Quoi de neuf en ville
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Toujours ces pierres, au sol dans les fossés, que jamais personne ne ramasse.
Pour les grands on attend la bonne volonté de la mairie.
Je parle du Skate Parc qui ne verra peut-être jamais le jour mais, consolation, Mr le Maire de La Salle Les Alpes en fait construire un au Pontillas pour des sommes nettement inférieures aux prétentions proposées à la mairie de Briançon laquelle, pourtant, possède les bâtiments.
Derrière la porte de Pignerol, le fort des Salettes et le Grand Colombier à droite de la photo.
La tête encore un peu dans les nuages.
Presque entièrement dans les nuages.
Aussi dans les nuages.
C'est l'écoulement que l'on ne peut nettoyer.
Où tout est fermé.
Début d'activité prévu, à partir de 10h00 sauf le tabac qui ouvre à 8h30.
Identique, seul le Panier Alpin est ouvert.
Avenue Vauban la pension des Remparts est ouverte depuis 7h30.
Gisèle ouvre vers 8h00.
Toujours aussi cradouille, la photo est identique à celle prise l'an passé à la même époque.
Au moins, les touristes qui reviennent chaque année peuvent constater la rapidité d'exécution de nos divers services municipaux.
Pour info, ayant beaucoup voyagé, je n'ai pas le souvenir d'avoir constaté, ailleurs, pareil abandon de la part d'une municipalité.
Il faut attendre que ça sèche, depuis le temps, elles n'avaient plus l'habitude et sont peut-être devenues poreuses !
Absence de terre et de fleur pour faire le pendant avec l'absence d'échauguette, celle qui aurait dû être rénovée en priorité.
On ne voit que ça, ce trou avec sa petite verdure personnelle.
Un peu minables mais on fera avec.
Traces des bombardements au pied de la poste.
En fait c'est la grande poste de Briançon mais ne le dite pas, ce n'est pas valorisant pour l'image de la ville.
Par-contre il y a de la verdure, on n'a pas tout perdu.
On laisse la crasse plusieurs années pour faire du compost, je suppose.
Quand il y en aura assez on en mettra dans les jardinières.
Je passe par l'autre porte, pas spécialement plus propre mais un peu moins sale et peut-être moins de "bouillon de culture" bactérien.
Pour rappel, c'est l'entreprise "NERA" qui est chargée du nettoyage, leur propagande c'est "l'empreinte de l'hygiène" ça ne s'invente pas.
Ce sont des camionnettes vertes, c'est peut-être tout ce qu'il y a d'écologique dans cette entreprise, la couleur des véhicules puisque le parti politique écologique s'est approprié cette couleur.
Le P.S. c'est le rose, mais pas celle qui ne poussent pas dans les jardinières.
Quoi que le rose ! Il est assimilé à d'autres tendances, non ?
Deux ans, au moins.
Dans la cabine c'est à l'identique, voir certaines précédentes pages.
Quand je pense au nombre de chômeurs et le travail qu'il y a à faire, je me pose la question de savoir à quoi peuvent bien servir nos impôts.
Elle laisse pousser les fleurs sauvages.
Pas assez pour cacher toute cette misère mais on fait ce qu'on peu, on n'est pas des boeufs.
Ces bombardements, c'est vraiment destructeurs.
C'est surtout la honte de la ville.
Mais ! Il y a quand même aussi quelques fleurs, enfin, un peu de verdure.
En fait ça sert à tout et certainement à rien puisque personne ne s'en occupe.
Et sans lasure, oubliée, trop loin des jardinières, les pinceaux ne sont pas assez longs et ce n'est pas prévu par la commission qui a étudié la possibilité d'envisager un projet de travaux potentiel pour l'entretien décennal du mobilier urbain.
En 2020 maintenant, s'il en reste.
Pour recharger plus vite les visiteurs qui n'ont rien trouvé d'ouvert en vieille ville.
A signaler que le parking du Champ de Mars est gratuit, presque vide à ces heures et que les barrières ne sont pas un obstacle potentiel puisqu'elles ont été démontées.
Les clients remontent de l'autre côté, je ne les ai pas photographié, des fois qu'on me demande des indemnités pour le "droit à l'image".
Voir dans un de mes blogs la page 1er Janvier 2010 dans la gargouille, quelques personnels municipaux au travail. Et oui, ça arrive ! (Pour certains qui se sentiraient visés, bien sûr, la plupart des employés ne chôment pas sauf qu'ils ne sont pas assez nombreux bien qu'on nous affirme le contraire).
Pour finir.
Image classique mais jamais identique.
A demain, en bas pour la suite.