Femmes battues et petite revue de presse

Publié le par francois.ihuel15.over-blog.fr

Un sujet chaud, mais pas seulement.

Un sujet exploité mais non traité.

Femmes battues et petite revue de presse

Sujet exploité.

Les femmes battues, hélas, ça a toujours existé, pour en comprendre le mécanisme il faut remonter plus de 2500 ans en arrière.

La Gaule, envahie et soumise par Rome, se transforme en adaptant un fonctionnement d'origine grec, ce que les étrusques ont acquit de cette civilisation antérieure.

Il faut considérer la place de la femme sous l'évolution de la Grèce, pour ça il faut bien cadrer les origines de la civilisation grecque, c'est la fusion d'une partie de deux mondes totalement opposés, les Assyriens et babyloniens, donc des perses, et les égyptiens de la XXVI ème dynastie pharaonique, 600 ans après Ramsès II.

La civilisation perse, bien antérieure à celle de la Grèce, domine la presque totalité de ce qui est aujourd'hui le Moyen-Orient, les populations ont évolué sous l'égide d'uniques dieux mâles, les déesses ne naitront qu'avec la civilisation grecque qui s'oriente sur le fonctionnement des dieux égyptiens à la civilisation encore plus antérieure à celle des perses.

On peut considérer que les débuts de la civilisation qui nous régit encore remonte à 3000 ans, soit à peu près sous le règne égyptien de Séthi Premier qui justement a commencé à s'intéresser à la Perse. (C'est plus compliqué mais dans les grandes lignes c'est ça)

L'hégémonie égyptienne prend de l'importance quand les pharaons d'Egypte commencent à conquérir des territoires situés à l'Est, les civilisations perses, moins évoluées, seront clientes de l'Egypte pendant environ 400 ans puis commenceront à repousser les égyptiens.

Mais je ne vais pas faire un cour d'histoire, c'est juste pour situer.
 

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Le maitre.

La domination "phallique" est le moteur des civilisations qui ont évolué et qui se sont déplacées autour de la Méditerranée, le pivot de ces divers déplacements c'est la Grèce, ou plutôt le Péloponnèse.

Platon, biographe de Socrate, est assez éloquent sur l'attitude de ce dernier vis à vis des femmes, bien que marié avec une femme "difficile" il lui préférait les jeunes hommes (Lire le Banquet, de Platon ; le procès de Socrate et autres), Platon lui même n'était pas porté non plus sur les femmes, or la philosophie antique avait une énorme influence sur le pouvoir, la philosophie grecque se fondait sur l'infériorité des femmes. (Entre autres, c'est nettement plus compliqué mais je vous invite à lire les ouvrages anciens sur le sujet (Les récents sont trop influencés par notre époque))      

Les étrusques, mélange de plusieurs peuples itinérants venus d'Asie par le Nord, mais aussi des peuples venus de Grèce, ont fondé Rome vers moins 750 avant JC, ils ont donc conservé les coutumes phalliques qui sont aussi à la base de la civilisation romaine qui a civilisé la Gaule.

Le fonctionnement actuel de nos civilisation est basée sur cette civilisation gallo-romaine dont Jules César est le père.

Passons la période du moyen-âge pour commencer avec la renaissance, là où le rôle de la femme dans la société devient présent, François Premier donnait une importance énorme à la femme pour l'époque, surtout après cette période noire d'inquisition qui reléguait celle-ci au rang "d'esclave", l'homme avait droit de vie et de mort sur sa femme.

François Premier donc, ennemi intime d'Henri VIII, aimait les femmes, il allait très bien, à l'époque, avec ce roi d'Angleterre qui lui aussi aimait les femmes mais à sa manière, ce qui valut d'ailleurs à l'Angleterre de se "séparer" de l'Eglise romaine et à quelques femmes "royales" de disparaitre.

On peut considérer qu'avec François Premier la femme a pris une place plus importante dans la société.

Cependant, en dehors de rares exceptions, elle restait sous domination de l'homme, en France il n'y a que très peu de temps que la dénomination "père chef de famille" a été supprimé du livret de famille.

Mais les écrits ne font pas le fonctionnement, le fonctionnement est régi par la domination de la force sur le faible, c'est ce qui fait fonctionner l'humanité depuis la nuit des temps, ce n'est pas en cinquante ans qu'on efface des dizaines de milliers d'années de fonctionnement.

