Profession ? Assité. Emploi ? Zadiste, No boder.
Des mesures mesurées avec mesure pour mesurer la démesure.
Sans mesure pas de mesure.
A mesurer sans mesure.
Un vicieux système à bout de souffle.
Si les mots choquent le fond est logique, il est malheureux que l'exploitation des mots et des maux soit encore et une fois de plus sujet à polémiques.
Les socialistes, en 1988, ont créé le RMI pour aider les gens en difficulté et provisoirement privés d'emploi à percevoir un minimum social leur permettant de rester la tête hors de l'eau, c'est louable et une mesure sociale bien venue.
Michel Rocard, alors Premier Ministre, lançait la CSG en 1991 afin de financer ce RMI (entre autres), au taux de 1 %, c'est à dire 9 fois moins qu'actuellement.
Le problème c'est que cet appel d'air s'est trop étendu à différents autres problèmes n'ayant plus grand chose à voir avec les travailleurs provisoirement privé d'emploi.
En 2009 le Système a été "refondu" et le RMI est devenue RSA, on ne cible plus, là, la privation temporaire d'emploi pour ceux qui en sont les "victimes" mais un geste solidaire envers tous ceux qui n'ont pas de revenu du tout, qu'ils soient travailleurs au chômage ou simplement oisifs allergiques au travail, et c'est la que le système s'écroule, cette porte ouverte à un "salaire" garanti pour tous sans contrepartie c'est l'effet inverse de la création du RMI.
Dans la logique pour obtenir le RSA il faut répondre à certaines conditions, pour ça il faut passer par des assistantes sociales de moins en moins nombreuses pour de plus en plus de demande, là-dessus viennent se greffer les fausses déclarations et les documents bidons qui inondent les populations défavorisées.
Le système s'effondre et devient incontrôlable. Bien sûr c'est nettement plus complexe mais je n'en fais qu'un résumé succinct.
Le Président Macron ce n'est pas ma longueur d'onde pour diverses raisons mais ce n'est pas pour autant qu'il faille continuellement le "tabasser" de travers divers qui sont si facile à fabriquer, je passerais sur les caricatures parfois très déplacées mais c'est coutumier, hélas, juste réaliser que la place d'un chef d'Etat c'est tout sauf de la tranquillité surtout quand on ramasse la merde des prédécesseurs.
C'est le lot de tous ceux qui suivent.
Dans le peuple beaucoup d'amalgames.
Et surtout beaucoup de non-sens mais je n'échappe pas à ces erreurs, ce que j'écris n'est pas parole d'évangile, il m'arrive aussi de me tromper.
En lisant les textes officiels sur les aides de l'Etat en matière de solidarité et de social on constate que la plupart des gens qui s'insurgent des possibles restrictions abordées par le Chef de l'Etat se retranchent derrière des idées reçues ou/et des facilités dont ils profitent.
l'AME dont bénéficient tous ceux qui n'ont pas de ressources, cotisants ou non, le texte est clair, il faut pouvoir justifier de certains critères d'obtention, donc le système est boiteux pour certains. C'est justement là qu'on trouve le plus de faux documents invérifiables puisqu'il n'y a pas assez de personnel pour ce faire, un paradoxe dans un pays qui titre autant de chômeurs.
Il en va de même pour les autres "allocations" qu'on peut éventuellement cumuler.
Propagande gauchistes.
Il y en a des milliers comme ça mais ce n'est que de la propagande, c'est vieux comme le monde.
Mais ça marche sur les esprits faibles ou/et échauffés, il faut peu de chose pour allumer un incendie.
Là on note bien le détournement des propos pour en faire une arme psychique, avec force exemples qui reste à prouver on établi une balance incorrecte, je ne doute pas un instant que de changer la vaisselle de l'Elysée ne soit pas une priorité pas plus que ce ne soit nécessaire, je note simplement qu'on prend pour exemple une des nombreuses occasions pour rendre négatif du possible positif.
On souligne bien les dépenses qui seraient excessives et injustifiées mais on occulte soigneusement d'autres dépenses, bien plus conséquentes, qui vont dans un sens social douteux.
Comme celles-ci.
On peut en acheter des assiettes avec 200 millions d'euros, bien plus maintenant puisque cette info date de 2016 et que les subventions ont encore augmenté.
Sur ce sujet aucun gauchiste ne fait de commentaires, c'est dommage, on aimerait bien savoir à quoi servent ces sommes et qui en profite le plus.
Sur ce sujet on a déjà des pistes, ceux qui s'occupent de ces associations se rémunèrent frauduleusement, il ne suffit que de jeux d'écritures mais certains ministres ont montrés l'exemple, difficile de ne pas suivre ces bonnes dispositions.
Qui plus est cette manne offerte par l'Etat sur le dos des contribuables sert à appâter les candidats aux "vacances" européennes faciles, plus il y a d'argent contributif et plus il y a de migrants, plus il y a de migrants et plus les Etats offrent de l'argent au détriment de l'économie, c'est sur ces bases qu'il faut considérer les propos du Président de la République, pas sur les exemples de chômeurs ou assistés incontournables qui seraient les premiers visés, ce qui est faux.
Tout s'exploite.
Deux exemples.
Le premier c'est une lettre qui serait envoyée par un chômeur au Président, je l'ai lue pour me rendre compte, déjà une première connerie dans cette lettre, chômeur ce n'est pas un emploi à plein temps, donc si l'auteur de cette lettre considère le chômage de cette façon c'est qu'il y trouve son compte dans ce chômage en précisant quand-même qu'il exerce des petits boulots, il avoue donc implicitement que ses petits boulots lui permettent de répondre aux critères pour avoir des droits qui le conforte dans cet assistanat qui semble lui tenir à coeur, je ne suis pas sûr qu'il réalise le sens de son texte.
