Pompe à migrants, humains exploités des médias
Depuis des mois je cherche à découvrir qui finance l'accueil des migrants qui passent aussi facilement la frontière.
J'ai au moins une réponse.
Bien entendu ces lignes n'engagent que moi, rien d'officiel ne vient corroborer mes écrits.
Il n'y a que des concours de circonstances mais aussi des coïncidences troublantes.
Ce matin.
La gare de Briançon a retrouvé sa façade calme et paisible.
Les CRS sont toujours là contrairement à ce qu'écrit l'article du journal de ce matin qui souligne que ces derniers sont partis.
Ce qui n'était pas le cas ces derniers jours suite à l'occupation de cette dernière par des dizaines de migrants installés dans ce hall par les sympathisants pro-migrants, ceux qui ne veulent pas les prendre chez eux mais qui imposent à la société d'assumer ces réfugiés volontaires pour le gite et le couvert.
Avec la "bénédiction" affichée du maire de la ville ces "associations", composées de gens dont certains sont aussi des assistés, ce qui est facile avec l'argent public des contribuables laminés par les impôts, qui ont aussi l'appui des médias, du moins de certains.
Je me posais la question depuis longtemps de savoir qui organiserait dans "l'ombre" ces mouvements divers visant à rendre médiatique des occupations illégales.
Maintenant ces convictions n'engagent que moi.
Copie d'écran de mon téléphone.
(J'ai caché le numéro pour le garder confidentiel, je n'ai rien contre les médias manipulés)
Le 10 Avril, à 17h14, alors que je chargeais des clients dans mon car, j'ai appelé le Dauphiné Libéré, du moins un de ses journalistes, pour les informer que je venais de croiser, à Saint Clément sur Durance, des cars de CRS.
Me doutant de l'objectif de ces policiers, j'ai pensé que ça ferait un beau papier sur l'édition du lendemain, sans arrière pensée autre que la finalité de cette information j'ai donc précisé que ma conviction était l'évacuation de la gare de Briançon.
Non pour dénoncer une action officielle visant à remettre de l'ordre dans le désordre associatif mais juste histoire de savoir la suite que ça allait avoir et donner l'occasion à ce journal d'étoffer un peu des pages souvent creuses.
La version du journal local.
Etonnamment le jour dit le refuge solidaire de Briançon, géré par la municipalité, se libère de places dites indisponibles quelques jours avant, il est vrai que la mauvaise volonté des uns fait la joie médiatique des autres.
J'appelle à 17h14 le Dauphiné qui n'est pas informé de cette intervention des forces de l'ordre, la journaliste que j'ai au bout du fil me dit qu'elle prévient tout de suite la rédaction qui, d'après mes déductions personnelles, aurait un de ses "employés" qui pourrait vraisemblablement avertir un des membres des associations de soutien aux migrants qu'une intervention de police va avoir lieu. (Déduction personnelle mais qui est corroborée par mes recoupements et puis par les opérateurs il est facile de savoir qui appelle qui)
Je pense avoir ma réponse. Le Dauphiné est bien présent à l'arrivée des CRS mais la plupart des migrants est déjà parti, certainement du à mon appel plus avant, peut-être averti par un des éléments du Dauphiné. D'ailleurs il est à remarquer que ce journal réalise avec une facilité déconcertante des reportages pro-migrants et se trouve toujours au bon endroit au bon moment, de là à dire que c'est aussi ce journal qui pourrait partiellement aider complaisamment cette migration sur Briançon il n'y a qu'un pas que je franchis, de là à dire que le maire de Briançon a des complaisances à faciliter cette migration dans la ville c'est aussi un pas que je franchis. Maintenant il est aussi réel que les journalistes se doivent être là où il y a matière à information. Ou désinformation.
Au moins c'est plus clair, un média qui sympathiserait "l'invasion" migratoire est forcément aux premières loges pour tourner cette migration en humanitaire douteux.