Les écrits sont régis par les sociétés éphémères, là aussi il y a d'énormes écarts entre ces écrits suivant qu'ils sont régis par des textes religieux ou des textes civils, ces derniers les moins nombreux finalement, d'ailleurs si on lit la Bible il y a de grosses similitudes de soumission de la femme qu'avec le Coran, les deux principales religions du monde.

Dans la législation française le caractère "chef de famille" disparait vers 1960 mais il n'y a pas quinze ans que cette même législation accorde l'égalité parentale dans la famille en supprimant l'autorité familiale unique, et c'est là que ça commence sérieusement à merder.

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Pour la propagande.

Il faut des témoignages et des exemples, il est rare qu'une femme battue s'exhibe en public et encore moins en photo, il faut donc fabriquer un visage.

Cette photo est la même que la première au début de cette page, du moins c'est la même femme qui est "maquillée" (De pareils hématomes ça laisse aussi des boursoufflures) de façon différente pour la "cause", et là c'est négatif pour l'action voulue, une grande partie des femmes battues n'en portent pas de traces visibles, c'est bien plus profond.

Un homme qui frappe une femme c'est un fumier qui n'est même pas digne d'un animal, mais il faut aussi considérer plusieurs critères, en fait chaque cas est un critère et c'est bien là le problème.

Le contexte :

Première cause la culture, et oui, on pourrait croire que c'est l'échelle sociale et bien c'est faux, celle-ci vient en troisième position.

Deuxième cause l'alcoolisme, la presque totalité des violences faites à des femmes le sont par des hommes alcoolisés, de milieux aisés ou non.

Troisième donc, l'échelle sociale.

- La culture. 

Sur la presque totalité de la planète les différentes cultures gèrent les fonctionnements sociaux, or la culture est fondée sur la religion et aucune religion n'accorde de place de choix à la femme, les religions fonctionnent toutes sur le principe de la domination de l'homme sur la femme.

L'exception de la Vierge Marie vient confirmer ce principe, elle reste la femme dominé par Dieu pour enfanter le fils de Dieu, son rôle n'est qu'intermédiaire, mais là aussi ce serait long à expliquer et je vais me faire mal voir des théologiens purs et durs.

Toujours est-il que la religion chrétienne place l'homme dominant la femme, mais avec des nuances considérant que le Christ a certainement été "marié" à Marie-Madeleine et obtenu une descendance (D'où l'une des thèses de la remise en question de certains évangiles, mais c'est une grande controverse), c'est ce qui permet aux catholiques leur tolérance et leur acceptation.

La religion musulmane place la femme à l'unique rang de procréatrice, l'homme domine en tout et sur tout, or nos sociétés modernes intègrent de plus en plus de musulmans au fonctionnement si opposé du christianisme, bien qu'ayant le même dieu. 

L'hindouisme et le bouddhisme restent cantonnées dans leurs régions d'origine, l'hégémonie de ces deux religions est infime, elles sont également basées sur la domination de la femme par l'homme.

-L'alcoolisme.

C'est le plus grand fléau mondial avec le tabagisme, il touche toutes les populations et toutes les religions même si les musulmans se répondent d'une abstinence toute relative, surtout en occident.

C'est l'alcoolisme qui cause le plus de ravages directs mais surtout indirects, des plus grands maux sociétaires beaucoup sont les résultats de cet alcoolisme mondial.

C'est aussi ce qui est le plus gros fardeau des femmes, soumises ou non, soit elles subissent les effets de l'alcoolisme dans la famille, soit, et c'est hélas de plus en plus fréquents, elles s'alcoolisent aussi ce qui décuple les problèmes familiaux et relationnels. 

- L'échelle sociale.

C'est une graduation qui sépare les individus d'une même société suivant leur naissance, leur niveau d'instruction, d'intelligence et d'adaptation sociétaire.

L'instruction c'est la base de l'insertion sociale, si l'école est obligatoire il n'est pas obligatoire de s'instruire, c'est là que se situe l'intelligence qui, elle, ne s'acquiert pas.

Le rôle difficile d'un Etat à instruire son peuple dépend surtout de ce que cet Etat attend de son peuple, s'il veut le soumettre ou l'intégrer dans l'évolution sociétaire, en tenant compte qu'une simple fraction d'individus instruits suffit pour gérer la totalité de la société.

L'instruction doit avoir des degrés différents bien définis afin de dispatcher la population dans des secteurs bien précis, la politique, l'administration, la finance et l'industrie.

