Sale race ! Sale type ! Parasite !
En ce début de XXIème siècle dont je ne verrai pas la fin, à moins d'un miracle, je fais la synthèse personnelle de l'évolution humaine.
Sachant que l'évolution incontrôlée amène le désordre qui crée le chaos, le chaos aboutit à la disparition de ce qui l'a créé pour laisser la place à une autre forme d'évolution contrôlée, du moins au début.
Un vaste sujet.
Ne sachant trop par quel bout le prendre pour tisser une toile démonstrative cohérente, je vais commencer par le haut de l'échelle, celle qu'ont déterminé les scientifiques pour juger des différences.
Dans la question j'ai déjà la réponse, ce qui va me permettre de développer le sujet.
Pour connaître du fonctionnement humain et pouvoir suivre les différences des races humaines il faut des gens qui ont la capacité de le faire, c'est à dire de ceux que la nature a favorisé en les faisant naitre intelligents, voire même très intelligents, sachant que l'intelligence, contrairement à l'instruction, est acquise en totalité dès la naissance, c'est fonction du milieu évolutif qu'elle se dévoile et fonction de l'utilité qu'elle peut avoir suivant les milieux dans lequel son possesseur évolue.
Plus une société est complexe et plus l'intelligence se rend utile, comme pour les races elle n'utilise que le potentiel utile à l'environnement d'évolution et de vie.
Donc, un scientifique sera celui qui développera le plus de potentiel, ce qui le placera au-dessus de la multitude qui fait que s'il n'a rien à attendre des autres les autres ont tendance à en attendre beaucoup de lui.
Fonction des besoins et nécessités cette intelligence se focalisera sur un sujet bien précis, on en déduit donc qu'un scientifique ne l'est que dans un domaine bien précis, c'est aussi ce qui détermine les différences de race, l'évolution de l'homme s'est faite à travers toute la surface de la planète, cette dernière n'étant pas répartie uniformément chaque particularité verra sa population évoluer de façon différente en n'utilisant que le potentiel nécessaire à son évolution dans cet environnement dit.
La science évolue, ou plutôt la découverte des sciences évolue, le scientifique à la capacité d'analyser l'environnement et le fonctionnement d'autant plus facilement qu'il sera intelligent, de là on déterminera des modèles de références qui serviront de base au fonctionnement sociétaire, dès que ces références seront validés par des gens, n'ayant d'ailleurs pas capacité de les analyser raison pour laquelle ils les valident pour les rendre légitimes, elles auront force de loi afin d'en faire appliquer les principes à la société qui dépend de ces références.
De là on déterminera un fonctionnement qui s'exonère d'un quotas d'intelligence dite pour en faire appliquer les principes. C'est aussi ce qui fait la différence entre un scientifique et un politique, ce dernier n'étant que l'exécutant du précédent même s'il se persuade que c'est le contraire, pour faire de la politique il n'y a pas besoin d'avoir un gros bagage intellectuel, juste être suffisamment instruit pour l'être plus que la moyenne, ce qui, aux yeux de cette moyenne, le fera passer pour un scientifique de la politique alors qu'il n'est que le sous fifre de cette science.
La preuve en est, aucun scientifique digne de ce nom ne s'abaissera à vouloir faire de la politique, aucun politique n'ira se frotter à un scientifique de la politique, il ne fera que l'aduler en lui passant la pommade et en le favorisant, une place en Or dans la société.
Donc, les scientifiques ont établi que le système sociétaire de l'humanité est basée sur des critères raciaux et cultuels, les différentes cultures, elles, résurgent d'un environnement spécifique selon qu'on se trouve à telle ou telle place sur la surface de la terre.
La nature, qui fait si bien les choses, est basée sur l'équilibre, l'équilibre c'est la base de tous les fonctionnements quels qu'ils soient, que ce soit les électrons d'un atome autour d'un noyaux, la répartition des naissances suivant que l'évolution a besoin de telle ou telle quantité d'individus dans un lieu spécifique, que la réaction de la poussée soit opposée à l'attraction, etc etc.
