Les tempêtes françaises internes
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Visite d'Etat.
Sans tenir compte des incommensurables commentaires des divers forums, certains délirants et d'autres haineux, je pense que cette visite va dans le bon sens sauf que :
Renforcer des liens amicaux avec des pays dont nous dépendons énergiquement est le passage obligé de tous chefs d'Etat.
D'aller remuer le passé en jouant les "lavettes" repenties l'est un peu moins.
Lien à copier/coller, très instructif et révélateur :
file://localhost/Users/francois/Desktop/article-quand-un-ancien-general-de-la-legion-etrangere-accuse-le-chef-d-etat-fran-ais-114013150.html
Je pense que de remuer continuellement le passé, ce qui n'y changera strictement rien, est déstabilisateur, pour juger d'une situation et de ses conséquences il faut se mettre dans le contexte de la situation et se référer à des éléments vivants de l'époque sur d'autres bases que le complexe de culpabilité.
Mr François Hollande n'est pas particulièrement dans mes papiers mais il est le chef de l'Etat élu démocratiquement donc premier ambassadeur de notre pays. Il faut faire avec.
Ceux qui l'ont élu, du moins une bonne partie, s'insurgent aujourd'hui de sa manière de faire gouverner (Par son Premier Ministre, le Président ne gouverne pas) la France en tâchant de respecter des promesses dont beaucoup intenables et d'autres qui creusent un peu plus une économie déjà exsangue.
Une bonne partie des électeurs de base ne sont sensibilisés que par leur vécu immédiat, leurs conditions de vie immédiates et leur environnement direct.
Un chef d'Etat c'est aussi pour ces raisons qu'il se défini mais pas seulement.
Des électeurs, une grande partie, ne focalisent que l'aspect social interne du pays et surtout le leur en faisant abstraction des autres responsabilités du chef de l'Etat.
Entre promettre le mariage pour tous et la création de dizaines de milliers d'emplois sans avoir les moyens de les financer et être représentatif et aguerri sur la scène internationale il y a un gouffre.
Ce n'est pas faute d'avoir mis en garde les électeurs, j'ai, personnellement, informé beaucoup de gens sur l'impact prédominant de la politique internationale concernant la politique interne du pays et l'influence colossale de la finance internationale sur l'économie française.
De croire que nous sommes garant de nos finances françaises est une erreur, nous sommes à la merci des grandes banques internationales et surtout sous pressions constantes des spéculateurs qui profitent de la faiblesse des finances d'un pays pour s'en goberger au maximum, pas d'état d'âme pour ce que risque de devenir ce pays, pour être riche sur le dos des autres il faut obligatoirement être un salopard.
Le gouvernement actuel fonctionne à contre sens d'une logique évidente, ce n'est pas par l'impôt qu'on réduit les coûts, pour qui "tâte" un peu la finance et les chiffres l'impôt ne résorbe pas une économie défaillante, il l'amplifie.
Sauf à vouloir s'enrichir personnellement c'est une politique suicidaire.
L'impôt dévastateur.
N'est pas assez lucratif sur les salaires alors on commence à taper sur les retraités.
Le gouvernement est en train d'allumer la mèche d'un pétard social qu'il ne pourra plus éteindre, de réduire le pouvoir d'achat appauvrit les salariés, les retraités et par contrecoup l'économie du pays, on ne tire pas du sang des pierres.
D'aller dans le sens de l'immigration massive sans pouvoir la contrôler est aussi un énorme risque de déstabilisation sociale, les guerres civiles ce n'est pas qu'en Orient ou au Maghreb.
Depuis la période Mitterrand la situation civique du pays est déstabilisée par une immigration intensive au sein de laquelle s'infiltrent des éléments déstabilisateurs et dangereux pour la démocratie.
Les bons immigrés, ceux qui veulent vraiment s'intégrer, sont pénalisés par l'opprobre jeté sur l'ensemble de leurs communautés.
Parallèlement c'est aussi une façon, pour les politiques, de noyer le poisson en laissant se créer des foyers de violences qui focalisent l'attention du peuple et des médias.
Jusqu'au jour où plus personne ne contrôlera plus rien, la police est écoeurée et impuissante à faire son travail qui consiste à faire régner l'ordre et appliquer la constitution à l'encontre de certains Magistrats et Avocats qui font tout pour maintenir le désordre, et ce n'est pas involontaire.
Il y a des signaux d'alerte qui sont déjà au rouge mais semblent ne pas perturber une politique gouvernementale suicidaire.