Il reste une part indéfinissable de population qui ne peut être placée nulle part, c'est celle qui remplit le rôle de colmatage sociétaire, l'inutile utile, inutile parce qu'improductive mais utile pour permettre le fonctionnement sociétaire, une société a autant besoin de miséreux que de très riches, question d'équilibre, et ça fonctionne comme çà depuis la nuit des temps.

Cette échelle se construit toute seule, il n'y a pas besoin de se creuser la tête pour savoir qui sera instruit et efficace, qui sera analphabète et assisté.

Dès la petite enfance la voie est tracée, pas par mimétisme (Un peu quand-même) mais par choix et par décisions.

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Deux mondes différemment identiques.

Différents par leur destin, identique par leur âge.

D'un côté le fils de riche, représenté là par Macaulay Culkin dans un film des années 1990/95, de l'autre la photo réelle d'un enfant maltraité, photo utilisée sur les réseaux sociaux de différentes façons selon que ça sert ou dessert une cause, tantôt enfant italien battu, tantôt victime d'une mère indigne française qui le frappe.

Enfin, une photo montage pour de la propagande souvent très douteuse, pour qui a pris des coups il saura qu'un visage d'enfant laissant de telles traces visibles dévoile aussi des boursoufflures encore plus visibles (Comme sur la deuxième photo), ce genre de maquillage malsain c'est du grand n'importe quoi. (Les médecins sont bien placés pour le savoir, surtout en centres hospitaliers)

Pour la propagande tout est exploitable, même l'ignoble.

Les enfants battus j'en mettrai quelques lignes à la fin du sujet, mais c'est un travail de titan et si complexe.

Ceux qui ont les moyens orientent leurs enfants vers ce qu'il y a de mieux, pour eux tout est accessible, la perfection d'une éducation tient en presque totalité dans la qualité de l'instruction, très tôt trempé dans la soupe intellectuelle les enfants ne fonctionnent pratiquement que pour çà, finalement ils acquièrent une solide instruction mais sont privés de liberté, celle de faire ce qu'ils auraient envie, c'est aussi pour cette raison que, parfois, certains de ces nantis de la société sombrent. 

D'autres, la majorité, bénéficient de l'instruction élémentaire obligatoire, cette instruction qui fait le tri dans l'échelle sociale, ceux qui ne peuvent bénéficier des grandes écoles couteuses mais qui rentrent dans la vie active avec un bagage suffisant pour vivre à peu près correctement.

D'autres, encore, ne suivent pas, ils décrochent comme se plaisent à le dire les "spécialistes", suivant qu'ils sont de milieux modestes et/ou de communautés différentes ils seront dans la limite de l'acceptable social ou carrément associables, ceux qu'on appelle vulgairement les rebuts de la société, voire la "merde du peuple". 

C'est dans cette couche située au plus bas de l'échelle qu'il y a le plus d'alcoolisme sociétaire, les médecins connaissent bien le problème, les pompiers, les policiers et les gendarmes aussi qui sont les premiers à être confronté à cette population imprévisible et parfois dangereuse. 

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J'ai relevé cet article sur Internet.

C'est en effet un gros problème, le problème de ceux qui ne peuvent pas partir, la majorité des femmes battues des classes sociales "inférieures" comme se plaisent à le dire ceux des classes sociales "supérieures".

Une femme a du mal à quitter un foyer, surtout s'il y a des mômes, c'est le paradoxe, la femme et les enfants trinquent mais doivent quitter le domicile alors que ce devrait être l'inverse.

Il me perturbe cet article qui est à côté de la plaque, bien que ce soit louable d'accueillir les femmes en détresse les centres d'accueil ne résolvent rien, c'est du provisoire qui dure souvent longtemps, une femme qui doit reconstruire une vie, ou essayer de l'améliorer, doit pouvoir jouir de tout ce dont pourquoi elle a vécu et oeuvré avec un homme violent (J'allais écrire "mari" mais c'est très souvent des couples pacsés ou en concubinage) et à son domicile avec ses enfants.

Il est rarissime qu'un homme violent soit écarté de son domicile, c'est un grand trou juridique que les parlementaires n'abordent pas.

Les premières pages de cet article ne font pas état de dispositions prises à l'encontre de l'homme violent, comme s'il était normal qu'il échappe à la sanction, la sanction c'est pour la femme et les enfants, une double sanction, les violences et la destruction de la famille.

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Qu'est-ce que le sexisme ?