L'équilibre d'une société humaine c'est sa capacité à pouvoir faire fonctionner en symbiose des éléments disparates, mais d'une même origine environnementale, de façon à ce que le résultat soit cohérent, c'est l'équilibre sociétaire qui permet d'évoluer en harmonie de la même façon que l'air qu'on respire est composé de quantités bien définies de gaz différents, Oxygène, azote et autres gaz en quantité négligeable, l'homme ne peut pas vivre sans oxygène qui permet la combustion, donc la vie, ni sans azote qui neutralise les effets combustibles de l'oxygène afin de le rendre utile à la vie (C'est nettement plus compliqué mais je simplifie).
Depuis quelques années, les têtes mal-pensantes, qui se veulent bien-pensantes, tendent à vouloir modifier certains termes afin de les rendre assimilables pour des raisons d’éthique, malheureusement c'est le contraire qui se produit, de dénaturer une logique la rend illogique et perturbe un fonctionnement.
La société, pour bien fonctionner, doit être cohérente et s'organiser sur des bases établies, si ces bases ne sont pas suivies par l'ensemble de cette société cette dernière dysfonctionne, ceux qui suivent les règles de cette société, constatant que des éléments la perturbent, vont rapidement en déduire que ces éléments sont néfastes à ce fonctionnement, et ils ont raison.
Cependant, pour exploiter un dysfonctionnement afin d'en établir un autre plus personnalisé, il faut induire des règles spécifiques qui laissent entendre que les éléments perturbateurs du dysfonctionnement puisse intégrer leur propre fonctionnement.
Ce déroulé un peu "tordu" pour en arriver à déduire que la culture d'une société doit être cohérente et homogène, les éléments qu'on veut lui intégrer doivent donc s'impliquer dans le fonctionnement de cette société pour quelle le reste.
Sur terre, il existe une quantité non négligeable de race diverses, les détailler serait fastidieux et inutile, je vais donc simplifier en ne gardant que les trois principales, la race noire, la race jaune et la race blanche. Les sciences anciennes ont dénommé ces dernières par des appellations qui défrisent les intelligences émergentes d’aujourd’hui, la race asiatique, qu'on a gardé, la race blanche, qu'on a gardé puisque c'est cette dernière qui semble s'offusquer des deux autres, et la race négroïde qui fait des océans de polémique pour des raisons politiques, mais pas seulement.
Qui sommes nous ?
Je ne suis pas paléontologue, donc je ne ferai pas d'exposé, mais il est certain que d'autres règnes nous ont précédés et que d'autres nous remplaceront, nous ne sommes qu'éphémères et peut-être même que nous seront le plus court règne de la vie de la terre.
Les gigantesques cataclysmes qui "nettoient" la planète tous les 100 millions d'années sont aussi la chaine évolutive de la nature, croire que l'homme évolue est une erreur, c'est la nature qui évolue en nous permettant ce passage de quelques centaines de milliers d'années, l'homme ne fait que s'adapter à cette évolution mais je ne vais pas développer on y serait encore la semaine prochaine.
Si je me réfère aux dernières découvertes il est probable que nos plus anciens ancêtres bipèdes remontent à 8 millions d'années, ce qui est ridicule comparé au centaines de millions d'années qu'ont vécu les dinosaures et les espèces qui les ont précédé, la terre n'a pas mis 4,5 milliards d'années à se former que pour nous permettre de déconner en quelques dizaines de milliers d'années seulement. Il faut peu de chose à notre planète pour nous engloutir en totalité en quelques heures de façon définitive.
Maintenant, bipède ne veut pas dire homme, pour pouvoir établir l'origine de l'homme il faut se baser sur des comportements et non sur la morphologie, connaître du comportement de nos lointains ancêtres relève de l'impossible, même si des traces de fonctionnement ont été découvert ça ne veut rien dire, les scientifiques ont aussi leur limite, de définir une frontière entre le fonctionnement de grands singes et celui d'hommes émergeant c'est du domaine de l’irréel, on bascule là dans l'interrogation qui lie science et religion.
Me concernant j'ai l'intime conviction qu'une intervention extraterrestre a eut lieu à un moment donné, mais là aussi chacun déduit ce qui lui semble le plus rationnel si toutefois, arrivé à ce stade de l'interrogation, c'est encore rationnel. Il serait absurde de s'imaginer que l'univers n'existe que pour nous seuls, comme il serait absurde de considérer que nous sommes les premiers dans ce si vaste et si complexe système, comme j'ai aussi de gros doutes sur le principe du Big-Bang mais cette réflexion personnelle n'engage que moi.
