement, ce que réfute la théorie du Big-Bang, pourtant le recommencement c'est la logique universelle de la continuité par le retour aux origines, des exemples nous en avons des milliers en permanence autour de nous.
La relativité générale, développée par Albert Einstein au début du XX ème siècle, reprend la gravitation universelle d'Isaac Newton, par cet exemple le premier met en évidence la déformation de l'espace-temps, donc la mise en évidence d'une matière noire qui aurait la fonction de maintenir les astres en place par rapport à d'autres, la déformation de l'espace-temps c'est donc la résultante de la gravitation par rapport à la masse, donc aussi le pouvoir de déformer la vitesse fonction de l'importance de la gravitation.
Les lentilles gravitationnelles déforment l'espace temps, donc déforment aussi la vitesse de la lumière, un peu comme l'aile d'un avion modifie la vitesse de l'air qui crée la sustentation permettant à l'avion de s'élever et de quitter le sol.
Il en va de même pour la lumière qui ne met pas le même temps, sur une même distance, fonction de l'obstacle qui la dévie, et là c'est très intéressant parce qu'on découvre que les distances ne sont pas celles qu'on imagine,
Les découvertes transforment les certitudes en suppositions, les suppositions sont balayées par d'autres certitudes qu'on remettra un jour en question et qui deviendront à leur tour des suppositions.
On dit aussi évolution.
L'univers n'a ni début ni fin, il n'est que le contenant de son contenu multiplié par des milliards, voire des billiards de billiards à la puissance infini de zéro, incalculable puisqu'infini, chaque infimes particules de l'univers est en fait un univers multiplié par le nombre contenus dans son contenant, ce dernier étant absolument incalculable.
Ça parait complètement dingue mais c'est pourtant la plus plausible des théories et celle qui résoudrait l'infini fini indéfini.
Du moins c'est ma théorie, parce qu'il ne peut y avoir de définition cartésienne pour expliquer ce qui parait inexplicable. Si un jour des "scientifiques" s'interrogent sur cette théorie, qui n'est que mienne et au premier abord farfelue, ils seront à même de constater que c'est la seule à expliquer que l'infiniment petit est également l'infiniment grand.
Quand on aura découvert l'infiniment petit nous aurons découvert l'infiniment grand, et inversement. Mais ça c'est impossible à nos connaissances dans notre dimension.
Aujourd'hui on commence à remettre en question des théories datant d'un siècle, les devinant fausses ou tronquées, il est à considérer qu'à l'époque où elles ont été révélées elles avaient valeur de repère et de certitude à la hauteur des connaissances d'alors, on ne peut donc pas dire que des scientifiques se soient trompés mais qu'il ont ouvert une porte sur une inconnue à prendre en compte et à élaborer.
Si vous apprenez un jour que je suis interné c'est peut-être parce que ma théorie interroge ceux qui ne cherchent pas à comprendre.
Sur cette déduction toute personnelle je vous souhaite une bonne fin de journée.
Demain du plus terre à terre, l'immigration et les questions qui se font de plus en plus jour.
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