C'est à la fois simple et compliqué, depuis toujours on parle de sexe faible et de sexe fort, le sexisme est né avec le féminisme, la déstructuration de l'esprit familial y est pour beaucoup.

Le mélange des cultures en a été la consécration, certaines femmes ont voulu s'exonérer de la tutelle masculine encrée dans le fonctionnement depuis des siècles, en fin de compte le fonctionnement d'un foyer se fait avec la conjonction constructive du mari et de la femme, chacun se partage les tâches, c'est du moins ce qui devrait être.

Il y a tout un tas de facteurs qui ont amené à déstructurer un ménage, l'indépendance financière de l'un et de l'autre en est certainement le plus significatif, le reste en découle.

Avant, une femme au foyer avait le rôle ingrat, celui de bosser du lever au coucher, le ménage, la bouffe, torcher le cul des mômes, faire les courses et autres tâches innombrables non rémunérées qui incombaient à l'épouse.

Le sexisme est aussi né en même temps que le racisme (Du moins cité publiquement comme un problème sociétaire, ce qui l'a amplifié), on s'est créé des problèmes en voulant les combattre en les étalant au grand jour, avec force médiatisation, plus on les combat et plus il y en a, plus il y en a et plus on veut les combattre, un cercle infernal qui fait dire et écrire de tout et surtout du n'importe quoi.  

Un enfant qui assiste, impuissant, aux violences physiques sur sa mère en garde un traumatisme irréversible qui le marque à vie surtout quand il est très jeune, une fille aura l'appréhension de l'homme, un garçon risque de devenir lui aussi violent plus tard, c'est un phénomène connu qu'on retrouve surtout dans les familles modestes, les plus concernées par les violences conjugales. 

Là aussi, dès le plus jeune âge, inconsciemment les enfants apprennent le sexisme malgré eux.

Celui qui n'a jamais vécu dans un monde de violence, qui n'a jamais été témoin de cette douloureuse période de l'enfance ne peut pas savoir ce que c'est.

Depuis maintenant trente ans, en France, les diverses communautés, surtout de confession musulmane, imposent leurs préceptes à la société en exigeant des mesures particulières liées à leurs religions, c'est l'inverse total de la laïcité mais c'est pourtant sous couvert de laïcité qu'on leur accorde ces écarts, sous leurs pressions le système s'écroule de lui même.

L'extrême du sexisme se dévoile dans les excès, la parade des homosexuels qui réclament ce qu'ils ont déjà, la liberté de s'aimer comme ils le veulent du moment que ce n'est pas contraire à la morale publique (Donc rendue publique à l'encontre de la morale, ce que certains demandent, paradoxalement) et les excès des "Femmens" qui sont l'antithèse de la féminité et ce qui fait son charme.

Entre s'aimer confidentiellement et s'exhiber presque nu dans les rues, il y a un gouffre qu'on a autorisé, donc l'Etat s'est sabordé d'accorder des excès contraires à la morale publique, pour baiser intimement entre hommes ou entre femmes ce ne sont pourtant pas les lieux qui manquent.

La libéralisation des moeurs, surtout après 1968, l'explosion des médias, les incalculables revues sexistes et sexuelles existantes sur le marché, les aberrantes lois réglementant le sexe et la prostitution (Ce qui ne fait que l'amplifier et la marginaliser), et enfin la main-mise de nos dirigeants sur la "réglementation" sexuelle, comme s'il y avait des modes d'emploi sexuels à observer.

Quand on interdit l'impossible, on crée une situation de conflit en légiférant sur les comportements intimes, de là une forme de violence qui n'existait pas (Comme créer l'acte de viol entre mari et femme).

Cette porte ouverte à tous les abus, des deux côtés, propage un sentiment de frustration de ces deux côtés, frustrations qui amènent aux conflits donc à la violence.

Enfin, la dégradation du niveau de vie, surtout dans les couches sociétaires "inférieures", conduit à la violence et à l'alcoolisme.

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1922.

Ancien article 213 du code civil de 1909.

La femme doit obéissance à son mari, cet article n'a été abrogé qu'en 1960, c'est dire que les mentalités se sont forgées sur la domination du mari sur sa femme mais aussi sur ses enfants.

La Loi romaine imposait à la femme soumission totale à son mari, elle imposait aussi le droit de vie et de mort sur la femme mais aussi sur les enfants.

La Loi Salique (Texte du VIII ème siècle) imposait des dispositions à l'encontre de la femme sur l'ordre de succession, mais cette loi s'est aussi étendue à la noblesse puis fut adoptée pour l'ensemble de la population sous Charlemagne en l'An 792, elle n'a jamais été abrogée puisque oubliée.