Il faut donc considérer que sur terre les mêmes disparités existent à une petite échelle, les autres formes de vie de l'univers ne sont certainement pas semblables à la notre, tout dépend de l'environnement cosmique et de l'évolution de la matière qui crée les systèmes vivants, je ne vois pas pourquoi il y aurait immuabilité de développement fonction de la taille des étoiles et de ce qui gravite autour, nos déductions rationnelles nous induisent à une réflexion trop étroite.
On ne va considérer l’humanité actuelle qu'à partir de cent mille ans en arrière, ce afin d'avoir une tranche d'étude suffisante mais aussi relativement courte. Jusqu'à maintenant les scientifiques ont déduit que l'homme ne s’est créé qu'en un point bien précis de la terre, ils le situent en Afrique du côté de l’Éthiopie actuelle, ayant lu d'innombrables ouvrages sur la question, ayant observé divers comportements depuis qu'on a le réalisme de déduction, je ne reste pas persuadé que ces gens ont raison, j'ai l'intime conviction que l'homme a émergé en différents points de la planète à peu près au même moment, ce qui rejoint ma précédente déduction qui tend à penser que la science et la religion se confondent.
En fait quand je marque émergence de l'homme c'est inexact, je préfère étincelle de l'intelligence humaine, qui a dû se produire au même moment partout où il y avait ces hominidés pas encore "éclairés" de la voie vers l'évolution de notre espèce. En des lieux de la planètes très disparates ils ont donc évolué fonction de leur environnement, leur morphologie s'est développée fonction des climats sous lesquels ils étaient et où ils sont toujours à l'heure actuelle bien que la dilution tende à uniformiser les comportement.
Les cultures sont donc émergentes de ces fonctionnements évolutifs, les religions, qui sont des fonctionnements cultuels, se sont également imposées naturellement par des préceptes tout aussi différents que les races et les besoins de survie. Là, on retrouve la fusion science religion qui s'appuie sur une intervention extraterrestre, si les religions sont différentes elles ont toutes la même origine, elles se tournent toutes vers le ciel, donc vers l'univers, là d'où nous venons, mais là encore ce ne sont que mes déductions, le sujet est vaste et insondable. Sans culture, pas de religion, sans religion pas de culture, là encore le lien est impossible mais pourtant évident.
Tant que chaque race resté contenue dans son environnement évolutif tout va bien, l'homme, évoluant aussi, a acquis le développement de l'intelligence et donc aussi la faculté d'adaptation que permet cette intelligence, dans le même temps ce développement évolutif uniformise le fonctionnement humain, la tendance des uns étant de vouloir penser qu'elle est prépondérante sur les autres et inversement. Le problème réside dans l'accélération de l'évolution, de la même façon qu'une étoile en fin de vie accélère son processus de destruction, comme aussi une galaxie, la vitesse d'accélération de ce processus s'intensifie d'autant plus vite qu'il accélère, jusqu'à la désintégration qui laisse la place à l'émergence d'une nouvelle période évolutive d'une autre espèce.
Actuellement nous avons donc des humains blancs, noirs et jaunes, la palette des races se dispersant dans de multiples différences qu'on a du mal à vraiment définir, partant du principe que chaque humain est unique et différent de tous les autres, en exagérant on peut dire qu'il y a autant de races qu'il y a d'humains. La vie ayant tendance à se développer en sociétés coordonnées, les accointances se rejoignent pour créer des communautés, ces dernières s'organisent sur un système de fonctionnement établi par des règles, seule façon de trouver et garder un équilibre.
Du chaos est né l'équilibre, la société humaine fonctionne naturellement comme tout ce qui constitue l'univers, quand un élément extérieur à un équilibre vient le perturber c'est le chaos, le chaos engendre une cascades de chaos qui ne retrouve son équilibre que quand les éléments perturbateurs ont retrouvé leur propre équilibre dans leur milieu.
Avec 67 ans de vie, je peux déjà me faire une infime idée du fonctionnement humain d'autant que j'en fais partie intégrante. Je vais ôter les quinze premières années qui n'ont fait que me créer dans mon entier et me modeler d'une éducation sociétaire dite, je peux donc considérer que je dispose d'un peu plus de cinquante ans d'observations pour me faire une idée sur le dérèglement sociétaire. Le problème c'est que cette société n'est pas immuable, elle bouge aussi, elle se transforme en transformant ses éléments constitutifs, tant qu'ils sont identiques, du moins communautaires, l'évolution et les transformations sont équilibrées, si un élément extérieur vient perturber cet équilibre en voulant imposer le sien ç'est le bordel.
