Quel sujet aujourd'hui ?
Pour le virus politique on verra plus tard.
Avec le Dauphiné Libéré c'est clair. (Cliquez sur les photos)
Circulez il n'y a rien à voir.
Maintenant, depuis que le Président Macron à divisé le peuple en deux catégories, je fais maintenant partie des "non-citoyens", après plus de 71 ans d'existence très variée et enrichissante, salarié depuis 1967 dont une période de 18 ans en double emplois, après avoir été engagé dans la Marine Nationale pour servir la France, après avoir cotisé 55 ans pour financer la Sécu, et tant d'autres choses, je viens d'être rayé de la citoyenneté française par une simple parole émanent d'un irresponsable propulsé par défaut à la tête du pays.
Le mignon Attal, favori du prince en place, vient de créer la fracture sociétale en responsabilisant une partie de la population de l'incurie de la gouvernance de ce pays, faisant de l'une de ces deux parties la pestilence à éviter et à fustiger.
Alors bien entendu j'ai commenté l'article du Dauphiné Libéré, commentaire rejeté puisque je ne suis pas un citoyen, et puis la discrimination affichée de ce média tend à écarter de la vie publique ceux qui ne pensent pas comme il l'exige.
Il est vrai que lorsque le Chef de l'État en personne discrimine une partie du peuple la porte est ouverte pour continuer dans cette voie.
Le "modérateur" inconnu du Dauphiné Libéré semble n'avoir pas de réel motif de rejeter mon commentaire, aussi l'emploi de chiffre en guise de motif rend encore plus opaque la cause qui fait rejeter mon commentaire.
Ce journal pro-gauchistes et pro-migrants affiche clairement sa tendance, même si une part non négligeable de ses articles est d'une grande nullité et d'une niaiserie à s'en faire pâmer une bonne sœur.
Tenter de demander des détails semble là aussi impossible, ça ne fonctionne que dans un seul sens, les journaleux n'acceptent pas la contradiction.
Racisme à tous les étages. (Cliquez sur les photos)
Pour des gens cultivés, supposément instruits, ayant fréquenté l'école du journalisme, le vocabulaire semble un peu réduit, tout ce qui ne plait pas aux médias est forcément raciste, donc une fois de plus j'invite mes lecteurs, et autres qui viendraient à lire ma page qui se partage de plus en plus, à trouver dans mon commentaire rejeté un motif qui ferait que ce soit raciste.
La discrimination affichée, une fois de plus par ce média, est flagrante, tout ce qui ne rentre pas dans le cadre fixé par le ou les responsables de ce "canard" n'appartient pas à la bonne société. On constate là aussi que les effet de volonté de division du peuple par l'État portent leurs fruits.
Il est vrai que sorti des pages sucreries et niaiseries de patronage il ne reste que les pages sport, en grand nombre, et les infos "France-Monde" avec 24h00 de retard.
Je me réserve la possibilité d'éclaircir juridiquement un peu cette discrimination ciblée et systématique.
Sous-citoyen arnaqué.
Ce que je suis devenu, sous-citoyen depuis peu, arnaqué depuis quelques semaines ; mais face à la mauvaise foi et au dénie il devient difficile de dialoguer avec des gens sans scrupule.
Pourquoi ce signalement ?
Abats douteux "rafraichi". (Cliquez sur les photos)
Le 27 Octobre 2021 je vais chercher une langue de bœuf que j'ai commandée auprès de la boucherie "Michel et Gonthier, rue Centrale à Briançon, langue supposément d'animal local comme l'affichent la plupart des boucheries briançonnaises.
Sauf que, une fois rentré chez moi, en déballant le paquet que je n'ai pas vérifié fort de la confiance que j'accordais à cet établissement, je découvre que la langue en question n'est pas d'origine de la région pas plus même qu'elle ne serait d'origine France, ce qui va se confirmer dans les minutes qui suivent.
Cet abat a été échaudé, ce qui n'est pas normal à la vente dans une boucherie, surtout sur commande, l'aspect est douteux, l'abat visqueux indique qu'il n'est pas frais mais décongelé.
J'appelle la boucherie, l'interlocuteur me prend un peu de haut, m'expliquant que l'abattoir de Sisteron lui aurait livré échaudé, ce qui est impossible, d'une part parce qu'un abattoir ne travaille pas comme ça et d'autre part parce qu'à Sisteron il n'y a pas d'abattoir bovin.
J'ai travaillé en abattoir et je suis parfaitement informé des méthodes qui consistent à remettre en circuit des marchandises "passées" que les services vétérinaires et les services de l'hygiène interdisent à la vente.
J'appelle donc l'abattoir qui me confirme qu'ils ne livrent pas la boucherie "Michel et Gonthier" à Briançon, il semblerait que cet établissement passe par la sous-traitance.