Comme le précise aussi ce journal les migrants mineurs ont été pris en charge par le département, sauf que ces mineurs ont souvent entre trente et quarante ans, la législation n'étant pas la même pour tout le monde en France mais il y a longtemps qu'on s'en est aperçu.
Et puis pour trouver des matelas les associations font du porte à porte, dans un sens c'est logique, même s'ils sont dirigés et exloités par les associations diverses les migrants sont d'abord des victimes, pas des supposés problèmes de leurs pays mais des manipulations médiatiques qui s'en servent pour assoir des faits très discutables.
Une des membres de ces associations est même allée jusqu'à solliciter l'hôtel de la gare croyant que ce dernier donnait des matelas, ce qui est faux, il est fort probable que l'hôtel de Paris, en rénovation complète, ait pu fournir, bénévolement ou sans le savoir, ces fameuses couches à entasser là ou il y a un scoop médiatique à réaliser.
Pour la nourriture je doute que les membres de ces associations mettent la main à la poche, les subventions "occultes" de la municipalité et certainement aussi de certains médias, en échange de scoops, assureraient potentiellement l'alimentation de ces migrants, donc sur les impôts des briançonnais qui roulent sur des rues défoncées et qui galèrent au milieux des travaux par manque d'organisation de circulation faute d'argent dans les caisses de la ville.
Se servir d'humains supposés en détresse pour assoir une notoriété et pour vendre du papier ça ressemble furieusement à une forme d'exploitation de l'humain, je ne suis pas persuadé que ces dites associations soient si humanitaires à verser quelques larmes sur le sort de quelques-uns des centaines de milliers d'envahisseurs qu'on dit en détresse, parce que si on regarde bien leurs conditions en Europe, et donc en France, je doute que ce soit le genre d'eldorado qu'ils seraient venus chercher.
Une forme d'esclavage moderne camouflée sous l'égide de l'humanitaire et exploitée par des associations qui perçoivent des subventions.
Le maire de Briançon.
Dans un communiqué laisse entendre que les identitaires provoquent et font du forcing, il ne dit pas un mot du passage massif des gauchistes italiens qui forcent la frontière pour faire passer les migrants.
Les identitaires sont restés côté français, ils n'ont pas franchi la frontière qui se trouve sur l'autre versant du col, ils n'ont enfreint aucune loi, aucun règlement, ils sont corrects, calmes, représentatifs de l'ordre et du bon sens.
Parmis les gauchistes certains sont venus cagoulés et "armés" de divers barres de fer et autres objets contondants.
Lesquels provoquent et agressent les forces d' ordre ??? Ils sont suivis d'une cohorte de migrants rassemblés volontairement pour ce faire, ils ne représentent que le chaos et l'anarchie.
Les provocateurs italiens ont franchi la frontière avec l'intention d'en découdre avec les forces de l'ordre, comment ils appellent çà les responsables politiques ??
Les tensions sont vives, tant que les renforts de gendarmerie et de CRS sont à Briançon ça restera calme, dès qu'il seront repartis les tensions remonteront, les passages en force aussi.
Question ????
Mr Murgiat la pose.
A juste titre, juste savoir si c'est de la récupération politique ou une réelle volonté de mettre un frein à cette dérive sans limite.
Ça confirme bien que l'appel d'air, que moi je nomme pompe à migrants, est aussi organisé par la municipalité via le maire de la ville, je ne suis pas sûr que ceux qui ont voté pour lui en 2014 avaient à l'idée que ce dernier s'occuperait d'abord de l'invasion de la ville et de l'installation d'une population de remplacement plutôt que du bien être et de la sécurité de ses administrés envers lesquels il adopte une politique contraire en affichant un certain mépris.
Ce n'est pas de l'humanitaire, c'est l'exploitation des masses à des fins politiques de chaos et de désordres, ce qui est contraire à la déontologie d'un magistrat responsable de sa ville et garant de la sécurité de ses administrés.
Alors briançonnais, en 2020, réfléchissez à qui vous allez confier les clefs de la ville en ruine.
A très bientôt pour autre chose.
Bonne journée à tous.
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