On va commencer par le début.
Le racisme anti noir, d'où vient-il ?
Et bien il vient de loin, en fait il est aussi vieux que la bible, on peut même considérer que le racisme, et pas seulement anti noir, à ses origines dans l'émergence des trois principales religions.
Et oui, si le racisme tel qu’il est considéré aujourd'hui est à dissocier des religions ce sont pourtant les religions qui ont engendrée le racisme.
Pourquoi ? Parce que les religions s'attachent à une culture qui est la caractéristique d'un fonctionnement sociétaire fonction les régions du monde. De la même façon les sociétés se sont créées sur des bases religieuses, les plus marquantes médiatiquement, à l'heure actuelle, étant le judaïsme et l'islam, la première en prétendant être suprême, la seconde en voulant convertir l’humanité toute entière en éliminant ceux qui refuseraient.
On revient donc à mon précédent paragraphe, de sortir les communautés de leur environnement, celui qui les a façonné depuis des dizaines de milliers d'années, pour vouloir les intégrer dans un autre contexte, c'est créer des conflit qui engendrent la haine, le racisme c’est de la haine pure.
Ces mélanges de cultures et ces tentatives impossibles d'intégration se sont surtout manifestées à partir du 17ème siècle, quand les différents pays ont commencé à naviguer de façon commerciales et financières sur les océans, l'Europe en est le berceau.
Les romains ont massivement importé des noirs d'Afrique pour travailler comme esclaves, parmi bien d'autres venus des territoires conquis. Puis l'invasion des Amériques par les européens, surtout les espagnol qui s'en sont octroyé les trois quarts, et le premier véritable génocide de l'Histoire, le massacre massif des indiens par les conquistadors depuis le cap Horn jusqu'à la frontière nord mexicaine et les anglais, irlandais et français en Amérique du Nord, la décimation par génocide des actuels USA résultant surtout des anglais. (Ce ne sont que de grandes lignes)
La traite des noirs a réellement commencée avec l'invasion des Amériques, surtout du Nord, le besoin de main-d'oeuvre pratiquement gratuite et l'inépuisable berceau africain, si les indiens ont été massacrés les esclaves noirs ne vivaient pas vieux non plus. Le problème est tout autre, les communautés dans leur contexte sont de nature à défendre leur territoire, déplacées elles deviennent vulnérables, d'avoir déplacé des centaines de milliers de noirs aux Amériques revient à les avoir envoyé à l'abattoir. Encore aujourd'hui l'assimilation n'est pas faite, elle ne pourra certainement jamais se faire, la considération des uns étant incompatibles avec les exigences des autres et c'est une logique implacable.
Le problème de l'humain c'est de construire son avenir en référence au passé, le problème de l'humain c'est de raviver les cicatrices, mais on n'efface pas des milliers d'années de fonctionnement en quelques décennies, surtout quand la population augmente de façon exponentielle avec l'esprit de vengeance.
Quand j'étais gamin, il était rarissime d'entendre des insultes envers les noirs, il y en avait que je connaissais bien, quand on est gosse on ne voit pas les couleurs, on ne voit pas les différences. Ils n'étaient pas bien nombreux en France, c'était surtout ceux des colonies qui étaient employés en métropole, donc pas déconsidérés.
Quand aujourd'hui j'entends et je lis "sale noir" ça me fait mal, bien que certains fassent rapidement l'amalgame d'une tendance politique à un comportement sociétaire, j'ai de la considération pour tous les humains dès l’or qu'ils aient la même à mon endroit.
Le problèmes de certaines communautés c'est de ne pas vouloir s'intégrer, ou ne pas pouvoir s'intégrer, leur présence impose donc qu'elles fonctionnent de façon autonome, ce qui ne pose pas de problème, l'autre c'est de vouloir imposer leur mode de vie à ceux chez qui elles s'installent, et là ça ne passe plus.
La représentation que je mets, à travers la photo de ce paragraphe, c'est la triste réalité imagée de ce que la société actuelle inculque à sa descendance, la haine ça commence au biberon, mais pas qu'aux biberons des blancs, on va le voir à la suite.
Le racisme asiatique.