Par contre il existe à Sisteron un établissement d'import de viande et d'abats, pas très loin des abattoirs justement, et que les marchandises importées proviendraient du Brésil, d'Australie et autres pays pas trop regardant sur la qualité de l'export alimentaire, par conteneurs frigorifiques pour traverser les océans.
Ce qui s'est probablement passé : Il arrive, dans le transport international maritime, qu'il y ait rupture de la chaine du froid, c'est-à-dire la décongélation partielle de quelques conteneurs mal branchés ou ayant subi des avaries, c'est assez fréquent et la marchandise, dans ces cas là, est détruite.
Sauf que ; la magouille fait qu'il est toujours possible de remettre dans le circuit de distribution des produits n'ayant pas trop souffert d'une décongélation, une recongélation se fait donc pour acheminer les dits produits dans des centres de redistribution, après avoir subit un traitement qui dissimule les conséquences de la rupture de la chaine du froid, pour être vendu à des prix sans concurrence possible aux détaillants, à eux de se démerder à vendre au public cette marchandise "travaillée" pour paraitre acceptable.
Mon interlocuteur de la boucherie "Michel et Gonthier" m'a pris pour un nigaud, il ne m'a pas ri au nez mais presque, laissant entendre qu'il n'y pouvait rien sans même me proposer de ramener la marchandise pour vérification.
En pesant l'emballage et la langue à part, je constate aussi que j'ai payé le dit emballage au prix de la marchandise, ce qui est interdit mais pratiqué par une partie non négligeable des commerçants locaux avides de pouvoir tirer le maximum sur le dos des clients, même les plus démunis.
Quand on passe plusieurs kilos de plastique par jour au prix de la viande c'est juteux pour pouvoir passer des vacances aux frais des couillons de clients qui ne voient rien.
En examinant encore de plus près les emballages je constate que l'étiquette de pesé indique la date du 10 Novembre 2021 à 8h14 alors que l'achat est du 27 Octobre 2021 à 9h04, comme la plupart des gens ne regardent pas les étiquettes, pas plus qu'ils ne les conservent, il est facile, en cas de problème, de produire aux autorités des fausses indications crées par une bascule programmée pour allonger administrativement la durée des denrées ainsi vendues. (J'explique là ce que j'en déduis, je n'affirme pas que c'est ce qui se serait passé bien que j'en sois convaincu)
Il y a trois fraudes flagrantes, la première sur la marchandise, la seconde sur la magouille des bascules de pesé et la troisième sur la tare des emballages afin de vendre au prix de la marchandise le plastique ainsi utilisé.
La renommé d'un établissement se fait sur la franchise et le dialogue en cas de problème, si j'ai appelé la boucherie avant toute démarche c'est justement pour avoir une réponse et une solution, de me faire envoyer balader n'a fait que déclencher chez moi une réaction négative entrainant un signalement aux services des fraudes ; si tous ceux qui se font "niquer" par des commerçants douteux en faisait de même il y aurait moins de problèmes.
En arriver là.
Il est indéniable que si nous avions eu un échange constructif j'aurais déjà oublié l'incident.
Signaler un problème d'ordre sanitaire et/ou alimentaire c'est un devoir envers la société et un avertissement pour ceux qui sont tenté de faire du fric trop facile sur le dos de ceux qui ont, pour beaucoup, du mal à vivre, aussi je ne regrette aucunement d'avoir effectué cette démarche pas plus que je n'aurai de scrupule à faire état de ce qui nuit à la même société, quelle que soit la nature de la nuisance.
Aveux implicite de fraude.
Dans la vie on fait tous des erreurs, on a tous un jour ou l'autre fait une ou des fautes, c'est dans la nature humaine, l'admettre c'est réaliser que nous sommes faible devant certaines circonstances, parce que des conneries j'en ai faites, des erreurs j'en ai commises, je les ai toujours assumées.
Par contre, le silence est un aveux, si l'entreprise ne désire pas répondre à un signalement c'est qu'elle sait qu'il y a fraude, donc ça veut dire qu'éventuellement je ne suis pas le seul à m'être fait "baiser" sur la marchandise et qu'éventuellement ça pourrait continuer.
Tout le monde sait qui je suis, je ne cache rien, je fais état d'un fait en toute clarté, non pour faire du tort à un établissement mais pour mettre en garde les clients potentiels à être attentif à ce qu'on leur vend. Parce que le couillon, dans l'histoire, c'est toujours celui qui paye et qui se fait arnaquer.
Aussi, si l'établissement en question va aller prôner partout que je suis un connard d'emmerdeur, c'est qu'il aura au moins tiré la leçon de cet épisode qui n'aura pas de suite.
Je préfère passer pour un connard que pour un pigeon, ça me coute nettement moins cher.
Bonne fin de journée à tous et à bientôt pour autre chose.
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