De tout
Au hasard de mes déplacements je relève parfois des amusements, des étonnements.
Je constate aussi certaines évidences.
Rue du Gal Rostolland à Briançon.
Du moins l'accès piétons qui accède à la Chaussée.
Comme tout ce qui ne se voit pas par tous la négligence d'entretien se fait sentir, les odeurs aussi quand il fait chaud et quand il y a des résidus organiques.
On ne se refait pas.
La Durance ce matin.
Le long de la Shappe.
Fonte des neiges et pluies cumulées.
Marché dominical.
9h00 passés, certains commerçants ne sont pas venus, d'autres montent seulement leurs éventaires.
J'aimais bien aller au marché, pourtant j'y découvre des situations un peu étonnantes, comme ce marchand de fromage qui tousse sans aucune précaution sur la marchandise en vente, puis celle qui fume en laissant tomber ses cendres sur les légumes à la vente, etc..
Et puis maintenant c'est plus cher qu'en grande surface et la plupart ne proposent que les mêmes produits achetés aux mêmes grossistes.
C'est juste pour dire et ça n'engage que moi bien entendu.
Le Mélézin.
Ce matin.
Je voulais monter en vieille ville, peu de bus et puis de ce temps ça ne me parle pas.
Je laisse la voiture au parking, perdre sa place c'est un peu galère dans le quartier, depuis que l'immobilier prend les places disponibles on assiste à une situation plutôt incongrue, de plus en plus de monde à habiter dans le même secteur et de moins en moins de place leur permettant de s'y garer.
C'est de la merde.
Ça ressemble à de la paella mais ce n'est qu'une pâle imitation de paella, c'est de la merde sans l'odeur de la merde, du moins pas encore.
Je me suis laissé avoir par la présentation, il n'y a que ça d'attirant, du poulet dégueulasse cuit à l'eau, du riz de très mauvaise qualité gonflé d'eau, deux moules rachitiques, une crevette qui ne méritait pas tant de cuisson, deux rondelles de chorizo archi cuites et une sauce à gerber son quatre heure.
Bref, c'est vendu chez Leclerc - je leur aie d'ailleurs dit que c'est de la merde - et franchement la seule qui apprécie ce met hors concours c'est la poubelle alors que j'ai une sainte horreur de jeter de la nourriture, ne serait-ce même qu'une croute de pain.
On ne m'y reprendra plus.
Et puis, pour faire une suite à une précédente page sur les emballages plastiques, de réchauffer les plats dans leurs emballages, comme c'est préconisé, engendre le risque de diffusions de molécules dangereuses potentiellement cancérigènes issues de la chauffe de ces plastiques, mélangés à la merde qu'on nous oblige à bouffer - du moins pour les paumés qui n'ont pas le moyens de s'offrir du haut de gamme - à long terme les problèmes de santé vont se faire sentir et générer des pathologies.
De la même façon les liquides contenus dans des bouteilles plastiques s'imprègnent également de molécules chimiques issues du pétrole qui se mélangent aussi aux liquides.
C'est la raison pour laquelle sur les étiquettes il est préconisé de ne pas laisser les liquides, y compris les eaux, trop longtemps dans ces bouteilles, comme quoi les responsables le savent mais continuent à empoisonner les populations pour des raison de cout.
Voir ma page Cancer ? C'est évitable.
Décantation.
Je verse mes eaux achetées - l'eau trop calcaire du robinet est dégueulasse et sent le chlore - dans des récipients en verre, je fais ma bouffe dans des plats et contenants divers en verre.
Tous les plats préparés que j'achète je les sors systématiquement de leur emballage plastique pour les faire chauffer dans des réceptacles en verre ou en porcelaine.
C'est peut-être con et inutile mais au moins je m'auto-rassure.
A GAP.
En la cathédrale.
J'y vais de temps en temps histoire d'être en tête à tête avec moi-même.
J'y vais de mon obole puisque le clergé a aussi besoin de quelques supports financiers, comme tout ce qui fonctionne.
Ici les cierges sont de vrais cierges pour un prix identique à Briançon, sauf qu'à briançon on n'a juste qu'un mini lumignon miteux à bas prix qui pourrait servir de chauffe plat de plein-air.
Comme quoi la religion n'est pas appliquée de la même façon partout, du moins certains supports.
Vu à Gap
Çà c'est une vérité qu'elle est vraie.
(Dixit Coluche)
Vue à Briançon.
220 euros.
Quatre paires pour un mois de salaire au SMIC.
Ma foi, quand on a des sous !!!!!
Fabriqué en Chine, exporté de Chine à environ 35 euros sans le transport, je me dis qu'il y a des marges qui justifient qu'on ouvre un magasin.
On n'a pas tous la même valeur mais il en faut pour tout le monde.
Gap.
Place Ladoucette.
J'aime bien.
Mon dernier livre.
Le prochain sort dans quelques jours.
Le suivant sortira courant Juillet.
Maintenant en vente à la librairie Davagnier place J Marcelin à Gap et toujours à la librairie Héritier à Briançon rue Centrale.
Je crois aux signes.
Résultat final 9 par combinaison de tous les chiffres.
Sans choisir, que des 5.
C'est juste comme ça.
Bonne journée à tous.
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