Bien que nettement moins médiatisé il existe pourtant, en fait le racisme, ou plutôt l'utilisation de cette expression si pratique pour couvrir les maux, c'est d'abord une attitude dite par rapport à une autre, parce que si les scientifiques, encore eux, se penchent vraiment sur le problème, ils constateront que tout est bon pour rendre racistes toutes les formes de refus ou de rejets.
Le racisme anti-jaune remonte aussi à très loin, les premiers effets se font sentir dès le Vème siècle, ces époques de grandes transhumances des peuplades nomades, ces dernières ne cherchaient d'ailleurs pas à conquérir des territoires mais à profiter des richesse des territoires ponctuellement envahis.
Si on remonte très loin dans le temps on pourra constater que les peuples envahisseurs ont créé une race spécifique à force de croisement des différentes races anciennes, au risque d'être contesté, voire vilipendé, je reste persuadé que la race blanche, dont je fais partie, n'est que le résultat de millénaires de copulation entre les différentes races anciennes, asiatiques et noires, un peu comme le mélange des couleurs, vert, rouge et bleu ça donne du blanc.
Ça c'est la génétique, la culture est l'adaptation des peuplades nomades sédentarisées qui se sont assimilées à leur environnement de vie, les religions sont la résultante des cultures fonction aussi de l'environnement, c'est à dire des manifestations naturelles étant interprétées comme des signes divins, un viking adorera un dieu qui résulte des tempêtes, un romain adorera un dieu qui résulte des volcans, un égyptien adorera un dieu résultant du soleil et des fleuves, chaque cause naturelle environnementale influant directement sur le mental des hommes, c'est l'environnement de vie qui détermine la religion, les plus intelligents, donc plus malins que les autres, en tireront avantages et soumissions des peuples, il faut si peu de choses pour être persuasif, ils vont s'enrichir sur le dos de ceux qu"ils rendent pauvres, ces derniers vont s'en réjouir et les aduler, non pas parce qu'il sont meilleurs mais parce qu'ils sont plus malin, les moins malin ne s'en rendent pas compte puisqu'ils sont moins intelligent donc moins instruits.
Les grandes peurs des IVème et Vème siècle ont tellement marqué les esprits que maintenant encore c'est prépondérant, pour soumettre un peuple il faut lui faire peur, c'est ce qui est le plus efficace, pour faire peur il faut des arguments, la destruction physique en est la principale, donc les armes et les armées, plus un pays est armé plus il est puissant même si son économie en pâtit.
Les invasions asiatiques ont beaucoup marqués les peuples d'Europe, cette peur c'est le racisme anti-jaune d'aujourd'hui. Pourtant, quand on y regarde de plus près, la race blanche est minoritaire sur terre, les plus nombreux sont les asiatiques mais ils se contentent de ce qu'ils ont et de ce qu'ils créent parce que justement ils sont les plus forts dans ce domaine, non pas spécifiquement par les technologies mais par la faculté d'adaptation et leur facilité à en tirer avantage, ce que les blancs sont incapable de faire mais c'est un sujet trop vaste pour tenir dans une page de blog.
Si on fait relève des statistiques on pourra remarquer que la presque totalité des communautés sont discrètes, elles s'installent ailleurs que dans leurs lieux d'origine, fonctionnent comme en ces lieux quittés mais en restant confinées sans prosélytisme. Une communauté ce n’est pas une race, c'est un fonctionnement qui allie religion et société. La seule qui pose problème c'est une certaine forme d'application de l'islam, ce qui ne veut pas dire que les musulmans sont des parasites, ils sont subjugués par un fonctionnement disparate, ce qui les rends dépendant de textes discutables de la même façon que la religion chrétienne est divisée (Catholiques, protestants, orthodoxes, anglicans) ce qui crée aussi des conflits qu'on déguise en disparités sociales et culturelles.
Personnellement je peux me balader dans le treizième arrondissement de Paris à n'importe qu'elles heures du jour et de la nuit sans "escorte", je ne risque pratiquement rien, pourtant les asiatiques y sont majoritaires, mais ils respectent ceux qui leur ont permis de s'installer et de créer leur communauté au milieu des autres, ils respectent ce qui les fait vivre et évoluer.
Par contre je ne me risquerais pas de sortir seul dès la nuit tombée dans le dix-huitième arrondissement, là ou les musulmans sont majoritaires, parce qu'une partie ne respecte pas ceux qui les font vivre, ils préfèrent le profit au partage sur le dos de ceux qui les accueillent, comme un virus attaque une bactérie. D'où viennent donc ces différences et ces écarts énormes de comportement ?