Puis il fait des comparatifs, semblant de ce fait bien informé sur les sommes diverses et autres particularités visées.
Puis il mélange les décisions antérieures des précédents Chefs dEtat aux prises de positions de l'actuel.
Enfin il termine par des menaces non voilées.
Cette lettre ressemble plus à un tract de la CGT qu'à une lettre d'un particulier, j'ai moi-même écrit à Mr Macron mais j'ai ciblé mes propos, suis resté correct et j'ai signé mes lettres que j'ai partagées sur Facebook puisqu'elles sont ouvertes.
Ma foi on va attendre pour savoir si l'Elysée réagit, des lettres il leur en arrive des milliers tous les jours.
Le second exemple c'est la photo que j'ai prise ce matin de nos "vacanciers" forcés qui travaillent à ne rien faire d'autre que de regarder les autres travailler, juste à côté d'un chantier de construction et en regardant leur smartphone, un des objets qu'ils n'ont pas laissé en Afrique.
Alors bien entendu ils ne sont pas responsables de cette oisiveté forcée qui semble parfaitement leur convenir, juste qu'ils profitent des droits internationaux européens sauf un, le seul droit qu'ils n'ont pas c'est justement celui de travailler, ce qui les arrange et puis on n'est pas allé les chercher sur les côtes libyennes pour ça.
Là l'effort social prend tout son sens et toute sa démesure, ce que semble oublier l'auteur du précédent article.
Les subventions d'Etat.
Versées à différentes associations ça alimente aussi les foyers d'infection sociale, la société gangrénée par des ayant-droits de minimas sociaux pour foutre le bordel et cracher sur ceux qui les financent.
No Border, ou sans frontière, ces gens sont issus de milieux différents qui mélangent les oisifs nantis aux zonards paumés, ça donne un amalgame de gens également alimentés financièrement par les impôts des salariés.
Leur but, faciliter l'entrée des migrants pour que ces derniers soient aussi pris en charge par la société.
Les zadistes qui ne veulent plus de capitaux, qui ne veulent plus de frontière non plus mais qui s'approprient des terres pour en faire leur sanctuaire certainement délimité par d'autres frontières qu'ils vont s'empresser de mettre en place, encore un paradoxe.
Zadistes et no-border c'est la même chose.
Les zadistes d'Etat.
Ceux qui se servent de leur mandat officiel pour répandre la mauvaise parole.
Il est vrai que le maire de Briançon n'est pas à une incongruité prêt, il s'est présenté aux élections municipales de la ville se targuant de réduire la dette dont il est indirectement l'instigateur puisqu'il était chargé des finances de la ville à cette époque.
Les morts sont ceux qui sont victimes de ceux qui vont les chercher en Afrique, les ONG, d'ouvrir les frontières (une incongruité puisqu'elles n'existent plus) n'empêchera pas les morts, ce serait plutôt l'inverse.
Avec lui l'argent est inépuisable, la tirelire des contribuables pour entretenir des migrants dont il facilite l'accès par des frontières passoires c'est l'exact inverse de son rôle de représentant de l'Etat, puisque normalement il est le garant des institutions par délégation, il est aussi le garant du bien-être de ses administrés et le garant de leur sécurité.
En pondant ce tract torchon, certainement sur les deniers municipaux, il trahit ses électeurs et ses administrés, c'est de l'abus de confiance et de l'abus de pouvoir, c'est du détournement de finances publiques à des fins de propagandes contraires au fonctionnement de la société.
La merde dite écologique.
Puisque les zadistes se répondent de l'écologie, ce qu'on peut constater sur ces clichés et bien d'autres.
On peut comprendre aussi que Mr le Maire, zadiste d'Etat, s'y retrouve, vu l'état dans lequel il laisse la ville ce genre de spectacles ne doit pas lui déplaire, bien sûr il ne va pas se balader en ville presque à poil, cette arme pacifique des neuneus en manque de propagande, juste qu'il contribue à faire rentrer des migrants qui sont aussi bénéficiaires des minimas sociaux (Ce n'est pas exactement comme ça mais c'est la même chose).
On peut donc comprendre le sens des propos de Mr Macron, juste que la récupération politique se veut destructrice, ce n'est pas nouveau.
A Briançon les zonards professionnels sont légion, chaque semaine ils sont un peu plus nombreux, assistés professionnels, comme les chômeurs professionnels (A ne pas confondre avec ceux qui sont réellement dans la merde à cause du chômage), ils sont rémunérés par les minimas sociaux, ils sont logés gratuitement, il sont nourris pour un euro le repas, ils sirotent à longueur de journée leurs bières payées par ces subventions et autres sommes issues de la "manche", ils toisent les administrés d'un regard de défi, voir de haine, il faut les contourner pour ne pas perturber leur tranquillité sur la voie publique qu'ils souillent volontairement de leur crasses chroniques.
En les croisant il faut baisser les yeux, bien leur montrer à quel point on est soumis, de ne rien avoir et de dépendre de tout c'est une force qu'ils exploitent.
Ça aussi c'est ce que voudrait bien réduire le Chef de l'Etat.
C'est si facile d'exploiter des mots pour en faire des maux sociétaires.
Lundi 18 il y a un "faux" débat auquel je participe, j'espère en apprendre un peu plus.
Bonne journée à tous et à très bientôt.
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