La médiatisation négative.
Les différentes affaires financières qui minent le pays, depuis des décennies, laissent un gout amer et sont de moins en moins supportables pour le français moyen, le gouffre social se creuse de plus en plus, cette cocotte-minute sous pression ne va plus rester en pression bien longtemps, elle va éclater.
Ces banques qui nous arnaquent jour après jour, qui ont été renflouées avec nos impôts, nous narguent et nous laminent.
Si nous avions des politiciens désintéressés (On a le droit de rêver) ils pourraient prendre des mesures allant dans la préservation du pouvoir d'achat.
Çà, plus l'Etat qui se goberge de nos maigres revenus c'est l'assommoir pour un peuple qui gronde de plus en plus.
Il ne faut pas se faire d'illusion, le point de non-retour est bientôt franchi et quand les politiciens actuels vont prendre le rebond en pleine gueule ils ne vont pas réaliser l'ampleur de ce qu'ils sont en train de se préparer.
Nous sommes devenus la risée du monde occidental et la cible du monde oriental.
Çà c'est gouverner !
Episode neigeux.
Ou une des façons de cacher la merde au chat.
La presse, ces temps-ci, ne manque pas de matière première pour essayer de vendre des journaux, des torchons pour certains et des magazines publicitaires pour d'autres avec, entre les "Pub" un ou deux articles pouvant éventuellement intéresser les gens.
En dehors des grands journaux, du moins ceux qui restent encore vus, l'hécatombe dans cette corporation, la presse n'est plus qu'inepties de torche-cul comme les magazines à scandale ou catalogues publicitaires, nouveaux fléaux du monde moderne.
La télé c'est du lavage de cerveaux orchestrée par le gouvernement via le patron du CSA, une machine à rendre les gens plus débiles que certains ne le sont déjà, une fabrique de consommateurs menés par le bout du nez par des multinationales richissimes qui font la pluie et le beau temps.
Fort heureusement ces dérives touchent à leur fin, la France se réveille (Le peuple, pas nos incapables gouvernementaux) c'est long mais quand ça va partir plus rien ne l'arrêtera.
Alors, comme on vient seulement de se rendre compte qu'en hiver il fait froid et qu'il neige, on focalise l'attention du peuple sur des scoops qui passent en boucle sur pas mal de chaines d'information dont la palme est à attribuer à BFMTV, huit minutes d'info pour dix minutes de Pub.
En fait une chaine publicitaire qui intercale des actualités entre chaque page de pub.
Cette chaine télévisuelle, que je subis quand je vais chez mes amis, doit battre le record des "euh" à la minute, je me demande où ils vont chercher leurs journalistes, mais c'est un peu la même chose sur France 3 et TF1, Les critères d'embauche doivent être d'une nullité à pleurer.
C'est tout bon pour nos ennemis insidieux infiltrés jusqu'à la moindre ruelle de nos villes, de nous constater devenu si minable renforce leur sentiment de la force illusoire qu'ils pensent avoir.
Revenons à nos intempéries.
Les trains.
J'ai conduis des trains pendant plus de dix-neuf ans, en double emploi avec le métier de chauffeur de car (1983/2001) et si je sais que les trains sont sensibles au verglas sur les rails je sais aussi que d'avoir du matériel de plus en plus sophistiqué le rend vulnérable au moindre changement climatique.
J'avais commencé en 1970 au dépôt de Châlons-sur-Marne (Devenu Châlons-en-Champagne) sur des machines à vapeur 141 R, des autorails "Michelines" et des machines électriques, BB 12 000, 13 000, 16500, CC 14 000, etc.
Du matériel rustique mais fiable qui sortaient par tous les temps, les rails ne mesuraient que 16 mètres mis bout à bout ce qui donnait le caractéristique "tacatac tacatac" que les gens de mon âge voyageant en train ont bien connu.
Maintenant nous avons des trains au confort indéniable (Quand ce n'est pas vandalisé) plus rapide (Quand ce n'est pas en panne) mais sensibles au moindre changement climatique.
Les "barres longues", rails de plusieurs centaines de mètres, soudés, ne disposant pour la dilatation qu'une partie "demi-rail" côte à côte ont l'avantage de réduire les bruits de roulement mais l'inconvénient de disperser les différents courants électriques qui les parcourent. (Pour les profanes on peut faire passer plusieurs courants électriques dans le même transport, ce terme étant le vrai pour désigner un câble ou autre élément conducteur)
Le problème des "barres longues" c'est leur facilité à subir des cassures, on dit "rail cassé" en fait un défaut qui est révélé par l'intense circulation des trains et les contraintes climatiques.
