Briançon, ville "touristique"
La parade sans la parade
La parade municipale.
Ces images qui mettent en avant la municipalité, voulant induire dans les esprits que la ville fait tout pour ses administrés.
Ce n'est pas exactement ça, la ville fait tout pour les promoteurs et les investisseurs, par contre ça n'apporte absolument rien aux administrés, du moins au commun des administrés, puisqu'il y en a quelques-uns qui en tirent profit et "notoriété".
Ce n'est pas une gestion saine et équilibrée, c'est la parade médiatique de ceux qui aiment se mettre en avant pour tenter de faire croire qu'ils œuvrent pour les briançonnais, ce qui est faux.
Il faut donc bien différencier les deux mots parader et parer.
Parc Jean Rousson.
Tout neuf, aux coût encore inconnus mais ça fait partie de la liste des factures dont j'entends obtenir les copies, certifiées originales, dès Septembre, de la municipalité, ce afin de faire comparer par des contrôles autres que ceux dits officiels.
Parce que l'argent des briançonnais, qui ne sert pas beaucoup à améliorer leur quotidien, semble ne pas suivre la voie pour lequel il est levé.
Ce parc, donc, dont les travaux ont duré presque une année, est accessible au public, pourtant il y a des points qui achoppent, et pas des moindres.
J'avais fait état de quelques désordres sur les éléments de jeux enfantins, au lieu de remplacer on a bricolé quelques dégradations naturelles, dues au temps, sans nettoyer les éléments, comme ce toboggan, mais surtout sous le toboggan.
Peut-être que les balais ne sont pas étudiés pour aller en ces endroit !
Bref, ça fait un peu urgences et négligences qui semblent chroniques dans cette ville qui fait semblant.
Le mur de l'Atlantique.
Créé pour y faire passer une piste cyclable, qui n'est que peu utilisée vu le nombre impressionnant de cyclistes qui continuent à circuler sur la chaussée de la rue Jean Moulin, surtout des touristes — mais aucune signalisation n'est visible pour les inciter à utiliser ce qui a couté si cher — ce qui a occasionné quelques dégradations sur les éléments de camouflage et de décoration.
Il y a sept ans j'avais mis en avant les dommages causées de l'autre côté de ce pont, sur ces mêmes éléments, suite à décharge énergique de la neige, pardon de la glace — puisqu'à Briançon on attend que ce soit devenu de la glace pour enfin s'en occuper — par dessus la rambarde, enfonçant de ce fait les mêmes éléments en tôle qui, depuis, sont restés en l'état, ce qui dénote de la part des responsables un déficit intellectuel palpable.
Je pense qu'à cet endroit ce sera la même chose, puisqu'entre prendre conscience — encore que ce mot soit désuet dans ce cas de figure — d'un fait, le porter en "haut" lieu, pour qu'une décision soit envisagée, soit environ quatre à cinq années de réflexions, pour que des ordres soient donné afin pour y remédier.
Il est à coup sûr certain que ce qui est aujourd'hui à parer, à moindre cout, aura pris une ampleur telle qu'il faudra remplacer à des couts exorbitants, mais heureusement la tirelire fiscale inépuisable sera là, une fois de plus, pour compenser l'incapacité intellectuelle irresponsable de quelques élites de la ville.
Qui sait même si d'ici là la municipalité n'aura pas encore une fois changé de couleur politique.
Pas besoin d'intempérie.
D'ailleurs à Briançon il y a pas mal d'endroits qui laisserait à supposer que ce soit le résultat d'intempéries ; que nenni, à Briançon il ne suffit que d'un, ou des, véhicule pour pousser les cailloux de protection à bas.
À cet endroit, qui est privé mais public — comprenne qui pourra — un peu tout le monde s'y pose ou y fait demi-tour, les conséquences sont là.
Il y a un grillage, fait pour en interdire l'accès, emporté par le poids de ce cailloux, ce qui a tout de même évité sa chute dans la Durance.
Bien entendu ça reste tel quel. (Encore que je ne suis pas allé vérifier, ce que je vais faire ce jour, ou peut-être demain, cela y sera certainement encore)
Si encore ces détails restaient localisés, ce serait moindre mal ! Sauf que le problème, dans cette ville en ruine qu'on camoufle pour faire semblant, c'est que c'est un peu partout la même chose.
M le Maire, aux multiples casquettes diverses dont il ne peut s'occuper, sauf avoir des journées de 72 heures, subventionnées ou indemnisées sans être assujetties à l'impôt, n'a pas encore eu le temps d'en entreprendre au moins une, la principale, l'entretien et la remise en état de la ville ; maintenant, si ça ne lui rapporte que 6 000, 10 000 ou 12 000 euros par mois (J'extrapole) c'est loin de suffire pour assumer toutes ces casquettes diverses prenant trop de temps, raison pour laquelle il y a les subordonnés pour s'en occuper, salariés ceux-là, donc soumis à l'impôt.
Bien sûr ça ne va pas lui plaire, surtout qu'il va recevoir M Lemaire, individu d'État fantoche qui a été propulsé dans quelques postes à responsabilités, là également largement subventionnés mais également net d'impôts.
Normal, d'ailleurs, puisque les impôts sont en partie utilisés pour payer ces dites subventions.
On rémunère donc des incapables pour occuper des postes qu'ils sont incapables d'assumer faute de temps, mais aussi de matière grise.
Concernant M Lemaire, ministre à triple casquettes également, on connait ses élucubrations diverses, mais surtout ses lacunes, de toute façon là aussi il y a les subordonnés pour s'occuper de ce dont pourquoi ils parade sans pouvoir parer, juste donner des ordres, ce qui est bien subventionné.
À suivre.
Bonne journée à tous.
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