Briançon et autres choses
De l'utilité des images.
C'est fait.
Parfois un simple signalement suffit, il est juste presque obligatoire de le faire à la place de ceux qui sont censés le voir.
Ma page "De tout" du 6 Mai.
Là ce n'est pas fait.
Ce n'est pas frais non plus, donc il y a négligences.
Malheureusement c'est chronique dans cette vieille ville et particulièrement dans ces rues un peu oubliées.
Non que les services chargés du nettoyage n'y soient pas attentif - quoi que ! - mais surtout la résurgence permanente des comportements débiles de débiles, quelques échantillons en vieilles ville, certains dit "cas sociaux" qui sont effectivement des cas mais surtout associaux.
On en a de plus en plus à Briançon, mais ailleurs aussi.
En fait le nouveau statut salarié d'assisté chronique de l'Etat permet toutes les audaces en exonérant de toutes retenues et du minimum de respects. C'est le plus gros employeur de France, ces spécialistes du travail invisible.
C'est aussi une pompe aspirante à SDF professionnels payés par l'Etat pour ne rien faire d'autre que donner du travail supplémentaire aux services chargés de leur torcher le cul et ramasser leur merde.
Ces services municipaux, déjà drastiquement réduits de personnels, sont utilisés à ces tâches ingrates, donc manquants là où ils seraient plus utiles.
De là à dire.....
Qu'ils seraient peut-être aussi responsables de certaines dégradations il n'y a qu'un pas.
C'est la même rue qui n'a pas le même nom, un peu plus haut, utilisée par les noctambules ayant une perception des autres différente selon l'heure de fermeture des établissements de boissons proches.
A première vue on pourrait incriminer les déposants de publicités, celles qui blindent les boites aux lettres inutilisées, là non, il semblerait que quelqu'un ait tiré dessus.
C'est un exemple unique à cet endroit mais c'est courant dans la presque totalité de la ville, ces dégradations qu'il faut ajouter aux divers graffitis et autres auto-collants voulant défendre de bonnes causes sauf la seule qui serait la mieux vue, le respect des autres et de leur propriété.
L'exemple municipal.
Certes, cet endroit n'est guère usité, on peut le comprendre, un chemin de ronde qui serait attractif s'il était entretenu, j'en aie déjà faites quelques pages sur ces dernières années.
Alors forcément, ces lieux délaissés étant aussi ceux qui sont les plus prisés de ceux qui négligent les autres, savoir si c'est délaissé parce que c'est mal fréquenté ou si c'est mal fréquenté parce que c'est délaissé.
Un peu comme l'oeuf et la poule.
Cacatoir de la vieille ville.
Un cacatoir pourrait aussi s'appeler un merdoir, ou un endroit très prisé des chiens, accompagnés ou non, qui viennent y déféquer.
A la ville on appelle ces endroit des caniparcs, spécifiquement réservés aux défécations canines, il y en a un officiel près de la passerelle sur la Durance à Sainte Catherine, vous savez cette passerelle rouillée de trop d'entretien.
Maintenant c'est déjà un point positif, juste savoir comment c'est entretenu, je ne surveille pas pour écrire un article.
On remarquera aussi l'état des murailles, certes là aussi c'est un endroit où personne ne vient en dehors des chiens, pourtant le point de vue sur la vallée et sur la ville est un des meilleurs, aménagé et entretenu les touristes apprécieraient.
Il y a une échauguette qui sert aussi de latrines occasionnelles, mais là aussi on ne peut rien faire, surtout quand on constate que si les chiens ne réalisent pas là où ils déposent, les humains, en principe, le savent.
Certainement des brumes de certains soirs ou peut-être pour accompagner le chien dans ces délices libératoires.
Pourtant !
On peut laisser à la municipalité de s'attaquer au problème, ces dispositions sont une excellente chose, juste savoir si les contrevenants se font "piquer" en flagrant délit et si c'est réellement réprimé, on n'a pas de retour officiel en ce sens, ce qui serait pourtant aussi une bonne façon de marquer les esprits, de savoir que certains se font verbaliser pour ce genre de cause inciterait à faire réfléchir ceux qui se sentent totalement impunis et libres de continuer à emmerder les autres. (Un petit article dans la page sucreries du journal local que pourrait faire insérer la municipalité)
Il y a plusieurs façons d'emmerder les autres, sans chien, sans peinture à graffitis et sans se faire voir.
Juste du bruit.
Pas n'importe quel bruit, il y a des bruits inévitables qu'on doit accepter parce qu'ils font partie du fonctionnement de la société.
Il y a les bruits évitables d'un simple geste et résultant d'un minimum de bon sens et d'éducation, voire parfois d'intelligence.
Ce n'est pas le cas de ce chauffeur qui livre à 5h40 du matin dans une cour sur laquelle donnent une quinzaine de logements.
