Avant les bouffe-merdes

Publié le par François Ihuel

 

Tirer parti du chaos

 

Avant les bouffe-merdes

Personnage médiatique.

Jeune, opportuniste, à 34 ans c'est normal, plein d'entrain pour parvenir mais surtout arrivé directement du parti communiste pour infiltrer le RN, c'est la période de sa vie où il faut foncer. Foncer en politique c'est comme foncer en voiture, il ne faut pas sortir de la route pour éviter l'accident. La route du pouvoir est sinueuse, elle comporte des virages et des voies à sens interdit, quand on prend les sens interdit on prend des risques, dont celui d'avoir en face quelqu'un qui est dans le bons sens.

Il y a deux choix : réaliser qu'on n'est pas dans le bon sens et faire marche arrière pour le retrouver, ou foncer pour éjecter celui qui nous gêne même si on est en tort. Si sur la route c’est un risque en politique aussi. Si en plus de ça on plane dans les hautes sphères d'un pari politique quelconque et qu'on se sente tellement haut qu'on ne réalise plus qu'on est faillible, ça entraine des dérives dangereuses qui pourrait mettre le dit parti en difficulté.

Quand on a d'un personnage une autre image que celle qu'il se donne à travers quelques médias, on se dit que si le dit parti accède aux plus hautes responsabilités le dit personnage peut alors abuser d'un nouveau pouvoir tout neuf dont il ferait usage en premier lieu pour sa satisfaction personnelle et son envie "d'épuration" potentielle s'il venait à avoir un poste ministériel, de là à faire un rapprochement avec ce que la société a déjà connu laisse présager un fonctionnement boiteux, c'est-à-dire l'inverse de ce dont pourquoi on élit des gens.

On sait que l'élu suprême place les gens de son choix, souvent ceux qui lèchent le plus et se font affables devant le ou la candidat(e) avant élection, un beau poste de ministre de ceci ou de cela ça ouvre des portes notables et des finances faciles, sauf que si le placé agit à son nouveau poste comme il a agit pour éjecter ceux qui sont dans le bon sens on peut craindre des dérives pour le fonctionnement du pays.

De pouvoir prendre des décisions arbitraires sur de simples présomptions et racontars entraine des dérives dangereuses pour la démocratie, en ce sens on ne peut s'empêcher de se remémorer quelques douloureux passage de l'Histoire.

Je me demande donc, après avoir été indirectement confronté au personnage ci-dessus médiatisé, si de vouloir agir dans l'ombre et causer quelques dommages sans admettre qu'on puisse être nommé, afin de ne pas risquer quelques retours, est une attitude responsable et sincère, la dissimulation de pas mal d'autres précédents élus ayant causé pas mal de problèmes à la France.

Ce Monsieur, dont le profil est consultable sur Wikipédia, c'est celui qui voit des "nazi" partout mais qui ne voit pas les requins vérolés internes qui l'entourent sauf s'il en fait partie, ce sera dans une prochaine page.

Mais là ce n'est que le hors-d'œuvre.

 

Avant les bouffe-merdes

Le vote par défaut.

C'est ce qui a propulsé Macron à la tête de l'État encore qu'il faille savoir que ce ne fut que sur même pas 75% des inscrits, c'est le rejet du FN mais il faut aussi retirer les votes nuls et blancs qui représentent près de 12% des votants, donc une élection au scrutin minoritaire, Macron n'est donc en place que par le vote de 57% de 63% d'inscrits, donc un scrutin minoritaire, ce qui me fait dire qu'il n'a été élu que grâce aux abstentionnistes.

Déjà en 1969 Pompidou n'a été élu que par 58% de 68% d'inscrits, en 1974 Giscard-d'Estaing n'a été élu qu'avec à peine la majorité de 87% d'inscrits, puis Mitterrand élu en 1981 avec même pas 52% de 85% d'inscrits, réélu en 1988 avec 54% de  84% d'inscrits.

Puis Chirac élu en 1995 avec 53% de 80% d'inscrits, Le Pen fait son entrée sur la scène des présidentiables ; puis réélu en 2002 avec un vote massif de 82% de 79% d'inscrits par le rassemblement de toutes les tendances face au FN qui est diabolisé.

