Péter plus haut qu'on a le trou du cul

Publié le par François Ihuel

 

Dans mes livres il y a des tas de maximes de mon cru

 

Péter plus haut qu'on a le trou du cul

Une d'actualité.

J'ai fréquenté du monde, du beau monde, celui que je croyais intègre et qui n'est que le fantôme de ce qu'il devrait être.

Extrait de mon livre "Onze métiers — Cent galères" qui sort bientôt chez mon nouvel éditeur NOMBRE 7

Pourtant, ces personnages si influents ont désiré cette place dans la société, pour justement asseoir leur notoriété, c’est le phénomène des couches sociales et ce qui les particularise, d’évidence l’intelligence et l’instruction l’emporteront toujours sur le commun de la société, mais c’est aussi cette obligation qui pousse à la fuite en avant qui mène souvent à l’erreur, voire à la faute, celle que la société refuse tout en l’attendant impatiemment parce qu’il arrive un moment où on ne peut aller plus loin, alors les subterfuges viennent remplacer les capacités et c’est la chute. C’est ce qui se passe en politique notamment, la tyrannie naît de l’incapacité, celle d’aller toujours plus loin, voire toujours trop loin pour une société qui n’attend plus que ça sans accepter de limite. C’est aussi ce qui rend impopulaire un individu monté trop haut, trop vite, sans en avoir les capacités, juste les apparences, plus haut qu’il ne peut réellement aller, pour garder cette place acquise il va donc se transformer, quitte à aller à l’encontre de ce qui a motivé qu’il monte, à partir de ce moment on méprise les « puissants » faute pour eux de n’avoir pas su se faire aduler pour ce qu’ils sont, et non pour ce qu’ils veulent paraître.

Il y en a dans tous mes livres, mais également quelques passages philosophiques et des scènes diverses, cocasses comme tristes ou étonnantes.

Bonne soirée à tous

 

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