Le tourisme d'été, peut-être une allusion.
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Les petits coûts imprévus. (Photos Internet)
Ce à quoi on ne pense pas toujours, sur place c'est plus réel et pour faire comme les autres il faut suivre, ce sont les dépenses imprévues, celles auxquelles on a pas forcément pensé avant d'être sur place.
Pour être honnête il y a pas mal de temps que je ne suis plus allé à la plage en pleine saison, je ne suis donc peut-être pas très bien placé pour en définir l'exacte fonctionnement aujourd'hui mais ce qui nous est proposé aux actualité (Ciblé donc) semble être à l'identique de ce que j'ai connu.
Rejoignons donc notre couple infortuné et victime, d'entrée, de déboires.
Après le petit Dèj. (Photos Internet)
Une balade le matin à la plage après avoir essayé une nouvelle fois de joindre le propriétaire de la masure de vacances.
La même l'après-midi. (Photos Internet)
Il doit y avoir une gare RER dans le coin, on retrouve les mêmes dans les mêmes conditions.
Avec un peu de chance on va trouver quelques centimètres carrés libres pour y étendre le matériel loué au prix fort, 20 Euros la journée, alors qu'au bout d'une heure on a déjà envie de repartir sans encore avoir encore pu se laver les pieds dans la baignoire collective.
Comme dans le RER, ça sent aussi le tabac, la bière et la sueur, on a en plus les odeurs d'embrocations diverses, des huiles à bas prix pour cuire plus lentement et en profondeur, la couche-bébé "merdeuse" que la voisine à enterré dans le sable croyant ne pas être vue, le chien qui jappe et qui pisse le long d'un transat.
Quel bonheur ces vacances et ce dépaysement, en effet, sans les rames de RER et les barres de Bobigny on se sent mieux, déjà loin de la maison qu'on commence déjà à regretter.
La nature ayant ses exigences, à la plage ou ailleurs, on cherche les toilettes publiques, en principe il y en a sur toutes les plages publiques gérées par les municipalités.
Au radar.
Ou plutôt à l'odeur, pas besoins de panneaux, les narines agissent comme un sonar et détectent immédiatement ce haut lieu d'aisance et de dépôts.
Si c'est déjà comme ça avant d'entrer se demander comment c'est une fois atteint le lieu d'exécution.
Après avoir traversé un nuage de mouches à merde bien grasses, évité deux ou trois étrons déposés avant réceptacle, évité de glisser sur les petites flaques de pisse mélangées à l'eau de mer des maillots de bain dégoulinant et de sable collé aux pieds, on arrive dans le saint de saint, là ou la municipalité bienveillante à installé de quoi se vider les boyaux.
Promesse tenue.
Mais d'autres boyaux sont passés avant, ça se voit et ça se sent cruellement, éviter l'endroit juste après le déjeuner ou le quatre-heures au risque de le restituer par là où il est entré, vidange garantie par tous les orifices. (C'est scato !! Et oui, merde alors si on ne peut plus rien mettre sans se pincer le nez !!!)
Soit on est arrivé au bout de la période de retenue et on s'exécute en fantasmant fortement sur les champs de lavande, soit d'un coup tout va bien mieux au niveau intestinal et on repart.
Et non, je n'exagère pas, c'est l'état de beaucoup de toilettes publiques deux heures après l'ouverture, et encore cette image est douce par rapport à ce qu'on voit souvent. (C'est dégueulasse hein !! Ben oui quoi, c'est humain en quelques sortes puisque même les animaux dissimulent leurs déjections, seul l'homme en fait profiter aux autres)
Pour la "p'tite comm" on va essayer de trouver moins odieux.
Soit là !!! (Photos Internet)
Un peu plus un peu moins on n'est plus à ça près et c'est juste à côté, entre la plage et le marchand de frites, mais ce n'est pas spécifique à la plage, je connais une ville de haute montagne ayant eut un temps le même genre de spectacle. (Non, je ne marquerai pas que c'est Briançon dans les années 2010 /1212, juste regarder les pages de mon blog de l'époque, il y a tout ce qu'il faut et puis je verrai cet été si il n'y a pas résurgence)
Soit ici. (Photos Internet)
Bien plus loin de la plage mais il est conseillé de pisser dehors vu l'état et pour madame elle attendra d'être de retour dans le "château" au propriétaire absent.