Puis vient Sarkozy élu en 2007 avec 53% de 84% d'inscrits, c'est le début de la monarchie républicaine qui aurait dû voir un changement de constitution de part la préférence aristocratique affichée et l'enrichissement personnels des élus par augmentations brutales éhontés des indemnités diverses. Le FN est en régression par rapport aux précédentes élections présidentielles.

Balayé en 2012 par Hollande avec 52% de 80% d'inscrits ce fut un vote de sanction, Sarkozy ayant augmenté la dette de la France de 600 milliards d'euros d'un seul coup pour faire croire à l'Europe que sa gestion de la crise financière n'avait pas affectée le pays, agissant plus en monarque qu'en président on a mis à sa place un "benêt" socialiste alors que le FN amorce sa grande remontée et que bizarrement Strauss-kahn est écarté par une mystérieuse affaire américaine qui ressemble à un guet-pens politique pour l'écarter puisqu'il partait favori dans ces dites élections. 

Hollande se révélant en dessous de tout il a pourtant préparé la place - certainement sous contraintes - à un arriviste opportuniste propulsé par la haute finance ; la politique Hollande ayant laminé le PS, les antagonismes internes de la droite, le duel puéril et infantilisé Fillon-Copé sur la présidence de l'UMP ayant écarté pour longtemps ces deux partis pourtant toujours favoris depuis plus de trente ans, la dynastie Le Pen se dédiabolisant, Marine est au second tour avec 34% de 75% d'inscrits.

Depuis 1969 on n'a que des présidents élus au scrutin minoritaire par rapport au nombre de citoyens français inscrits, ce qui est inquiétant pour une démocratie.

On remarque donc aussi qu'il devient impossible d'avoir une réelle majorité absolue et que les élections présidentielles ne se font plus que par magouilles diverses et mariages contre nature de différents partis politiques, le diable d'extrême droite s'est considérablement éloigné mais reste encore palpable, pour passer il faut donc changer de politique et se résoudre à s'incliner devant les forces occultes qui mènent la danse depuis la mort de Pompidou, quitte à renier les bases qui ont créé le FN devenu RN pour ce faire.

La politique pro-migratoire de Macron, ses préférences pour l'islam, ces débordements excentriques ridiculisant la fonction en plaçant la France en queue des valeurs vis-à-vis des autres nations, ses prises de positions pour le moins préoccupantes concernant le peuple font qu'il est urgent de le remplacer, pour ce faire il faut une coalition des partis inverse de celle qui l'a mise en place, au lieu de préférer une union contre Le Pen il faut organiser une union contre Macron, c'est donc la raison principale, du moins mon analyse personnelle, qui fait que Marine Le Pen se doit assouplir ses positions, abandonner ses prétentions migratoires et sécuritaires de façon à accueillir des éléments PS, LR et autres qui lui donneront, par rebond, la majorité aux prochaines élections présidentielles de 2022.

Le problème c'est que ceux qui sont profondément sympathisants FN, devenu RN, sont déstabilisés par cette situation nouvelle et ambiguë, les purs et durs du FN pourtant se démènent depuis des années pour en défendre les couleurs et enfin faire en sorte de sauver la France du désastre de l'invasion religieuse, essentiellement migratoire pour le moment, qui veut supplanter insidieusement la démocratie pour mettre en place une forme de califat musulman par remplacement de population sur quelques décennies. Le nombre fait la force et l'islam attend d'avoir assez de musulmans en terre de France pour en prendre le contrôle.

Les désordres internes, surtout focalisées dans les banlieues des grandes villes, n'ont pas pour objectif d'imposer une forme de fonctionnement mais de chasser les autochtones pour faire des enclaves de plus en plus nombreuses et en totalité musulmanes, ces expansions de territoires dans le pays c'est la mise en place de points stratégiques qui vont servir de tremplin à l'islam pour avoir main-mise sur certaines institutions, ça va permettre de rendre majoritaire des départements entiers qui vont petit-à-petit prendre des postes à l'Assemblée Nationale et au Sénat pour, une fois l'islam de France majoritaire, dissoudre la constitution française afin d'imposer un gouvernement religieux islamique et imposer la charria à ce qui restera de français qui devront se plier en se convertissant ou partir, voire être éliminés purement et simplement. 

La suite jeudi matin sur les méthodes pour le moins troublantes du bureau RN pour arriver à ses fins.

Bonne journée à tous.

 

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Publié dans Politique française

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