Bien entendu il faut livrer, bien entendu il faut manoeuvrer pour se mettre dans cette cour et pour en sortir, on ne pousse pas un camion à la main pour ne pas réveiller les riverains.
Bien entendu c'est un camion frigo qui doit garder dans sa caisse réfrigérée une certaine température, donc un équipement qui gère cette température.
Sauf que quand on reste 25 minutes au même endroit sous des fenêtres de riverains en laissant tourner son moteur je me dis qu'il y a quelque chose que ce chauffeur ignore, c'est qu'il n'est pas seul au monde et s'il travaille - ce qu'on entend souvent de ceux qui livrent, comme si les autres ne branlaient rien - ses heures ne sont pas celles des autres, je connais.
Qui plus est quand il fait 9° dehors la caisse, réfrigérée, ne risque pas de se réchauffer d'autant que les systèmes de préservation du froid, dans ces camions, permettent de rester plusieurs heures sans nécessairement laisser tourner le compresseur du frigo, je connais aussi.
Donc, soit c'est un imbécile qui ne réalise pas qu'il fait chier des dizaines de personnes, soit c'est un débile mais le fait de posséder un permis de conduire tend à prouver le contraire, soit il a mal aux doigts et ne peut pas tourner sa clef de contact qui maintient en route son moteur, dans un sens comme dans l'autre, soit c'est un connard qui n'en a rien à branler des autres - je travaille, moi - et qui les emmerde superbement.
Mais bon, il n'est pas le seul à agir de la sorte en provocateur, en vieille ville ce ne sont pas les livreurs tout aussi "débiles" qui manquent, ceux qui ne peuvent pas tourner une clef dans un sens puis dans l'autre, ce ne sont pas les "gargouillards" qui me contrediront.
Comme je constate aussi très souvent, surtout devant les commerces "rapide" - tabac, boulangerie - les moteurs qui tournent alors que le conducteur, ou la conductrice, est à faire ses rapides emplettes, j'en ai déjà interpellé certains, faisant fi de la vindicte et des insultes à mon endroit je leur fais remarquer gentiment qu'en tournant une clef on arrêtait le bruit et on stoppait la pollution. Et bien une fois une m'a répondu que c'était chiant de tourner la clef, comme quoi !!!!
Comme quoi aussi dans une société l'effort de chacun pour tous comme les efforts de tous pour chacun permettrait de voir la vie de plus belle manière.
Je sens que je vais encore passer pour un vieux con mais je n'en ai rien à branler (enfin si, encore un peu de temps en temps).
On en prend pour dix ans.
Donc rien de neuf puisque ça fait déjà cinq ans que ça dure et nous n'en sommes qu'au début.
Ce qui perturbe le plus ce sont ces réouvertures de tranchées, savoir s'il y a concertation entre les divers intervenants ou si chacun ouvre au petit bonheur fonction de ce qu'il a à enfouir.
J'avais émis l'idée, il y a maintenant sept ans, d'anticiper des éventuelles interventions diverses afin de passer telle ou telle installation en prévoyant des conduites sèches à utiliser ultérieurement, ce qui occasionne une ouverture de route mais une seule fois, certains secteurs de la ville se voient éventrés pour la troisième, voire la quatrième fois en même pas trois ans aux mêmes endroits avec les nuisances qui accompagnent.
Sachant que pour la chaufferie bois il y aura la noria des camions, en centre ville, pour alimenter cette chaufferie, puis pour évacuer les résidus, les commerçants impactés aujourd'hui ne sont pas au bout de leur peine.
Ce que beaucoup ignorent c'est l'augmentation des déménagements dans ces secteurs et la réticence des candidats au logement à venir y habiter, il n'y a pas que les commerçants qui "souffrent".
Autant de travaux en même temps ça interroge, ce qui va interroger dans les années à venir ce sera la note finale, si Mr De Caumont est parti en laissant une grosse ardoise aux générations successives briançonnaises, il est fort probable que ce scénario se répète dans peu de temps.
D'ailleurs le maire actuel en est conscient, quand il était adjoint à Mr De Caumont il était aussi responsable des finances, rapidement démissionnaire quand le vent financier de la ville a commencer à souffler du mauvais côté, ce que presque tout le monde a oublié.
Autres nuisances bi-hebdomadaires.
Le casse-tête du stationnement.
Ce secteur est aussi impacté par des constructions, le marché est "provisoirement" installé rue Centrale, place de l'Europe et partiellement place Gallice Bey, ce qui neutralise les rares places de stationnement en générant des problèmes puisque les commerçants ambulants doivent aussi garer leur véhicule.
Ce qui pose quelques problèmes aux riverains et aux visiteurs qui évitent le secteur les jours dits.
Les parking "résidentiels" privés sont donc devenus des parkings publics gratuits - les seuls de la ville d'ailleurs qui soient gratuits - au détriment des riverains qui sont pénalisés de ces stationnements publics privés anarchiques.