Comment j'exagère !!! Oh ! Oh ! Oh ! Là ce n'est rien, il faut sortir de temps en temps pour voir la misère humaine !
Avant, il y a encore une quarantaine d'années, on voyait des pissotières publiques.
Les vespasiennes. (Photos Internet)
Qui portent ce nom dû à l'empereur Romain Vespasien, ce dernier, incommodé par les odeurs d'urines persistantes dans cette Rome antique (Vous voyez, ce n'est pas nouveau et c'est aussi un héritage humain) eut l'idée de faire construire des lieux avec réceptacles des urines mais à but lucratif, les teinturiers de l'époque détachant et nettoyant les vêtement avec cet ammoniaque inépuisable.
La pisse humaine étant le seul véritable détacheur de l'époque.
Aujourd'hui supprimées suite à la demande de certaines personnes qui trouvaient que ce n'était pas hygiénique, pour certaines autres qu'on voyait les messieurs en train de bien faire (A condition d'aller y regarder de près, donc un vice) et d'autres encore qui dénonçaient les nuisances olfactives de ces endroits pourtant très utilisés.
Pour l'hygiène je me pose la question de savoir si ce qu'on voit sur les trois photos précédentes est mieux.
Pour les odeurs j'ai aussi des doutes puisque j'ai moi-même longtemps utilisé ces lieux sans être obligé de me sauver à cause des odeurs d'ammoniaque, de plus l'eau coulait en permanence à ces époques où il existait deux réseaux d'eau, l'eau potable pour la consommation et l'eau non potable (Filtrée quand-même) pour les lieux publics, l'arrosage des caniveaux, le lavage des rues et des jardins publics.
On n'avait pas encore les "puritains" exigeants de normes nouvelles, nous n'avions pas encore les suréquipements sanitaires de maintenant mais nous avions des défenses immunitaires naturelles détruites aujourd'hui par les antibiotiques.
Le seul qui pisse encore propre dehors c'est lui. (Photos Internet)
Bien étonnant d'ailleurs qu'il n'y ait pas encore eu un "félé" puritain qui n'y voit que le côté petit garçon nu à la zézette à l'air, mais il est à Bruxelles une fois et le virus de la connerie humaine n'a pas encore atteint ce peuple que j'admire.
De retour à la plage pour compenser tous ces frais et profiter de l'eau de la mer, certainement polluée sur plusieurs centaines de mètres à très faible profondeur, pour se tremper les pieds en essayant d'oublier ceux qui ne se fatiguent pas à aller jusqu'au toilette et qui s'immergent jusqu'au bassin afin de souscrire aux obligations naturelles en toute ingénuité. (Mais c'est pareil à la piscine)
Avec un peu de chance, pour peu que madame aille faire trempette avec les deux gosses, on pourra peut-être se rincer l'oeil sur les fantasmes de la vieille.
La cause de la découverte d'une mini marée en Méditerranée. (Photos Internet)
Là, on a tout faux, le rêve de la nuit devient cauchemardesque.
Les gosses sont à l'identique. (Photos Internet)
Papa c'est loin l'Amérique ??
Avant on disait "tais-toi et nage" maintenant on dit "tais-toi et regarde", la maladie d'obésité outre-atlantique à passé les 5000 km qui nous en séparent.
Une vraie misère ces gamins déjà foutus avant même d'être adulte.
C'est un signe de pauvreté, et oui, la malbouffe pas chère qui engraisse les "petits" (Gens aux petits revenus) et enrichissent les "gros" (Gens aux gros revenus) qui d'ailleurs eux ne le sont pas physiquement, a franchi l'océan en suivant la route des ouragans en fin de parcours pour s'abattre sur le pauvre monde européen qui s'enfonce de trop en vouloir.
Pas de panique. (Photos Internet)
Il en reste encore beaucoup de "normaux" (Ce n'est pas péjoratif, c'est même assez triste de constater ces mutants malgré eux concernant les enfants obèses) pour constater que tout n'est pas perdu.
Une petite parenthèse. Durant ces derniers mois je suis resté en Alsace, ayant travaillé quelques semaines pour un transporteur local (Un drôle de numéro qui fonctionne limite réglementation (Du mauvais côté de la limite d'ailleurs) autocars FOELL à Betschdorf), j'ai pu faire la différence flagrante de morphologie entre les enfants des Hautes-Alpes, sveltes en presque totalité et les enfants bien nourris de charcuteries bien grasses de cette région frontalière qu'est le Bas-Rhin avec plus de la moitié des enfants en large surpoids dont 60 % de ces derniers franchement obèses.
