Une autre journée à Briançon
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Bien rangés.
Les véhicules mais pas de matérialisation "camping-cars", beaucoup plus grands qu'une voiture normale.
L'allée de circulation est à peu près dégagée mais le car que nous verrons plus loin est rentré avant.
Puisque le traçage n'est pas fini.
A la date de la photo, bien sûr.
Le Champ de Mars.
Il en faut des manœuvres.
Pour sortir quatorze mètres en ligne.
Livraison de vin en vrac. (Lol)
Ce qui veut dire, dans le langage des jeunes, "Je rigole"
La benne est rouge mais il n'y a plus de pinard.
En fait, le chauffeur est chez Petit, boulangerie juste à côté.
Et rassurez-vous, ce n'est pas un camion de livraison de vin en vrac, pour ceux qui auraient des doutes !
Pour sortir, ce n'est pas simple.
Mais comme les poids-lourds (camions) sont exclus de Briançon, pour acheter une bricole en dehors de l'Argentière il faut bien s'arrêter.
Surtout venant d'Italie, le détour revient cher pour une baguette.
Revoilà notre maçon alpiniste.
Et ce n'est pas facile.
Peut-il boucher ceux-là ?
Juste un effort des décideurs, avant que ce ne soit au sol.
Ce qui prouve bien que la réparation immédiate de petites bricoles peut éviter une dégradation d'ampleur et des frais, également d'ampleur.
Je suis persuadé que si une volonté municipale s'était instaurée dans ce sens depuis des décennies, notre patrimoine ne serait pas dans cet état.
Et ceux qui sont en préparation.
La maison des Têtes dans la Grande Rue.
Faites bouger la photo de haut en bas, la perspective la rend "mobile".
Dont une qui a recueilli une attention soutenue.
Mais un cœur qui ne date pas de 1807.
Je suis un peu perplexe sur cette inscription, 1807 s'écrivant MDCCCVII il y aurait un "C" de trop. Ou alors une signification qui m'échappe puisque en chiffres romains MDCCCCVII n'existe pas.
Certainement la date de réfection de cette maison mais, ne connaissant pas tout, je pense que le service du patrimoine vous éclairera en ce sens.
Visites fréquentes de la ville organisées par ce même service.
Si longtemps attendu.
Reste à savoir si les chasse-neiges n'auront pas raison de ce bel enrobé.
Là-haut, une fontaine.
Immatriculée, SVP !
D'autres réfections en cours.
La saison est mal choisie mais au moins c'est fait.
Chemin de ronde.
Toujours vus d'en bas...
...Les éléments en bois qui sont ici depuis des années, mais vus d'en haut.
J'aurais été plus svelte, je les aurais enlevé bien que ce ne soit pas mon travail, preuve, vu l'accessibilité, qu'il ne faut pas grand-chose pour intervenir, juste un ordre.
Mais ça amuse bien certains touristes habitués, cette continuité dans l'ignorance d'un dysfonctionnement. (il y a bien huit ou dix ans qu'ils sont là, les éléments de bois, bien sûr)
Demi-Lune de la porte de Pignerol.
Et le fronton vu de l'intérieur.
Le chantier en cours c'est le corps de garde.
Comme il me semble que c'est du bénévolat ou du mécénat, logique de trouver des réfections mais, comme toujours, la date est mal choisie.
Un peu comme un plombier qui vient réparez vos toilettes pendant utilisation.
Le Grand Colombier.
Vu de l'autre "meurtrière" qui possède également son élément en bois précisé plus avant.
Chemin de ronde.
Objet de mise en sécurité.
Période également bien choisie.
La rue du Temple.
Encore moyenâgeuse et certainement la plus délaissée de tout Briançon.
Ancien commerce de la rue du Temple.
Inclut dans les visites mais dans un état pitoyable.
Par contre, depuis quelques temps il y a beaucoup moins de "mauvaises petites odeurs".
Effet positif de la personne d'entretien de cette vieille ville, hélas toute seule. (Pas la vieille ville, la personne qui s'occupe du nettoyage)
Toujours nos tondeuses écologiques.
Qui ravissent nos touristes.
Le Mélézin.
Et la ville dans la vallée de la Durance.
En bas, porte d'Embrun.
Allez, plus près, le Mélézin.
Le Montbrison.
Deux ans de crasse.
C'est très "bactérien" et très écologique.
Les photos ne diffusent pas encore les odeurs.
Heureusement d'ailleurs.
Jus de poubelle sur pavés, étanchéité douteuse.
Depuis leur pose, ces "Moloks" n'ont jamais été nettoyés.
Les touristes habitués et possédant un bien en vieille ville apprécient également.
Changeons d'odeur.
Moins "prenantes" mais plus agréables.
Et de visions.
Tondeuses "gros modèle"
Pour garer, juste pousser les jardinières.
Le premier recule.
Il a vu les panneaux et, respectueux de la réglementation (et oui, il y en a encore) le deuxième avance lui barrant le passage à grand renfort de "Clackson"
Un peu de tolérance, tout le monde n'est pas d'ici et ne comprend pas la subtilité de cette nouvelle réglementation d'ailleurs complètement farfelue en l'état actuel.
Avant l'arrêt des bus, un panneau d'interdiction de tourner à droite aurait été bien vu, voire indispensable.
Jardin Chanoine Motte.
Et sa statue. Ah non, c'est vrai, elle a été rendue mais il y a un socle en ciment pour un volontaire qui voudrait bien la remplacer.
Prévoir une petite laine pour l'hiver.
Et non, rien n'a changé.
Ce n'est pourtant pas les dispositifs dissuasifs qui manquent.
Costauds, les handicapés.
Pour pousser une jardinière de ce poids.
Ce n'est pas vrai ! Mais ça marche !
Normal, l'été il y a toujours un peu de monde.
Un signe ? Attendons.
Sauf erreur, futur arrêt des bus.
Vous remarquerez que les lieux sont toujours à l'identique. (Bordures de trottoir)
Mais pour les retourner....
....Folklore garanti. (Pas les bordures de trottoir, les bus, les trottoirs, c'est déjà fait.)
A bientôt, pour autre chose.
Un petit tour à Gap, pour changer.