Avec ou sans nom ?

L'info, suivant qui elle sert, précise ou élude.

Sordide affaire.

Une de plus dans l'immense catalogue de la folie des hommes, une des conséquences d'un manque d'éducation, ou d'un laxisme d'État, ou d'autres causes, il y en a tellement.

L'affaire en elle-même je ne peux pas en parler, je n'ai fait qu'accrocher un titre sur Internet, toutefois je remarque que les noms des protagonistes qui en seraient les auteurs — puisqu'il y a toujours la présomption d'innocence — sont largement étalés dans les médias.

Ce qui est perturbant c'est que ces mêmes médias, quand ce sont des agresseurs de communautés qu'il faut préserver, ne mentionnent que la qualité de tels jeunes, ou tel individu, sans jamais écrire les noms, surtout si ces noms sont à consonance étrangère issue de l'autre côté de la Méditerranée. 

Jean De La Fontaine disait, "selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cours vous rendront blanc ou noir".

Serait-ce que Jean De La Fontaine aurait eu des connotations racistes qu'il intégrerait la nature d'une couleur à travers un individu ?

Que nenni, c'est juste la comparaison du choix de l'importance d'une appartenance.

Et c'est bien là le problème actuel, avec la Justice française, du moins d'une certaine catégorie, il est préférable d'être du bon côté des préférences du moment, celles qu'il faut caresser dans le bon sens, politique d'intégration oblige. 

Quand un individu est d'origine étrangère, surtout maghrébine, il n'y a qu'un individu, justement, sans nom et sans précision.

C'est bien là qu'on remarque que les médias ont cette fâcheuse tendance à démolir ou aduler ce qui entre dans les préférences politiques du moment.

Ce qui est inquiétant c'est la durée de ce moment et les conséquences de ces choix vicieux et orientés. 

Bonne fin de journée à tous.

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