Dans ce secteur l'emplacement de la Shappe est rapidement submergé, surtout depuis l'incendie de l'ancienne usine sans que la municipalité ait tenté de gérer ces emplacements, des secteurs utilisables sont condamnés à cause des risques d'éboulement des façades de cette ancienne usine.
Bref, on construit pour amener plus de monde sans être en capacité de gérer ce monde et les nécessités que cela impose.
Il y a quelques jours une altercation a éclaté en bas de l'immeuble parce qu'un livreur ne pouvait passer, juste que je me demande ce que ce livreur est venu livrer là où il n'y a rien à livrer, sauf peut-être un particulier, et pourquoi il n'a pas joué la prudence en restant sur la chaussée de la rue Centrale, il est vrai que marcher est devenu un supplice. C'était limite en venir aux mains, j'ai détruites les photos et la vidéo de cette altercation parce que je ne garde rien bien longtemps.
Hors Briançon.
Voilà un caillou qui ne passe pas inaperçu, pour rappeler que la montagne ça bouge même si elles sont censés ne pas se rencontrer.
En 2007 j'en ai vu un du triple de cette taille tomber sur la route SS24 entre Clavière et Césane en Italie, haut de huit mètres et pesant plus d'une centaine de tonnes, sans faire de dégâts autres que ce qu'il a emmené avec lui. Il a été dynamité une semaine après.
La montagne reste dangereuse même si certaines autorités semblent convenir que tous les chemins sont utilisables par n'importe qui n'importe quand.
Si c'était vrai !
Il est connu que les mandats divers attirent des convoitises, non pas pour travailler en faveur du peuple - l'absentéisme de cette assemblée bat des records mondiaux - mais pour accéder à une place si rémunératrice.
Ce qui serait bien ce serait aussi de réduire les émoluments qui sont destinés aux membres de cette assemblée.
Et bien vous ne savez pas, les députés sont contre.
Sans blague !
Peut-être pour ça.
Ce n'est plus du racket mais un Hold Up officiel.
Quoi que non, pas officiel puisque je doute que les députés aient eut à voter une loi privant des français de leur argent.
On dit aussi du vol.
Mais n'est-ce pas à la tête du pays qu'on trouve les plus grands véritables truants ?
Lamentable.
Comment dans un aéroport aucun personnel ne soit intervenu alors que ces transports spéciaux sont très suivis et surveillés.
Pour le fric on sacrifie beaucoup de chose.
Cynique.
Ça ne souffre pas un poisson ?
J'en doute, la pêche est un loisir ennuyeux mais ç'est aussi un business très lucratif, si encore pêcher permettait de se nourrir comme je le faisais, quand j'étais jeune ados, je comprendrais. (Dans un de mes livres)
C'est comme la chasse, je me pose certaines questions sur le "plaisir" de tuer.
Alors après avoir blessé le poison on le remet à l'eau pour qu'il aille crever ailleurs, la conscience est sauve.
Je l'ai gardée pour la fin.
C'est en effet un billet explicatif et qui révèle effectivement tout, juste installer un détecteur de racistes.
J'ai relevé cette image sur Internet, les commentaires, que je ne mettrais pas à cause de leur caractère haineux, sont époustouflants.
Beaucoup d'amalgames aussi, juste qu'il faut faire la différence entre ceux qui participent à l'économie du pays et qui ont le grand mérite de gagner leur pain de chaque jour avec ceux qui sont des mêmes origines mais qui ne sont pas enclin à gagner ce que l'Etat leur offre à ne rien foutre. (Qu'ils seraient bien cons de refuser d'ailleurs)
J'approuve donc ce papier un peu primaire mais très explicatif, on se fout de la couleur de la peau de quelqu'un, on se fout de ses origines, on se fout de sa religion dès lors qu'on ne nous l'impose pas.
Je relève aussi, parfois, quelques photomontages ciblés mettant en avant des femmes voilées, avec burqa et autres vêtements de chez eux, on les compare à des sacs poubelle, à des objets bizarres.
Que des gens se vêtent à leur manière ne dérange personne sauf si c'est dans un cadre bien précis, c'est aussi une des raisons pour laquelle je délaisse Facebook sur beaucoup de sujet, montages, désinformations, manipulations, propagandes malsaines et autres, de quoi y perdre son latin et surtout faire fausse route, dans un sens comme dans l'autre.
Quand j'étais gamin, on avait aussi des noirs, des arabes, des turcs, des chinois, personne ne trouvait rien à y redire et on vivait ensemble en parfaite harmonie, on n'avait pas encore inventé le racisme qui devient le maitre mot de tous ceux qui ne savent pas de quoi il parlent ou alors à tort et à travers.
Pourquoi avoir inventé SOS racisme qui a fait sortir le racisme de la nuit des temps où il s'était rangé ?
Bientôt une page spéciale sur le racisme, le nazisme et le fascisme.
Bonne soirée à tous et à très bientôt.
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