Un monde de fous !
Les journaux d'hier qui sont ceux d'aujourd'hui, sont
"engagés" en faveur d'un régime.
Le reste suit.
Il n'y a que quatre ans.
Les journalistes des médias ont changé, certains sont partis remplacés par d'autres, aux ordres.
L'effet changement de politique municipale a pour effet changement d'objectif médiatique.
Je me souviens de cette réunion du conseil municipal où une journalistes du Dauphiné avait été envoyé "promener" par son altesse sérénissime Fromm, celui qui achète les médias afin de servir la cause du PS donc la sienne.
Ce genre d'information ne plait pas à ceux qui en sont les cibles, pourtant c'est de la véritable information, celle que le Dauphiné actuel ne sait plus faire et c'est bien dommage, il tirerait double à Briançon.
Il y a des restes mais avec prudence.
En écrivant ces lignes le journal ne prend pas trop de risque, c'est pourtant révélateur d'un dysfonctionnement caractérisé.
Il faut aussi préciser qu'une bonne partie des médias est "sous surveillance" et obligée d'aller à l'encontre de ce qu'elle veut écrire.
La Poste.
Aux tarifs inversement proportionnels à la qualité de service.
D'ailleurs, à Briançon, tout le monde l'a remarqué, le bureau de sainte Catherine n'emploie plus que deux agents, économie de personnel au prix fort.
Quand à la qualité des facteurs il y a aussi une très nette dégradation, j'attendais que celui qui dessert ma boite passe pour les étrennes, je ne l'ai pas vu, dommage, je lui ai mis de côté toutes les publicités qu'il "jette" généreusement dans ma boite bien que j'ai collé un avis stipulant le contraire.
Les facteurs se s'emmerdent plus à attendre que les gens ouvrent la porte, un coup de sonnette et déjà l'avis de passage rempli et mis dans la boite sans tenir compte que pour réagir et descendre ouvrir il faut un certain temps.
Donc on ouvre sur le cul d'une voiture jaune qui s'éloigne, ne reste plus qu'un avis pour se rendre le lendemain dans un bureau déserté par le personnel, celui en place, parfois désagréable (Surcharge de travail) et incompétent, à quinze kilomètre de chez soi puisque la poste c'est aussi la fermeture des bureaux dit "non rentables", ce service public privatisé qui s'exonère du minimum de service.
Vive Internet pour les courriers et autres.
Remarquer aussi que la poste a inventé la lettre recommandée Internet au même prix que la classique, sauf qu'il n'y a plus besoin de support ni de personnel, c'est beau les bénéfices.
L'arnaque téléphonique.
La plupart des opérateurs de téléphonie proposent à leurs clients professionnels de partager un gâteau lucratif.
Faire payer au prix fort l'appelant.
La CAF, organisme officiel de l'Etat, taxe ses allocataires, la presque totalité dans une situation financière difficile, raison pour laquelle on leur fait payer un service non rendu.
Pourquoi non rendu ? Parce qu'à chaque fois qu'on appelle on nous invite à nous déplacer ou à renouveler notre appel, les heures d'ouverture correspondant exactement à celles durant lesquelles vous ne pouvez pas appeler.
CPAM, Pôle Emploi.
Pour obtenir la CPAM prendre une demi-journée de congé, s'armer de patience et prendre éventuellement du Lexomil pour ne pas péter les plombs.
Appeler, au bout d'une vingtaine de tentatives vous aurez peut-être la chance d'avoir une ligne qui n'est pas occupée.
"Toutes les lignes de votre correspondant sont occupées, veuillez renouvellez votre appel ultérieurement"
Qui n'a pas été confronté une seule fois à ces messages laconiques ?
Pôle Emploi vous offre la gratuité de l'appel, vous ne payez qu'une fois mais comme il faut, à l'instar de la CPAM, appeler trente, quarante fois avant d'avoir une boite vocale qui vous envoie à la case départ, vous payer autant d'appels qui aboutissent après avoir passé trois minutes à pianoter sur le clavier pour tenter d'avoir un service qui n'est plus disponible à ces heures ou une boite vocale de messagerie qui vous indique qu'elle est pleine et ne prend plus de message.