Des races ? Pas du tout, juste du fonctionnement sociétaire, on a un peu trop tendance à nommer racisme les phénomènes de société, ç'est un régal pour les politiques qui entretiennent ces conflits et accentuent ces dérives expressives, plus ont met des gens en conflit, plus on les contrôle, c'est de la politique pure, ce qui rejoint ce que j'écris plus avant, les plus malins l'emportent sur les autres.
Pour qu'une société soit cohérente il faut qu'elle accepte les différences, pour que ces différences soient homogènes il ne faut pas que l'une veuille être supérieure aux autres ou veuille profiter des autres. On est très loin du compte. Les "sociétés" qui s'incrustent par invasion sournoise détruisent la société qui les accepte pour imposer la leur.
Les "jaunes s'installent donc chez les autres avec respect, en Europe ils sont très actifs et participent à l'économie sans en dépendre, le contraire des populations migrantes qui profitent de l'économie sans y participer, ça s'appelle des parasites.
Le racisme anti-blanc.
Qui, une fois de plus, est un terme inapproprié mais si usité qu'il a remplacé "conflits sociétaires", ce qui est pourtant une évidence. Les conflits de société ça a toujours existé, ne serait qu'à la base entre deux voisins antagonistes, dès qu'il y a communauté il y a différences, donc forcément déséquilibre dès l'or que l'un veut que l'autre soit comme lui où fonctionne comme lui.
L'homme ayant cette particularité à tout ramener à lui, ce qui ne lui convient pas est forcément hostile, mais c'est pareil, c'est un vaste débat infini et insoluble. Chaque individu se doit donc d'accepter la différence de l'autre et inversement, c'est la même chose pour les communautés, accepter les autres et se faire accepter des autres.
Sous nos latitudes on accepte facilement les autres, pour peu que ces derniers en soient conscients, cependant les différences de cultures sont déjà un obstacle, les précédents politiques aussi, à cela il faut rajouter la médiatisation négative, celle qui consiste à transformer les évènements, on se retrouve avec un cocktail explosif qu'une étincelle peut faire exploser.
Une explosion lente, en plusieurs étapes, une société, fut elle la plus civilisé et patiente du monde, a aussi ses limites, le problème c'est que personne ne connait ces limites, alors on pousse toujours un peu plus vers le non retour en se disant qu'il y a des limites, c'est quand on est passé du mauvais côté qu'on réalise qu'il est trop tard, c'est valable dans tous les domaines, physiques, chimiques, sociétaires.
Dans les années 1980 une société nouvelle s'est crée, celle de l'acceptation totale sans réserves mais sans savoir ce qu'il fallait accepter, un peu comme un client va payer en toute confiance une voiture sans savoir ce qu'il va avoir.
Cette société nouvelle, voulant bouleverser un système de fonctionnement qui présentait quelques défauts, s'est imposée comme la solution idéale, tout accepter de ce qui va arriver mais en supprimant progressivement ce qui existe, c'est à dire foncer dans l'inconnu.
Quand le socialisme (ça me gêne cette appellation qui n'a aucun rapport avec la racine de ce mot) s'est imposé la première chose qui a été faite c'est d'imposer un mode de vie anti-social, anti-social existant sous couvert de faire du social. En reprenant mes écrits plus avant des gens plus malin que les autres se sont imposés pour installer leurs idées propres, partant du principe qu'une partie non négligeable de la population est assez naïve, avec quelques artifices et beaucoup de baratin se sont insidieusement introduites des formules allant à l'inverse de ce que les populations attendaient, mais comme ça s'est fait sur le long terme, à force de mettre les gens au pied du mur on les a assoupli de façon à ce qu'ils acceptent n'importe quoi.
Durant des siècles on assimile des populations migrantes, à petites doses ça se passe très bien, la moitié de la population française à au moins un ancêtre d'origine étrangère, les étrangers, quelle que soit leur race, se sont parfaitement intégrés à un fonctionnement rodé et qui a fait ses preuves. Pour assimiler plus de populations migrantes, qui ne pourront pas s'intégrer à cause du nombre, on a créé des systèmes d'assimilation, mais pas pour assimiler les migrants, pour assimiler les autochtones à accepter une autre forme de société, celle que les migrants amènent et veulent imposer. Et bien vous ne savez pas ? Ça marche.
