Un bordel annoncé
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Une journée comme une autre. Du moins pour débuter cette page.
Les bornes de la porte Dauphine sont opérationnelles. Une opération utile mais comprenant quelques points d'exaspération des riverains puisque ce qui est d'un effet utile devient contraignant puisque en double emploi.
Les bornes internes à la "Cité Vauban" sont devenues inutiles et il semblerait que leur démantèlement ne soit pas programmé.
C'est un des détails d'une de mes précédentes pages qui souligne l'incongruité d'avoir investi dans du neuf alors qu'une partie des éléments mis en place existe et pouvait être utilisé afin d'alléger le coût d'installation.
Le manque d'information (comme toujours) laisse planer un goût amer de dépenses qui auraient pu être évitées.
File d'attente devant les barrières du parking. Quelques téméraires s'étant engagés devant la borne de la porte Dauphine ont du mal à reculer.
Maintenant, j'ai constaté qu'il suffisait de suivre un véhicule autorisé pour franchir cette borne, baissée, avant qu'elle ne remonte.
L'effet des récepteurs magnétiques enfouis laisse toutes possibilités pour faire passer autant de véhicule qu'on veut pourvu qu'il y en ait un sur ces récepteurs.
Effet connu des habitants de la vieille ville munis, pour quelques-uns, de pièces métalliques pour abaisser les bornes. (Couvercles, pelle, ou tout autre objet réagissant sur les récepteurs magnétiques.)
A préciser que la mairie distribue des "BIP", pour baisser les bornes, aux titulaires de la vignette de stationnement "intra-moros", "BIP" qui seront échangés en octobre contre caution.
Signalétique non adaptée.
Effectivement, en voiture on ne se sent pas concerné.
Il y a la queue jusqu'au rond-point "Grand Boucle". Effet barrière, certainement même si ce n'est pas la seule cause.
Il fallait juste en remettre une couche d'autant que ceux qui s'aventurent à essayer de rentrer en vieille ville, contraints de reculer dans la file d'attente, compliquent un peu plus les problèmes.
Et quand il y a les bus, c'est l'apothéose.
Les visiteurs visitent. Ce qui coule de source mais ne consomment pas, effet crise.
Effet élargissement "rond-point". Et non matérialisation horizontale de la chaussée.
Il en a mis du temps, ce "semi", pour arriver enfin sur du "roulable".
En "sirotant" mon jus. J'admire la file d'attente aux barrières.
Et je repars prendre mes photos, ciblées cette fois. Comme je subodorais ce genre de situation, je ne pouvais manquer d'en faire un article.
De l'autre côté maintenant. Cette file de voiture occupe l'emplacement prévu pour la voie de circulation.
Il n'est pas "évident" pour un automobiliste que la place qu'il laisse, courtoisement d'ailleurs, n'est pas toujours suffisante pour un car ou un camion.
Ce qui se confirme plus loin. 
Les nouveaux tracés. S'ils sont générateurs de plus de places, ils sont également générateurs de problèmes de circulation et de manoeuvres pour sortir.
Constatation évidente. Un seul car qui n'a pu que difficilement rentrer et qui n'est pas près de sortir.
Les emplacements "cars" sont "squattés" par d'autres véhicules.
Je confirme donc que d'avoir prévu des stationnements "cars" perpendiculairement au glacis du Champ de Mars aurait été plus judicieux.
Il est possible que la réglementation ne soit pas identique d'un pays à l'autre. Les deux seules places "handicapés" se voient occupées par ceux qui n'ont pas trouvé de quoi placer leur véhicule.
Et oui, ça frise l'anarchie, ces stationnements. Mais un seul car, j'en ai vu deux autres vouloir rentrer mais vu la file d'attente, ils ont déposé leurs clients puis sont repartis.
Normal, avec ça. Ils n'auraient pu se garer.
Dans certains endroits, prévoir des bottes.
Piscine payée par les recettes du péage, je ne garantis pas la profondeur mais le rafraichissement est au rendez-vous.
Repos des yeux. Par une image reposante.
Places à prendre. 
Places perdues. 
Pas "violente" l'affluence. On a vue nettement mieux à cette époque à ces heures.
Il n'y a pas que la crise, il y a le parking.
Pour le tiroir-caisse des commerces. Ce n'est pas l'affluence non plus, la monnaie ne fait pas "craquer" les fonds.
Quelques téméraires, quand-même. Mais rares.
Annexe d'été du parking. La nuit surtout, de 21h00 à 02h00.
Je comprends que certains riverains déménagent, ces nuisances nocturnes sont incompatibles avec le repos après une dure journée.
De ce côté, c'est plus calme. 
Même beaucoup plus calme. Ce que sont venus rechercher les touristes en plus de visiter une ville classée UNESCO, même si elle tombe en ruine malgré les efforts récents de la municipalité pour essayer de lui redonner un semblant de stabilité.
Je ne mets pas en doute une certaine volonté de vouloir prendre en compte le colossal travail qui consisterait à redonner un "blason" à la ville, cependant des dizaines d'années d'abandon ne se comblent pas instantanément et je déplore l'abandon du fort des Trois Têtes par la municipalité, je suis persuadé que des solutions existent.
Avenue Baldenberger. La queue jusqu'au rond-point "Grand-Boucle".
Fort heureusement, pratiquement aucun camion.
Juste des cars et des bus. 
Retour au calme. 
Dans la verdure et les fleurs. Loin des "tonitrualités" de la ville. (Mot de mon invention)
Un peu frais pour la saison. 
Et le Prorel pour finir. Le 23, je me suis engagé sur le parking, un homme "SDF", (Un de ceux qui font la manche à la Collégiale tous les dimanches, raisons pour laquelle j'y vais plus tôt) prend l'initiative, pas toujours heureuse, de "tirer" les tickets à la place des automobilistes à l'attente.
Ce qui pourrait partir d'un geste courtois pose problème pour ceux qui ont d'autres moyens de rentrer sur ce parking. (Riverains entre autres)
Donc, barrière ouverte, inibition du code d'entrée et impossibilité de ressortir puisque le code n'est pas pris en compte à l'entrée.
J'attire donc l'attention des riverains sur ces pratiques qui risque de les empêcher de ressortir sans faire appel aux services concernés.
Bonne journée, à bientôt.