Ces problèmes, ajoutés à ceux de la sophistication du matériel (Electronique et ordinateurs embarqués) réduit l'efficacité du transport ferroviaire de plus en plus sollicité.
Donc retard de trains, problème de substitution (Je me suis d'ailleurs toujours demandé pourquoi la SNCF ne faisait pas remorquer des TGV bloqués par des machines diesel type CC 72 000 qui peuvent tracter plusieurs milliers de tonnes plutôt que de mobiliser des centaines de voyageurs pendant des heures et souvent sans chauffage ou climatisation) et, surtout, malveillance.
Ces actes sont de diverses origines, les deux principales étant le vol et l'agression physique de personnes.
Sur les Grandes Lignes ce sont les vols de métaux et dégradations volontaires des caténaires (Obligatoires pour la traction électrique) et de la signalisation.
Si on peut continuer à rouler sans signalisation (Sous certaines conditions bien entendu) sans "courant", en dehors des machines diesel, c'est impossible.
En régions ou banlieues des grandes agglomérations ce sont les "incivilités" qui priment. (J'adore ce terme donné à des actes de délinquances caractérisés pour paraître "correct" linguistiquement)
Le plus fréquent c'est l'actionnement des freins de secours, viennent tout de suite après les agressions, même mineures, qui paralysent un train donc toute la ligne de circulation sur laquelle se trouve ce train.
Souvent c'est moins de dix minutes mais répétitif, quand c'est un acte plus grave c'est trente minutes, voire une heure.
Quand c'est un suicide ou accident voyageur, très fréquent, c'est plusieurs heures fonction de l'état de la victime, l'emplacement du train et le temps d'intervention des secours et services de police.
Les gens, excédés, descendent des trains et là, c'est "the big bordel" puisqu'il est hors de question de faire rouler des trains, surtout dans les tunnels, avec des voyageurs, ou clients, sur les voies, ce qui ne les avance à rien puisque les dangers sont largement amplifiés et le temps de parcours multiplié, on n'a pas la même optique des choses à pieds que dans un véhicule sur le même trajet, mais l'effet "mouton" est là qui ne changera jamais.
Tout ça multiplié par l'augmentation des cadences (35 secondes sur le RER A, du moins quand j'y étais) l'augmentation des voyageurs (A la RATP on dit clients, on ne voyage pas on se déplace, du moins quand tout va bien) la diminution du personnel remplacé par des caméras impuissantes à agir et vous avez le bordel que subissent quotidiennement les banlieusards, surtout parisiens.
En fait d'habiter à Briançon pour travailler à Embrun est plus reposant que d'habiter à Sarcelle pour aller travailler à Bagnolet et on met nettement moins de temps, même quand il neige mais en haute montagne les misères neigeuses des plaines ça nous fait marrer deux minutes.
Pour en revenir aux responsabilités des pouvoirs publics il faut préciser que depuis des décennies la diminution drastique mais inexorable du personnel n'a eu pour conséquence que de diminuer la sécurité et la fiabilité.
Par contrecoup le nombre d'utilisateurs a considérablement augmenté ce qui génère des situations inextricables et devenues, pour certaines, insolubles.
D'avoir privilégié le tout automatique/informatique n'a fait que rendre plus compliqué la vie sociale et a créé des situations que personne ne peut enrayer sans mesures draconiennes.
De la même façon la diminution des personnels de sécurité a fait exploser les banlieues dite sensibles avec une augmentation sans précédent de la grande délinquance. Avant on disait banditisme.
Les actes d'incivilité (Moi j'appelle ça des actes de terrorisme), comme le disent prudemment les couilles-molles qui gèrent ces problèmes, ont décuplé avec la radicalisation de groupuscules, sans repères ni travail (Peut-être avec deux papas ou deux mamans) récupérés par des islamistes radicaux qui "embauchent" à tout va avec les émoluments distribués par l'état sous couvert de subventions diverses et aides à la réinsertion.
Emoluments, parfois conséquents, entièrement financés par ceux qui en subissent les conséquences. Un des plus probants étant "SOS RACISME" qui ne fonctionne qu'à sens unique et mis en place par le plus célèbre des socialistes, François Mitterrand.
Comme on peut le constater, en France ça baigne.