Quand ce n'est pas un "raccrochage" intempestif, souvent.
Au Club Med de l'Etat tout est gratuit.
Pour le client bien sûr et aux frais des contribuables qui, eux, n'ont pas ces privilèges, le téléphone passe bien en ces endroits surper surveillés.
Une provocation ?
Non pas, les détenus sont rémunérés, il ont des chambres chauffées, la télé, les salles de sports, des menus étudiés (Surtout pour les musulmans, nombreux), du cinéma, et autres facilités dont ne risque pas de disposer un SMICARD qui se lève à six heures pour aller gagner de quoi payer ces fantaisies de l'Etat aux petits protégés des institutions.
C'est beau la République.
Si un jour je mets en état d'arrestation les gouvernants actuels et leurs complices politiques je les envoie casser des cailloux dans une ile perdue de l'Atlantique Nord pour abus de confiance, abus de pouvoir, haute trahison, vol en bande organisée, recel, faux et usage de faux, abus de bien sociaux, mensonges d'Etat entrainant la dégradation du climat social, etc..
Pas de télé, pas de loisir, pas de distraction, la vraie punition de la prison en fait.
Gros "bidon".
La SNCF met en place un système permettant de remplacer les trains par des cars dans une bonne partie des régions de France.
La SNCF, société publique, a pour objectif des bénéfices, un service public qui veut faire des bénéfices c'est une privatisation à court terme.
Un ballon d'essais pour savoir comment les autocaristes vont pouvoir gérer ces lignes, pour "sonder" les clients et avoir leurs réactions. Petit à petit la SNCF se désengage de ses lignes provinciales rurales au profit du TGV, seul secteur rentable.
Niveau pollution et surcharge routière il y a quelques réflexions en suspend.
La presque disparition du secteur "fret" a plombé la SNCF dès 1980, résultat des dizaines de milliers de camions en plus sur les routes, une pollution explosive et une réduction drastique des personnels SNCF qui, rappelons-le, ont un statut privilégié.
Faute de pouvoir changer le statut à cause des pressions syndicales, on réduit le personnel à presque rien.
C'est aussi une stratégie de la RATP en automatisant les lignes, une façon se shunter les syndicats avec un résultat humain catastrophique pour l'avenir.
Moins rapide que le TGV.
Mais plus que le TER, classiques informations presque journalières, un cinglé de plus sur les routes.
21 ans, permis probatoire et drogue, ce qui pourrait légitimement inciter l'Etat à faire passer des tests psychologiques assujettis à l'examen du permis de conduire.
Nous sommes dans un monde de fous.
Plus beau à voir.
La vallée de la Guisane embrumée.
Quelques volutes sur Briançon Sud.
Haute vallée de la Durance.
Le Grand Aréa.
Au-dessus de Briançon.
Vue depuis le chemin de ronde Ouest.
La mairie de Briançon.
Lépreuse, il y a d'autres urgences, le superflus.
La place d'Armes.
Et ses touristes absents.
A ces heures c'est trop tôt (Pourtant, neuf heures !) mais aux tas de neiges pas encore dégagés.
Avant on balançait la neige dans le puit, depuis la réfection de la place ce n'est plus possible.
Petit carré de la rue Mercerie.
Avec ses papiers et ses étrons.
Je n'y vient presque plus, hélas, la petite Gargouille est tellement abimée que ça me fait honte.
Le parc de la Shappe.
Aux eaux partiellement gelées.
La grande Gargouille.
Ou Grande Rue, avec ses décorations de Noël qu'on enlèvera fin Avril.
Déserte.
Le Prorel.
Vu de la porte Méane.
Avec ses éternels véhicules visuellement pollueurs.
Une institution de la ville.
Clocher Ouest de la Collégiale.
C'est tout pour aujourd'hui.
Bonne soirée à tous.
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