La constitution de 1791 abroge de ce fait toutes les dispositions antérieures mais laisse le père chef de famille et responsable de cette dernière, on peut donc interpréter ces texte d'une façon comme d'une autre.

Finalement, la constitution du 4 Octobre 1958 donnera à la femme sa place définitive dans la société sans toutefois lui accorder la totalité des prérogatives, ça se fera au fil du temps jusqu'à maintenant.

On n'efface pas un fonctionnement de plus de 1 500 ans d'un trait de plume surtout quand les dirigeants de ces trente dernières années modifient le code civil un peu n'importe comment.

Et puis dans la nature il y a toujours eut le mâle dominant, c'est dans tous les ouvrages qui traitent des animaux. Or nous sommes des animaux.

Chaque période de la vie a ses spécificités, quand nous auront changé notre fonctionnement pour un autre le mâle dominant reviendra, d'ailleurs, à certains endroits, il est déjà en place.

Pour finir ce laborieux article sur le sujet, savoir que quand la tête est malade le corps est Malade, or la tête de la société est malade, très malade, demander à des citoyens déboussolés de se conduire correctement (Vis à vis des textes) alors que ceux qui leurs demandent et décident des textes font le contraire, ce n'est pas demain que les violences faites aux femmes s'arrêteront.

Des gens sans espoir, des gens délaissés, des gens submergés ne réagissent pas normalement, une société violente est une société décadente. L'occident est décadent. 

Au moyen-âge les femmes étaient soumises, non pas à leurs maris mais au fonctionnement de la famille, nos ancêtres ne battaient pas leurs femmes.

Passons à autre chose.

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L'Amérique préoccupante.

Du moins on pourrait le penser, depuis l'élection de Donald Trump c'est un déchainement d'adulation ou de haine venu de toute l'Europe.

Il est logique de penser que le bouleversement US aura des conséquences sur les élections de 2017, en effet la population n'en peut plus, depuis quarante ans que ce sont toujours les mêmes qui gèrent le gâteau puisque la politique, maintenant, c'est d'abord avoir une place lucrative.

Par contre l'autre article est tout le contraire du premier, Mr Ladoux incrimine le système américain, il refuse ces élections, il veut tout remettre en place.

Il n'y a pas de peuple subliminal, heureusement d'ailleurs, encore une référence haineuse envers le FN, à croire que cet homme en souffre, qu'il en subit les conséquences avant même qu'il y en ait, ça c'est la prouesse de dénoncer ce qui n'existe pas encore.

"La lutte des classes". C'est très communistes ces propos, on avait presque oublié, aucun peuple ne peut fonctionner sans castes supérieures, pour gérer il faut compter, pour compter il faut du capital, pour avoir du capital il faut des capitalistes et des financiers, je ne reste pas persuadé que des gens n'ayant aucune connaissance gestionnaire puissent gérer une économie sauf devenir des capitalistes pour fonctionner, donc prendre la place de ceux qu'ils auraient éliminé et devenir capitalistes à leur tour.

Le système crée le système et engendre la création de caste et de différences sociales, c'est automatique, c'est mathématique et incontournable dans une société.

La société actuelle est en déroute parce que les dirigeants ont oublié que pour diriger un peuple il faut lui laisser le minimum et surtout ses illusions.

Entre ces deux articles il y a l'oubli, du moins le rappel de l'oubli.

Ça rejoint finalement les deux autres articles, le 5/7 je m'en rappelle très bien, j'avais 20 ans, mais je ne suis pas sûr qu'il faille commémorer tous les évènements passés de la société, déjà qu'on a des dirigeants qui ne cessent de se confondre en excuses et en repentirs on pourrait même commémorer tous les décès de la route depuis l'avènement de l'automobile.

L'avenir c'est devant, avec des jeunes, pas en regardant continuellement la route par la lucarne arrière, le passé ne construit pas l'avenir, il le perturbe.         

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En politique.

La roue tourne et les alliances se confirment, François Fillion était plutôt délaissé, depuis quelques temps il attire.

En gros cet article c'est la réflexion de ce que je pense.

Il y a aussi les minables de la politique, les crevards de service.

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François Bayrou.

Le caméléon de service, celui qui fait élire la gauche quand il se dit du centre, qui fait de l'ombre au centre quand il se dit de droite, celui qui va à l'encontre du vote du peuple, encore un qui est persuadé d'avoir raison en considérant le peuple comme quantité négligeable.