Nous avons donc un gouvernement indiscipliné, avec quelques ministres totalement incompétents, qui est incapable de résoudre les problèmes financiers et sociaux de son pays.
Pour faire passer la pilule on nous montre force images d'Epinal.
De la neige à Paris et la Tour-Eiffel en fond, cette dernière en a vue d'autres et moi aussi.
Il ne me viendrait pas à l'idée de faire du ski de fond sur le Champ de Mars sauf celui de Briançon (Mais là c'est du ski alpin) preuve que pour une fois qu'on a un sujet pour distraire l'attention des gens de problèmes plus graves on le passe et repasse jusqu'à usure sauf que le numérique ça ne s'use pas.
Le Sacré-Cœur sous la neige.
Pas de quoi se lever la nuit pour se regarder dormir. (La neige bien sûr, le monument vaut le déplacement)
Maintenant je ne voudrais pas passer pour un vieux con, (On le pense peut-être mais je m'en tape grave) et j'admets que les épisodes neigeux sur Paris ne sont pas si fréquents qu'ils impriment les esprits.
Le renouvellement des générations allant plus vite que de dérèglement climatique, du moins à écouter les plus pessimistes, en soixante-trois ans je n'ai pas constaté grand-chose en dehors des cycles saisonniers périodiques.
Alors pourquoi toutes ces alertes météos plus stressantes pour les gens que la guerre (Ce sera ma page de demain) ?
Juste pour continuer à habituer les gens à être assistés sur le moindre problème, ce, pour matraquer d'avantage les esprits sur la nécessité de trouver une parade à ces "catastrophes" naturelles donc un but de rapport financier déguisé.
Sur les forums je lis des commentaires laissant des doutes sur les capacités intellectuelles de certains.
Rien moins qu'un seul que je retranscris :
Une femme devant se déplacer pour aller de Vélizy à la Porte de saint Cloud à Paris énumère ce qu'elle emmène dans sa voiture pour ce trajet d'une douzaine de kilomètres.
Une paire de chaines, des chaussettes pour ses roues arrières, des couvertures, un thermos de café, des bouteilles d'eau, des provisions de bouche, un GPS, un téléphone portable (Mais tout le monde en a un) des jeux vidéo pour ses enfants, plusieurs livres pour passer le temps, un gyrophare et une pelle à neige.
Heureusement qu'elle n'a que si peu de chemin à faire, ce qui s'effectue, dans des conditions normales, en quinze minutes. (La porte de saint Cloud c'est plus facilement une heure, une heure et demie, ça dépend des heures)
Si elle vient à Briançon par le col du Lautaret un jour de neige intense elle va mettre un mois.
En fait ce qui surprend, ce n'est pas le fait qu'elle s'entoure d'un grand excès de précautions (Tout le monde n'est pas habitué à la neige) c'est de comptabiliser le coût d'une telle épopée.
C'est aussi réaliser que l'automobiliste moyen part de chez lui sans vraiment savoir quand il va revenir.
Il est un fait qu'entre passer un chasse neige sur la D1091 entre Briançon et La Grave et dégager des routes sur lesquelles il y a mille véhicules au kilomètre la marge est d'importance, toutefois l'automobiliste moyen est tellement conditionné par des informations alarmiste qu'il en arrive à entreprendre une banale course comme faisant partie d'une escapade en pays inconnu.
Les prévisions météo sont d'une grande précision par rapport à il y a encore peu, il serait plus réaliste de placer des véhicules de déneigement et de salage à des endroits stratégiques ainsi que de restreindre la circulation des véhicules lourds avant les chutes de neige, ces derniers étant les principales causes des blocages de route en agglomération suburbaine pas trop habituées à la neige.
C'est plus facile de garer un camion avant les chutes de neige certaines que de demander à des automobilistes de ne pas rentrer chez eux alors qu'au matin les conditions de circulation étaient différentes.
C'est un peu de l'amateurisme, on attend d'être devant le fait accompli pour réagir alors que la prévention, qui n'est pas la principale qualité française, reste la plus efficace.
Mais bon, je ne vais pas refaire le monde, c'est juste pour dire qu'il y a des situations qu'on peut éviter donc réduire des dépenses consécutives aux problèmes générés.
J'ai suffisamment roulé pour avoir pu constater ces carences d'interventions préventives.
En fait, pour soit disant réduire des coûts on les multiplie par des mesures contraires à ce qui devrait être appliqué.
On verra ça demain avec la guerre au Mali et les tristes problèmes d'Algérie.
Bonne soirée à tous.
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