On a donc créé des associations, subventionnées par les populations d'accueil afin d'assimiler ces mêmes population à accepter l'inacceptable, la première et la plus connue c'est SOS RACISME. On vient d'introduire la notion officielle de racisme là où elle n'existait pas. Les arrivants de toutes origines, surtout d'Afrique noire, se sont vus confortés dans leurs façons de vivre, c'est à dire profiter sans contrepartie, de là on a créé d'autres associations, toujours subventionnées par les populations d'accueil, pour imposer des droits inexistants et n'ayant pas lieu d'être puisqu'ils étaient déjà appliqués sous une autre forme.
On vient de détruire le tissus social solidaire au profit de l'assistanat de masse financé par des prélèvements obligatoires, ce qui fait que les retenues sociales ont augmenté de 450 % en trente ans seulement, Mais, au lieu d'en tirer profit, de ces populations accueillies, on détruit l'économie en sacrifiant le secteur qui l’alimente pour favoriser des finances de plus en plus manquantes proportionnellement aux besoins qu'elles génèrent. On dit aussi suicide sociétaire.
Les populations "envahies", commençant à trouver que la limite est atteinte, s'insurgent de ces dégradations de plus en plus marquantes. Pour museler ces populations ont induit, via les associations créées, un système d'autodéfense des envahisseurs en les incitant à se soulever contre les populations d'accueil. On vient d'inverser les rôles et de détruire le tissus social millénaire.
C'est à partir d'un racisme existant à l'extérieur qu'on a induit le racisme anti-blanc qu'il n'est en fait qu'une guerre civile latente entre ceux qui envahissent et ceux qui se laissent envahir, je marque bien QUI SE LAISSENT ENVAHIR.
Viennent se greffer sur ces problèmes les ingérences multiples qui se sont imposées par le fric, si la dette de la France est colossale ce n'est pas par accident ni par mauvaise gestion, c'est une stratégie qui est rodée et bien connue, quand on doit de l'argent on ne peut que fermer sa gueule et accepter toutes les contraintes, en échange de quoi on ferme les yeux sur la dette tout en continuant de l'alimenter. Les responsables qui laissent la dette grossir (Chef d'Etat, ministres, députés) en tirent profit, la vie est courte, autant en profiter.
A partir du moment où les populations autochtones sont chassées de chez elles pour laisser la place à ceux qu'elles financent c'est que la fracture devient irréparable.
Et bien aujourd'hui on en est là.
Parasite.
Organisme animal ou végétal qui se nourrit strictement aux dépens d'un organisme hôte d'une espèce différente, de façon permanente ou pendant une phase de son cycle vital. Personne qui vit dans l'oisiveté, aux dépens d'autrui ou de la société.
C'est une définition officielle, elle est très parlante, pas besoin de rajouter quoi que ce soit.
La création de l'assistanat de masse c'est l'introduction de parasites dans une société. Je connais un bon nombre de ces "parasites", de ceux qui m’insultent quand je leur dis encore travailler à 67 ans, qui viennent me dire que je prends la place d'un autre, une chose est sûre, je ne prend pas la leur.
Quand je paye 5000 Euros d'impôts c'est pour en partie les financer dans leurs statut d'assistés, la presque totalité de ceux que je connais est en capacité de travailler, sauf qu'ils refusent, ils me l'ont dit, bien trop content de ne rien faire à regarder les autres travailler, un toit d'assistés, des repas d'assistés, des subventions de secours alors qu'ils ne sont pas en danger, pas de frais, pas d'impôt, pas de charges, franchement, ils seraient un peu con de changer çà !
Si la société française veut retrouver un équilibre il devient indispensable de supprimer ce qui alimente les parasites, ceux qui sont extérieurs repartiront, ceux qui sont internes se mettront au travail. Ne resteront que les vrais nécessiteux, ceux que nos gouvernements successifs fabriquent depuis plus de trente ans pour assoir une politique.
Les assistés aussi votent, il ne vont certainement pas donner leur voix à ceux qui voudraient les remettre au travail. C'est beau le socialisme politique.
J'écris un livre là-dessus, j'en ai pour des années, mais j'ai le temps, ce n’est pas demain que la matière première va me manquer.
Bonne semaine à tous et à bientôt pour autre chose.
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