Il veut faire murir son projet, lequel ?

Pourtant il est à Pau, il aura au moins eut un mandat de maire, dans les Pyrénées il y a du soleil, pour murir les projets ce n'est pas si mal mais depuis trente ans qu'il essaye de faire murir quelque chose il va falloir qu'il réalise qu'une courge verte ne deviendra jamais rouge, entre légumes, on se comprend.

Donc il serait près à faire capoter Fillon du moment qu'on lui promet un poste, ne serait-ce que de Ministre !

Peut-être que pour une fois il ferait murir quelque chose, si c'eut été le cas, ça se saurait.

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Hier, j'ai mis une capture de vidéo.

C'est rare, mais comme j'avais été invectivé récemment concernant le sujet, je ne manque pas une occasion de me distinguer sur ce sujet, je n'ai pas pris RDV avec la maréchaussée pour faire des articles de blog.

Quand je marque que les contrôles sont bienvenus je me fait des "ennemis", certainement ceux qui sont concernés.

J'ai donc perdu quelques lecteurs, je survivrai d'autant que je ne gagne rien avec mon blog et si je n'ai plus de lecteur un jour je continuerais quand même, c'est surtout mon exutoire.

Les contrôles de pesage et d'alcoolémie c'est une nécessité, c'est la vie des usagers de la route qui en dépend.

Parce que quand on prend le volant avec 2,36 grammes d'alcool par litre dans le sang la sécurité de mes enfants, des vôtres, de vos familles est mise à mal par ces comportements.

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J'ai aussi quelques briançonnais comme lecteurs.

J'ignore si celui concerné par l'article en fait partie, je ne sais pas qui va sur mon blog, à quelques exceptions près, et ça ne m'intéresse pas.

Juste réaliser que les contrôles sont indispensables, si je le mets souvent c'est bien parce que ce n'est pas suffisamment dissuasif bien que fortement médiatisé, il est bon que le maximum sachent que la prévention c'est nécessaire.

Cette nationale 85 qui passe par La Mure est d'une haute dangerosité, ne serait-ce que la côte de Laffrey si tristement célèbre.

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Etat des routes Hautes Alpes.

Je suis étonné que le département s'étonne.

Chemin de Mas-de-Blais à Briançon c'est encore acceptable, il y a pire, apparemment les informations sont mensongères, je confirme mais pas dans le même sens.

Si la vitesse est un des facteurs d'accidents graves (Même si des spécialistes de la route le nient) l'état des routes est aussi un facteur accidentogène.

Si on devait sanctionner les causes des accidents de la route la palme reviendrait au Conseil Général, il n'est pas nécessaire de faire 100 bornes pour trouver des dégradations, les moins visibles sont les plus dangereuses.

Des tranchées qui se sont affaissées, des plaques d"égout qui dépassent, des pansements d'enrobé qui déstabilisent les roues des véhicules, surtout dans les virages, et puis bien d'autres critères mais quand on sait la négligence des travaux et le non suivit des chantiers sur route il ne faut pas s'étonner des conséquences.

Le CG 05 qui dénonce les accidents mais qui y participe pour beaucoup c'est presque risible s'il n'y avait des victimes.

Ce n'est pas spécifique aux Hautes-Alpes.

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Pour finir.

Deux articles Internet à la suite, totalement contradictoires.

Volontairement ?

On pourrait se poser la question.

Les factures EDF sont des plus obscures, ce qui permet de faire n'importe quoi, plus personne n'y comprend quoi que ce soit et comme c'est un monopole d'Etat !!!!!!!

D'ailleurs ce n'est plus EDF ni ERDF, c'est ENEDIS, encore du pognon dépensé inutilement, sur les factures des consommateurs bien sûr.

La Cour des Comptes ne dit rien ?

Pour sûr que si les pensions, retraites, SMIC et autres rémunérations ridicules augmentaient de la même façon les français de base, les Ploucs Sans Dent, s'en porteraient mieux.

Ma pension à augmenté de 1,78 Euro en un an, de quoi considérer que l'Etat français, dont les élus se gobergent sans pudeur, prend vraiment le peuple pour un con qu'il est d'ailleurs, il remet toujours les mêmes en place.

La prochaine page sera avec Josiane, ma copine de Pigalle sauf si l'actualité prime.

Bonne soirée arrosée à tous.

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Publié dans Revues de presse

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