Un gamin de douze ans qui peine à monter dans le car fort de son 1,40 m et ses 80 kg ça donne envie de pleurer et de sermonner les parents, je veux bien que la génétique y soit pour quelque chose mais là, franchement, c'est "criminel" de laisser ses enfants devenir "monstrueux par une obésité morbide (Taux de référence officiel).
Je me sens presque "fluet" à côté.
En cherchant un peu !!! (Photos Internet)
On trouve de quoi se rincer l'oeil.
Allons, tout n'est pas terne pour ces quelques jours de vacances joyeuses et pour peu que madame soit câline ce soir on va fantasmer encore une fois dans le noir de préférence, pas casser le charme. (Bon oui, je sais, ce n'est pas une généralité mais j'ai beaucoup lu "San-Antonio", ça déteint un peu)
Quelques emplettes. (Photos Internet)
Après la plage, histoire de dire qu'on va profiter des produits du terroir et tant pis si les prix sont aussi du terroir pour alimenter le tiroir caisse.
Des olives à 54 Euros le kilo ça vaut effectivement le déplacement à la mer dans la région de l'olive.
On est très loin du prix des cours.
L'arnaque aux prix est certainement le plus gros fléau des vacances, je suis bien placé pour le savoir.
Lorsque je travaillais pour la restauration, en saison, j'ai été outré de constater que la bière vendue aux touristex était nettement plus chère que celle que je consommais (A ces époques j'adorais la bière bien fraiche à la pression).
De la même façon j'ai connu des commerçants sans scrupule qui montaient les prix de 50 % de juin à septembre.
A savoir aussi qu'une bonne majorité des produits du terroir sont d'un autre terroir à la géographie mal définie, juste aller fouiner autour des "distributeurs" pour lire ce qui est marqué sur les cartons et surtout les étiquettes des palettes, c'est très révélateur.
Et ainsi de suite pendant treize jours sachant qu'il faut déduire deux jours des vacances pour les trajets.
Fin de séjour.
La plage se vide les souvenirs restent, un peu comme au cimetière, c'est ce que je vois souvent marqué sur quelques objets funéraires.
Et en effet, les plages fin de vacances sont des cimetières de détritus, l'homme ne sachant pas encore se débarrasser de ses déchets intelligemment en laisse la plupart sur place, c'est un signe distinctif.
Sans oublier les fumeurs.
Tellement persuadés d'être dans leur bons droits qu'ils en oublient ceux des autres.
Route du retour dans les mêmes circonstances qu'à l'aller, bouchons et péages.
Sans oublier les images choc.
Celle qui marquent les esprits.
Du moins sur 50 km, après la routine reprend le dessus et on appuie de nouveau.
Mais l'Etat veille.
Par gendarmes interposés, ces derniers étant de plus en plus souvent utilisés pour remplacer l'inspecteur des impôts, c'est lucratif, imparable mais hélas nécessaire, immatriculé 05, du moins le petit logo des plaques, je constate que même la répression intensive n'est pas suffisante, j'en ferai une page, c'est très révélateur.
Partant du principe que de respecter la réglementation nous met hors de cause en cas de contrôle, je peux me vanter (Pourvu que ça dure) de n'avoir pas à être inquiété de quoi que ce soit.
Toujours pas de CB.
Toujours pas de "Pass".
J'en ai pris un il y a un an environ, c'est vrai que lorsque la circulation est fluide c'est un atout, les couloirs réservés étant "sans arrêt" à condition de respecter la réglementation.
Dès que ça bouchonne au-delà de trois cent mètres il devient inutile, c'est aussi la raison pour laquelle je ne roule jamais les jours chargés (Considérant que j'ai le choix et que je suis à la retraite, ce n'est pas facile pour tout le monde)
Mauvaise surprise.
Après une journée de route, on retrouve enfin son petit chez-soi.
Pas de pot, visité durant les vacances.
Page assez démoralisante somme toute mais si révélatrice.
L'allusion qui consiste à lier vacances avec problèmes n'est pas une utopie, c'est hélas une réalité.
Ce n'est pas une généralité, heureusement, mais je suis persuadé que beaucoup y trouveront des similitudes avec des situation vécues. Ou à vivre !!!
A bientôt pour autre chose.
Bon Week-end.
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